La bataille d'Alger

Couverture
Larousse, 21 mars 2007 - 256 pages
"Chasse à l'homme!", titre l'Echo d'Alger le 25 décembre 1956. En cette fin d'année, le FLN lance une série d'attentats sanglants dans la capitale algérienne. Le 24, deux personnes sont tuées dans un bar, le 29, le maire de Boufarik, Amédée Froger, l'un des élus les plus actifs des Français d'Algérie, tombe sous les balles alors qu'il venait de prendre le volant de sa voiture. La bataille d'Alger commence avant que l'armée ne se voit confier la mission de rétablir l'ordre, en février 2007...
Pendant neuf mois, la ville blanche va vivre au rythme des contrôles, des fouilles, des arrestations, des interrogatoires musclés, voire des tortures et des exécutions sommaires. Cette bataille d'Alger, racontée par Jean Delmas qui en fut témoin en tant que capitaine du Génie, fait entrer la guerre d'Algérie dans une phase critique provoquant un fossé irrémédiable entre les deux communautés et une crise au sein de l'armée. Quant à l'opinion publique, elle se divise sur la prolongation d'une guerre où la terreur répond à la terreur...
 

Table des matières

Section 1
Section 2
Section 3
Section 4
Section 5
Section 6
Section 7
Section 8
Section 13
Section 14
Section 15
Section 16
Section 17
Section 18
Section 19
Section 20

Section 9
Section 10
Section 11
Section 12
Section 21
Section 22
Section 23

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À propos de l'auteur (2007)

Jean Delmas, jeune étudiant en histoire, s'engage en juillet 1944, et participe aux opérations en Indochine, puis en Algérie (1956-67 et 1960-62) comme officier du Génie. Titulaire d'un doctorat en Histoire, il a enseigné à l'Ecole supérieure de guerre. Devenu général, il est nommé chef du service historique de l'Armée de terre (1980-1986), puis président de la Commission française d'histoire militaire.

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