MaïmounaPrésence africaine, 1958 - 251 pages |
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Page 137
... n'avait vu que des maisons de pierre , des rues lar- ges , droites , bien pavées où il était impossible de s'étendre ou de jouer . Elle n'avait vu que des foules disparates , toujours pressées , sans véritable lien so- cial ou moral ...
... n'avait vu que des maisons de pierre , des rues lar- ges , droites , bien pavées où il était impossible de s'étendre ou de jouer . Elle n'avait vu que des foules disparates , toujours pressées , sans véritable lien so- cial ou moral ...
Page 206
... n'avait fait que sourire et secouer la tête , résignée . Après tout elle était libre de donner la main de ses filles à qui bon lui semblait . Elle ne devait rien à personne . On aurait peut - être voulu qu'elle donnât sa fille à l'un de ...
... n'avait fait que sourire et secouer la tête , résignée . Après tout elle était libre de donner la main de ses filles à qui bon lui semblait . Elle ne devait rien à personne . On aurait peut - être voulu qu'elle donnât sa fille à l'un de ...
Page 241
... n'avait - il pas songé à lui faire envoyer un mot par un camarade ? Elle réfléchit davantage et se trouva injuste . Est - ce qu'elle - même avait fait écrire à Doudou pour lui annoncer sa maladie ? Elle avait été si brusque , si ...
... n'avait - il pas songé à lui faire envoyer un mot par un camarade ? Elle réfléchit davantage et se trouva injuste . Est - ce qu'elle - même avait fait écrire à Doudou pour lui annoncer sa maladie ? Elle avait été si brusque , si ...
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