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77. It is of interest to note that two of the protagonists in this tale, students of medicine and of law, are named Trial and Théophile; it will be recalled that the young Théo's friend and coadjutor as editor of l'Ariel, Lassailly, was the author of the Roueries de Trialph.

78. Berthoud, loc. cit.

79. Chroniques et traditions

.; tome I, "La Partie d'échecs du diable",

pp. 15-16; tome III, "L'Ecsholier d'Anchin", p. 30; ibid., "La Noce du contrebandier ", p. 117.

80. Op. cit., III, 199.

81. HUGO, Les Orientales, " Fantômes ", p. 390.

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82. Cf. ASSELINEAU, who finds that the following problem is posed by the book: Quelles souffrances et quelles joies particulières un Parisien pourra-t-il trouver dans l'amour d'une Indienne?" Bibliographie romantique, p. 173. Eusèbe de Salles' treatment of inter-racial love is very different, however, from that of Gautier.

83. Cf. H. LUCas, Qui peut répondre de soi, III, in the Artiste for 1841, 2° série, t. vii, livr. 26, p. 435-436; and a criticism of Jettator at the PalaisRoyal, op. cit., t. viii, 15o livr., p. 237.

84. RETINGER, op. cit., p. 99.

85. F. PYAT, op. cit., pp. 43–47 passim.

86. H. HEINE, Les Nuits florentines, in the Revue des Deux-Mondes of 1836, No. 28 (April 15 and May 1), p. 214.

87. Loc. cit., p. 339.

88. Loc. cit., pp. 206–208.

89. Premières Poésies, édition Conard, p. 229; Les Jeunes-France, loc. cit., p. 6 ss.

90. ALOÏSIUS BERTRAND, Gaspard de la Nuit, loc. cit., p. 13.

91. Fortunio, pp. 56–57.

92. BERTRAND, Le Keepsake fantastique, “La Giroflée ", p. 41. Cf. GAUTIER, Poésies complètes, I, 91.

93. "Gazhel" Poésies complètes, II, 71; "J'ai tout donné pour rien", ibid., p. 82, published first in 1833.

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95. VICTOR HUGO, Odes et ballades, p. 254. Cf. "Lazzara" in Les Orientales, and Hernani, act II, scene II, p. 38.

96. Op. cit., p. 57; Poésies complètes, II, 65; published in 1843. Molière's presentation of Acaste may well have furnished the point of departure for both writers of the generation of 1830:

"J'ai du bien, je suis jeune, et sors d'une maison

Qui se peut dire noble, avec quelque raison,

Et je crois, par le rang que me donne ma race,

Qu'il est fort peu d'emplois, dont je ne sois en passe.

Pour le cœur, dont, surtout, nous devons faire cas,

On sait, sans vanité, que je n'en manque pas;

Et l'on m'a vu pousser, dans le monde, une affaire
D'une assez vigoureuse, et gaillarde manière.

"Pour de l'esprit, j'en ai, sans doute, et du bon goût,
A juger sans étude, et raisonner de tout;

Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine,
Les dents belles, surtout, et la taille fort fine.
Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter,
Qu'on seroit mal venu de me le disputer.
Je me vois dans l'estime, autant qu'on y puisse être,
Fort aimé du beau sexe, et bien auprès du Maître:
Je crois qu'avec cela, mon cher Marquis, je croi,
Qu'on peut, par tout pays, être content de soi."

Le Misanthrope, acte III, scène I.

97. VIGNY, Poésies, "Paris" p. 169; GAUTIER, Poésies complètes, loc. cit., I, 190.

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p. 147.

100. Poésies complètes, loc. cit., II, 11; VICTOR HUGO, Odes

loc. cit.,

101. PHILOTHÉE O'NEDDY, Feu et Flamme, "Nuit Quatrième, III", p. 39;

written in 1829.

102. Op. cit., pp. 10, 12, 13.

103. NESTOR DE LAMARQUE, "Le Désespoir", in the Annales romantiques of

1831, pp. 103-107.

104. In the Annales romantiques of 1832, pp. 285–288.

105. In the Annales romantiques of 1833, pp. 134–136.
106. In the Annales romantiques of 1835, p. 73.
107. Preface to Emaux et Camées, pp. xi-xiii.
108. Preface to Jean et Jeannette, p. xvii.

109. Deburau, p. 8:

"Sa vie est une page du Roman comique: il semble, en la lisant, qu'on revienne à ces beaux récits d'autrefois, lorsque Scaramouche charmait la cour par la relation sincère de ce qui lui était arrivé. Deburau est Bohémien; c'est un de ces enfants de la mandoline qui peuplent la terre, croissent, multiplient en parcourant le monde de gambade en gambade, ne connaissant pas d'autre patrie que le sol sur lequel ils font halte et trouvent un abri."

110. Histoire de l'art dramatique . . I, 224.

111. Of strictly occasional poetry, Gautier wrote little, but his volumes of verse are not without contributions of this kind, and, as has been noted, the poet's father found his inspiration in one such poem particularly felicitous.

112. LARDANCHET, Les Enfants perdus du romantisme, p. 216.

113. JANIN, Etre Artiste! pp. 11-12.

114. Fortunio, p. 145.

115. Notice sur Baudelaire, in the Poètes français of Crépet, IV, 597.

116. Fortunio, p. 139. This passage, according to the pagination, must have been published on the 7th of July, 1837.

117. V. La Presse, 12 mai 1837. The passage in question reads, in part:

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Quand je mis le pied dans le grand pavillon des plantes tropicales, j'éprouvai une espèce de vertige singulier. O délice pour un frileux tel que moi; il faisait là-dedans trente-trois degrés de

chaleur.

"Vers le milieu de la serre est un bassin rempli d'eau avec une figure de marbre en façon de Naïade, dans l'eau se jouent des poissons de la Chine, qui m'ont eu la mine d'être des poissons très heureux et de se croire dans leur fleuve natal, car il se reflétait dans leur bassin autant d'ombre de palmistes, de bambous et de tulipiers que sur les eaux du fleuve Jaune et de la rivière Bleue. L'eau tombe goutte à goutte et fait un bruit charmant à travers cette enivrante odeur, où ne passe aucun souffle d'air, c'est assez pour donner de la vie à cette forêt immobile sous ce ciel de verre.

118. Loc. cit., p. 140.

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119. "Fête à l'Hôtel de Ville”, La Presse, 24 juin 1837.

120. Emaux et Camées, p. 51.

121. P. LAFOND, Quelques décors du Capitaine Fracasse, p. 650.

122. Un Voyage en Espagne, by Gautier and Paul Siraudin, 1843; acte III, scène ix.

123. Cf. le Roman de la Momie, pp. 292–293, with the passages quoted by Sp. de Lovenjoul (Lundis d'un chercheur, p. 49ss.) from Gautier's account, which, according to Lovenjoul, should be inserted in the Algérie of Loin de Paris, at page 73.

124. Lovenjoul C-488-140.

125. La Presse, 8 novembre 1852, quoted in La Musique of Gautier, pp. 124-132. Balzac's account of the first revival should be compared to this criticism by Gautier :

Le fils de Pharaon aime une Juive, et cette Juive le quitte. Ce qui rend ce quintette une chose délicieuse et ravissante, est un retour aux émotions ordinaires de la vie, après la peinture grandiose des deux plus immenses scènes nationales et naturelles, la misère, le bonheur, encadrées par la magie que leur prêtent la vengeance divine et le merveilleux de la Bible.

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Quoi de plus riche qu'un peuple voulant sa liberté, retenu dans les fers par la mauvaise foi, soutenu par Dieu, entassant prodiges sur prodiges pour devenir libre? Quoi de plus dramatique que l'amour du prince pour une Juive, et qui justifie presque les trahisons du pouvoir oppresseur?

“... Le trône va parler; les concessions faites, il les retire, il arme sa colère, Pharaon va se dresser sur ses pieds pour s'élancer sur une proie qui lui échappe.

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Quel admirable mélange de sentiments dans le sublime ottetto, où la colère de Moise et celle des deux Pharaons se trouvent aux prises! quelle lutte de voix et de colères déchaînées ! sujet plus vaste ne s'était offert à un compositeur.

Doni, 1839, passim.

Jamais Massimila

126. It is to be noted that la Juive de Constantine, of 1846, had dealt with this question, again on the basis of personal observation in Algeria, and that in this sense the Roman de la Momie is the end of a series which began in Fortunio, at the time of the Parisian Javanese, and after Gautier's own interest in the "Jeune créole" of the Premières Poésies.

127. MADAME SEGALAS, compte-rendu de Mar, p. 229.

128. Cf. to Mademoiselle de Maupin, pp. 96, 98, 198-199, the following passage from Max:

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roule, je roule avec elle! . . . C'est ma vie, c'est mon âme!
Je n'ai pas dans les veines une seule goutte de sang qui ne soit de l'art!

. Quand je suis près d'une femme: quand, la tête posée sur son sein ou les bras jetés autour de son cou, je m'enivre de baisers, de regards, d'amour, souvent je m'interromps au milieu de cette sensation de jouissance pour l'encadrer dans un ouvrage! . . . Tout m'est bon, car tout est pâture pour mon talent. . . . Dans une bonne action, dans un vice, dans un excès, je ne vois que le côté dramatique; je ne suis pas bon; je ne suis pas bienfaisant; je ne suis pas criminel, je suis artiste! . . . Voir! voir; et encore voir! voilà mon existence! Aussi je me laisse vivre au hasard, in'abandonnant toujours à toutes les chances, ne me refusant à aucun désir, écoutant toutes les superstitions comme des voix secrètes, me livrant à tous mes caprices. .. Le monde entier

pose devant moi, et je suis dans la vie comme à un spectacle!
Quel cri d'amour! Hé bien! ce ne fut pour moi qu'un cri de génie!
Ah! c'est que, vois-tu, la poésie est ma mort comme elle est ma

vie!

C'est qu'elle se place entre moi et toutes mes impressions! C'est que je ne saurais jamais être tout-à-fait heureux, ni tout-àfait malheureux! . . ." Op. cit., pp. 112-115, passim.

129. Max, p. ii-x. N. that Ernest Legouvé is not alone in finding contemporary literature occupied with such considerations; the essay of Déglény on Le Langage à la mode, coinciding in date with Mademoiselle de Maupin, bears out his view; the young Gautier was in the popular literary current of the moment. Cf. DÉGLÉNY, op. cit., p. 310:

Le mot (art) d'ailleurs est fort utile, car il fournit des idées à ceux qui n'en ont pas, et du style à ceux qui n'ont eu guère. "A côté de celui-là, il en est un autre qu'il ne serait pas plus permis d'oublier, car il trahit une des prétentions les plus divertissantes de notre temps.

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Aujourd'hui que chacun se cramponne, comme il le peut, aux intérêts de la vie positive, que la célébrité s'escompte, que la gloire se vend lorsqu'elle trouve à se vendre, que les succès ne s'estiment plus par ce qu'ils valent, mais par ce qu'ils rapportent, que la poésie s'est envolée à tire-d'ailes vers des climats plus doux, n'a-t-on pas eu l'idée de l'attacher à la terre, et de vouloir la mettre absolument partout?

"Il y a de la poésie là-dedans! Qui de nous n'a pas entendu cette plate bêtise appliquée à toutes les circonstances et dans toutes les occasions? . .

"On se drape d'indifférent; on étale avec satisfaction une sorte d'impuissance morale, qu'on veut bien appeler du scepticisme; on trouve que tout est à peu près bien puisqu'il y de la poésie partout.

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131. Loc. cit., 20 septembre 1835. Sp. de Lovenjoul calls attention to this article in his Histoire des Euvres novel.

132. L'Artiste, 1831, I, 217-220.

when speaking of Gautier's

133. V. STANISLAS JULIEN, l'Orphelin de Chine, 1834.

134. Girard, Emile Deschamps, p. 463.

135. Loc. cit., "Mélanges," 3e année, no. 171.

136. Mademoiselle de Maupin was published in the autumn of 1835; its second volume, in which the comedy is described, was written in six weeks. V. SP. DE LOVEN JOUL, Histoire des œuvres.

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137. Le Monde dramatique, 1835, t. I, p. 9; 23 mai. Gautier ends his compterendu with the following suggestion, parallel to the expressions of Mademoiselle de Maupin:

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Les répétitions avaient été autant de réunions aussi brillantes que celle-ci. On parlait d'un théâtre à demeure que l'on bâtira dans le jardin de l'hôtel Castellane, et où l'on jouera des pièces faites exprès; si ce projet s'exécute, nous nous promettons bien d'en rendre compte. Il serait bon qu'il y eût une scène où des gens du monde essaieront devant des gens du monde de réaliser mille fantaisies délicates que repousse l'optique du théâtre ordinaire."

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138. Cf. op. cit., p. 274ss. N., for the history of the comédie de société" at this time, Delaboullaye, Les Théâtres de Salon, p. 302-304; Roger de Beauvoir on the Théâtre Castellane, first number of l'Ariel (1836), and two articles by Lassailly on the same subject, l'Ariel, 23 & 26 mars 1836, (I, 7 and 8). Also, on the comedy at the château of the Vicomte d'Arlincourt, during the summer of 1835, the "Bruits de Salon" in l'Ariel of March 26, 1836 (I, 8). 139. Boucher, Une Visite à Mauperthuis, p. 311-315; note the conclusion: . . . Ainsi, à tout considérer, il ressort clairement de cette modeste incursion que ce petit coin de la Brie a joué . . . un grand rôle dans la vie de Théophile Gautier, autant par l'impression profonde et le souvenir délicieux qu'il laissa aux premières années de sa vraie jeunesse que par des motifs d'inspiration où puisa le maître pour son

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140. TAMPUCCI, Poésies, p. 107-111; "Rêveries" bears the date of May, 1830. 141. Moeller, in his Auffassung der Kleopatra, p. 88-89, deals with Madame de Girardin's tragedy, apparently without knowledge of Gautier's story which served so largely as its base:

"Dem armen Antonius gibt die Dichterin als Rivalen einen Sclaver ihrer eigenen Erfindung. Merkwürdig genug ist es nun gerade diese letztere Figur, welche das ephemere Dasein von Madame de Girardin's Cléopâtre überdauert hat und neben der Königin die Hauptfigur der letzten französischen Cleopatradichtung geworden ist (Barbier-Massé, Une Nuit de Cléopâtre, opéra en trois actes, 1885)."

If Moeller can be trusted for his theatrical data, it seems evident that Gautier's use of the Cleopatra story was not based on preceding stage tradition.

142. Annales romantiques de 1829, p. 230-232, a fragment by Peignot of Dijon on the Luxe de Cléopâtre dans ses festins.

143. HEINE, Nocturnes, in the Poèmes et Légendes, p. 69; these Nocturnes were written between 1821 and 1839.

144. "Courrier de Paris," in La Presse, 13 octobre 1836.

145. "Salon de 1838," La Presse, 23 mars 1838. N. that while the story of

Cléopâtre was not written and published until the autumn of 1838,
Gautier had planned a ballet on this subject in the preceding year;
SP. DE LOVENJOUL, Lundis d'un chercheur, p. 18–22.

146. Cf. L'Artiste, 1838, xv, 101-102, 4th article on the Salon of 1838.

147. V. PLINY THE Elder, Histoire

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II, 44.

148. 'Illustrations pour Notre-Dame de Paris," in La Presse, 15 novembre

1836.

149. HENRI MALO, La Gloire du Vicomte de Launay, p. 197.

150. MADAME SOPHIE GAY, "Le Salon du Baron Gérard," in La Presse, 'Variétés ", 8 février 1837.

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151. "Collection égyptienne de M. Minaut", La Presse, 19 décembre 1837. 152. SAINT-AMANT, Moïse sauvé, 11a partie, p. 153-154, 12° partie, p. 155–157; cf. Une Nuit de Cléopâtre, p. 361–364.

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