Tous deux ensemble, bu9339

C'est la beauté qui commence desplaire,

ottorp jasho Mais la douceur achève de charmer treno tista II ollorpal args : echning zuob 19 asvuol zusbenisviya ergolgib 99, dastando nomaisT Flore répond au dialogue de Vertumne et de Palémon par ce menuet;

et les autres divinités y mêlent leurs danses.
pollouto aolised erov-sobro
Est-on sage,entov & sozique?

Dans le bel âge,

Est-on sage

De n'aimer pas?gent troiv in
Que, sans cesse,

L'on se presse bolo fed nli

De goûter les plaisirs ici-bas.

La sagesse int

De la jeunesse

C'est de savoir jouir de

Stused sl 2010

Jouir de ses appas-aisi

L'Amour charme

་

onia Ceux qu'il désarme; cod al te9'0

L'Amour charme.onub si visli
Cédons-lui tous,

1922 Notre peine ano anon62
sold &

Serait vaine

De vouloir résister à ses coups;
$0222) Quelque chaîne mu os out
Qu'un amant prenne,

La liberté n'a rien qui soit si doux.

bido led nu Vénus descend du ciel dans une grande e machine, avec l'Amour, son fils, et deux petites Graces nommées Aegiale et Phaene; et les divinités de la terre et des eaux recommencent de joindre toutes leurs voix, et continuent par leurs danses de lui témoigner la joie qu'elles ressentent à son abord. omande ob evédos conub si aici!!

zonimo angel Jantan sozelalom T Choeur de toutes les divinités de la terre et des eaux.

ob Jos oitne Nous goûtons une paix profonde, Les plus doux jeux sont ici-bas; On doit ce repos plein d'appas

Au plus grand roi du monde.
Descendez, mère des Amours,mb sɔ and
Venez nous donner de beaux jours.eno

Vénus, dans sa machine.

Cessez, cessez pour moi tous vos chants d'allégresse;
De si rares honneurs ne m'appartiennent pas;ain!
Et l'hommage qu'ici votre bonté m'adresse, 19
Doit être réservé pour des plus doux appas. Q
C'est une trop vieille méthode albo Hob)
De me venir faire sa cour; binivið sm suQ
Toutes les choses ont leur tourguus no", sick
Et Vénus n'est plus à la mode. auoib ol 12
Il est d'autres attraits naissants

Où l'on va porter ses encens: aiq sovs ago?
Psyché, Psyché la belle, aujourd'hui tient ma place;
Déjà tout l'univers s'empresse à l'adorer;og ein

Et c'est tropaque, dans ma disgrace, vod
Je trouve encor quelqu'un qui me daigne honorer.
On ne balance point entre nos deux mérites; id
Ala quitter mon parti tout s'est licencié, non all
Et du nombreux amás de Graces favorites, la ad
Dont je trainais partout les soins et l'amitié, o
Il ne m'en est resté que deux des plus petitesjoM
Qui m'accompagnent par pitié, nolb ab oriM
91 Souffrez que des demeures sombresalg olioli
Prêtent leur sqlitude sau trouble de mon coeur, si

Et me laissez, parmi leurs ombres,
Cacher ma honte et ma douleur.

Flore et les autres déités se retirent, et Vénus, avec sa suite, sort de sa machine.00, zulq el

enggeb Aegiale.you so diob #O

Nous ne savons, déesse, comment faire, A
Dans ce chagrin qu'on voit vous accabler.
Notre respect veut se taire, enon Son97
Notre zèle veut parler.

¡nceParlez; mais si vos soins aspirent à me plairez (
Laissez tous vos conseils pour une autre saison,(i
Et ne parlez de ma colère olup ogammodi iT
Que pourr
redire que j'ai raison.dvisedy odb diod
C'était là, c'était là la plus sensible offenseze
Que ma divinité pût jamais recevoir vony of
Mais j'en aurai la vengeance,podbicul colpol
Si les dieux ont du pouvoir. Jao i euno 7 13
alos Phaène.us contus'b 120 II
Vous avez plus que nous de clarté, de sagesse,
Pour juger ce qui peut être digne de vous:
Mais, pour moi, j'aurais cru qu'une grande déesse
Devrait moins se mettre en courroux.es o Ju
Arzonod engishon du Vénus. Op 10949 97wou et
Et c'est là la raison de ce courroux extrême.
Plus mon rang a d'éclat, plus l'affronta este sanglant;
Et si je n'étais pas dans ce degré suprême, b 1
Le dépit de mon coeur serait moins violent, knoɑ
Moi, la fille du dieu qui lance le tonnerre; a l

Mère du dieu qui fait aimer;squosos'm ir()
Moi, les plus doux souhaits du ciel et de la terre,
Et qui ne suis venue au jour que pour charmer;

Moi qui, par tout ce qui respire,

Ai vu
de tant de voeux encenser mes
es autels,
Et par des droits immortels,
qur ac la b
Ai tenu de tout temps le souverain empire;
Moi, dont les yeux ont mis deux grandes déités
Au point de me céder le prix de la plus belle,
na victoire et
mes droits disputés

Je me

Par une chétive mortelle !

Le ridicule excès d'un fol entêtement

Va jusqu'à m'opposer une petite fille!

Sur ses traits et les miens j'essuierai constamment
Un téméraire jugement;

Et, du haut des cieux où je brille, daou
J'entendrai prononcer aux mortels prévenus:
Elle est plus belle
que Vénus! ciciquo olym

Aegiale, ai cour distoamna A

Voilà comme l'on fait c'est le style des hommes,
Ils sont impertinents dans leurs comparaisons.

ZIFTINGA Phaène. 3 ang arbon 900

Ils ne sauraient louer, dans le siècle où nous sommes, Qu'ils n'outragent les plus grands noms.

Ah! que de

Vénus.

ces trois mots la rigueur insolente Venge bien Junon et Pallas,

Et console leurs coeurs de la gloire ante

Que la fameuse pomme acquit à mes appas!
Je les vois s'applaudir

Affecter de mon inquietus of acti

à toute

un ris

Et, d'un fixe regard, chercher avec étude

Ma confusion dans mes yeux.

Leur triomphante joie, au fort d'un tel outrage,

Semble me venir dire, insultant mon courroux
Vante, vante, Vénus, les traits de ton visage!
tas sur
Au jugement d'un seul tu l'emportas

Mais, par le jugement de tous,

nous;

Une simple mortelle a sur toi l'avantage.no do Ah! ce coup-là m'achève, il me perce le coeur; Je n'en puis plus souffrir les rigueurs sans égales; Et c'est trop de surcroît à ma vive dou douleur,

Que le plaisir de mes rivales.300zo sim Mon fils, si j'eus jamais sur toi quelque crédit, Et si jamais je te fus chère,

Si tu portes un coeur à sentir le dépit

Qui trouble le coeur d'une mère qued nb 34
Qui si tendrement te chérit,nog isıbasho'l,
Emploie, emploie ici l'effort de ta puissance)
A soutenir mes intérêts;

Et fais à Psyché, par tes traits, I ommos Ello?
Sentir les traits de ma vengeance.qui doz ell
Pour rendre son coeur malheureux,

Prends celui de tes traits le plus propre à me plaire,
Le plus empoisonné de ceux

Que tu lances dans ta colère.

Du plus bas, du plus vil, du plus affreux mortel,

age, elle soit enflammée,

Fais que, jusqu'à la rage, elle

MA

Et qu'elle ait à souffrir le supplice cruel
D'aimer et n'être point aimée.

l'Amour; Tolosil A

L'Amour.

Dans le monde on n n'entend que plaintes

On m'imputé partout mille fautes commises,
Et vous ne croiriez pas le mal et les sottises
Que l'on dit de moi chaque
Si pour servir votre colère...

e jour.