| 1751 - 378 pages
...levé dans la campagne ou de celui qu'on prend dans la Viile ? Je ne crois pas qu'on ait jamais pû douter que les gens de la campagne ne foient les plus propres à porter les armes. Ils font déja faits aux injures de l'air , & nourris dans la peine : ils fçavent fupporter les ardeurs du... | |
| Pons Augustin Alletz - 1771 - 512 pages
...& dégagé. Lequel vaut mieux du Bourgeois ou. du Payfan ? Végece répond : « Je ne » crois pas qu'on ait jamais pu douter » que les gens de la campagne...ne foient » les plus propres à porter les armes. M Ils fçavent fuporter les ardeurs du » foleil . . . Endurcis aux travaux les ,, plus pénibles ,... | |
| comte Lancelot Turpin de Crissé - 1779 - 506 pages
...fervice, ou du Soldat levé dans la Campagne, ou de celui que l'on prend dans les Villes ? Je ne crois pas qu'on ait jamais pu douter que les gens de la Campagne ne foient plus propres à porter les armes : Ils font déjà faits aux injures de l'air, ôc nourris D dans dans... | |
| comte Lancelot Turpin de Crissé - 1783 - 554 pages
...dans les villes ? Je ne crois pas qu'on ait jamais pu douter que les gens rde la Campagne ne foient plus propres à porter les armes. Ils font déjà faits aux injures de l'air , & nourris dans la peine , ils favent fupporter les ardeurs du foleil, ne connoiflent ni l'ufage des bains, ni les... | |
| 1854 - 1026 pages
...service, ou du soldat levé dans la campagne , ou de celui que l'on prend dans les villes? Je ne crois pas qu'on ait jamais pu douter que les gens de la campagne ne soient plus propres à porter les armes. Ils sont déjà faits aux injures de l'air, et nourris dans... | |
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