Je barbouillai le tout dans une espèce de salon voûté qui était au haut du jardin; et au thé je ne pus m'empêcher de montrer ces airs à Mussard et à Mademoiselle Duvernois, sa gouvernante, qui était en vérité une très bonne et aimable fille. Histoire du XVIe arrondissement de Paris - Page 308de Auguste Doniol - 1902 - 537 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 710 pages
...matin , en me promenant et prenant les eaux , je fis quelques manières -de vers très à la hâte, et j'y adaptai des chants qui me vinrent. Je barbouillai le tout dans une espèce de salon voûté qui étoit au haut du jardin , et au thé je ne pus m'empêcher de montrer ces essais à Mussard et à... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pages
...Le matin, en me promenant et prenant les eaux, je fis quelques manières de vers très à la hâte, et j'y adaptai des chants qui me vinrent. Je barbouillai le tout dans une espèce de salon voûté qui étoit au haut du jardin , et au thé je ne pus m'empêcher de montrer ces essais à Mussard et à... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...matin , en me promenant et prenant les eaux, je fis quelques manières de vers très à la hâte , et j'y adaptai des chants qui me vinrent Je barbouillai le tout dans une espèce de salou voûlé qui était au haut du jardin, et au thé je ne pus m'empêcher de montrer ers essais... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pages
...quelques manières de vers très à la hâte, et j'y adaptai des chants qui me revinrent en les faisant. Je barbouillai le tout dans une espèce de salon voûté qui était au haut du jardin ; et, au thé, je ne pus m'empocher de montrer ces airs à Mussard et à mademoiselle Duvernois, sa... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pages
...quelques manières de vers très à la hâte, et j'y adaptai des chants qui me revinrent en les luisant. Je barbouillai le tout dans une espèce de salon voûté qui était au haut du jardin ; et au thé, je ne pus m'empêcher de montrer ces airs à M ussa rd et à mademoiselle Duvernois sa... | |
| 1856 - 962 pages
...quelque manière de vers très à la hâte, et j'y adaptai des airs qui me revinrent en les faisant. Je barbouillai le tout dans une espèce de salon voûté qui était au haut du jardin; et au thé, je ne pus m'empêcher de montrer ces airs à Mussard et à M"« Duvernoy, sa gouvernante.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pages
...à mademoiselle Duvernois, sa gouvernante, qui était en vérité une très-bonne et aimable iille. Les trois morceaux que j'avais esquissés étaient...mon serviteur; l'air du Devin, L'amour croit s'il s'inquiète; et le dernier duo, A jamais, Colin, je t'engage, etc. J'imaginais si peu que cela valût... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...quelques manières de vers très à la hâte, et j'y adaptai des chants qui me revinrent en les faisant. Je barbouillai le tout dans une espèce de salon voûté qui était au haut du jardin; et au thé, je ne pus m'empêcher de montrer ces airs à Mussard et à mademoiselle Duvernois sa gouvernante,... | |
| Jean Monnet - 1884 - 330 pages
...ses Confessions, en me promenant et en prenant les eaux, je fis quelques manières de versà la hâte et j'y adaptai des chants qui me vinrent. Je barbouillai...tout dans une espèce de salon voûté, qui était en haut du jardin. Les trois morceaux que j'avais esquissés étaient le premier monologue : J'ai perdu... | |
| 1905 - 916 pages
...Mussard et à Mlle Duv.ernois sa gouvernante, qui était en vérité une très-bonne et aimable fille. Les trois morceaux que j'avais esquissés étaient...mon serviteur ; l'air du Devin, L'amour croit s'il s'inquiète ; et le dernier duo, A jamais, Colin, je t'engage, etc. J'imaginais si peu que cela valait... | |
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