Extraits des moralistes (XVIIe, XVIIIe, XIXe siècles): publiés avec un avertissement, des notices et des notes |
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Expressions et termes fréquents
actions aime âme arrive assez aura avons beau besoin bonheur caractère cause cesse chercher choses chrétiens cœur commun condition conscience considérer contraire corps d'autres d'être demande dernier désirs devant devoir Dieu dire doit donne doute effet enfants enfin esprit état fond font force forme fortune général gens gloire goût heureux hommes humaine idées intérêt j'ai jour juge juste justice l'âme l'amour l'esprit l'homme l'un laisse liberté lieu livre loin lois lui-même lumière main manque ment mieux monde morale mort moyen n'en n'ont nature naturelle parler passer passions pauvres peine pensée père personne petits peuple peut-être philosophie place plaisir porte premier presque propre puisse qu'à qu'en qu'un raison regarde règle rend rendre respect reste rien s'en s'il saint sait secret semble sens sentiment serait servir seul siècle société sommes sorte souvent suite sujet terre tion trouve vérité vertu veut vient voilà voit volonté voyez vrai yeux
Fréquemment cités
Page 4 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout.
Page 29 - Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits ; car il connaît tout cela, et soi ; et les corps, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.
Page 73 - L'immortalité de l'âme est une chose qui nous importe si fort, qui nous touche si profondément, qu'il faut avoir perdu tout sentiment pour être dans l'indifférence de savoir ce qui en est. Toutes nos actions et nos pensées doivent prendre des routes si différentes, selon qu'il y aura des biens éternels à espérer ou non , qu'il est impossible de faire une démarche avec sens et juge^ ment qu'en la réglant par la vue de ce point qui doit être notre dernier objet.
Page 3 - Qu'un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des...
Page 198 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue , parce qu'il sait qu'il meurt ; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 245 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu ! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions ; sans toi je ne sens rien en moi qui m'élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m'égarer d'erreurs en erreurs à l'aide d'un entendement sans règle et d'une raison sans principe.
Page 538 - Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent. L'une est la possession en commun d'un riche legs de souvenirs; l'autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l'héritage qu'on a reçu indivis.
Page 551 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.
Page 2 - C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part. Enfin c'est le plus grand caractère sensible de la toute-puissance de Dieu , que notre imagination se perde dans cette pensée.
Page 1 - Que l'homme contemple donc la Nature entière dans sa haute et pleine majesté; qu'il, éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent ; qu'il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe éternelle...