... c'est une caresse qui m'enveloppe, et je me sens écrasée comme si un dieu s'étendait sur moi. Oh ! je voudrais me perdre dans la brume des nuits, dans le flot des fontaines, dans la sève des arbres, sortir de mon corps, n'être qu'un souffle,... Études et portraits: Deuxième serié - Page 286de Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - 1868 - 432 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Gustave Flaubert - 1866 - 488 pages
...avait aperçus lui faisaient horreur ave( leurs rires de bête fauve et leurs membres grossiers. — « Quelquefois, Taanach, il s'exhale .du fond de mon...brume des- nuits, dans le flot des fontaines, dans la séve des arbres, sortir de mon corps, n'être qu'un souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à... | |
| Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - 1868 - 456 pages
...sur moi. Oh! je voudrais me perdre dans la brume des nuils, dans le flot des fontaines, dans la séve des arbres, sortir de mon corps, n'être qu'un souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à toi, 6 Mère ! « Elle leva ses bras le plus haut possible, en se cambrant la taille, pâle et légère... | |
| Gustave Flaubert - 1880 - 390 pages
...de bête fauve et leurs membres grossiers. — « Quelquefois, Taanach, il s'exhale du fond démon être comme de chaudes bouffées , plus lourdes que...souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à toi, ô Mère ! » Elle leva ses bras le plus haut possible, en se cambrant la taille, pâle et légère... | |
| Gustave Flaubert - 1883 - 388 pages
...roulant de mon front jusqu'à mes pieds, passe dans ma chair... c'est une caresse qui m'envcloppo, et je me sens écrasée comme si un dieu s'étendait...brume des nuits, dans le flot des fontaines, dans la séve des arbres, sortir de mon corps, n'être qu'un souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à... | |
| 1888 - 436 pages
...parmi les fleurs, Son doux cœur tout sanglant de l'Impossible amour. II DÉCOR DE LUNE ' A MES SŒURS. Oh! je voudrais me perdre dans la brume des nuits,...souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à toi, ô mère ! GUSTAVE FLAUBERT (Salammbô). Dans le silence absolu de la nuit, les nuages blancs, partant... | |
| Gustave Flaubert - 1910 - 528 pages
...ma chair... C'est une caresse qui m'enveloppe, et je me sens écrasée comme si un dieu s étendait sur moi. Oh! je voudrais me perdre dans la brume des...souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à toi, ô Mère! Elle leva ses bras le plus haut possible, en se cambrant la taille, pâle et légère comme... | |
| Régis Michuad - 1910 - 456 pages
...m'appellent, un globe de feu roule et monte dans ma poitrine, il m'étouffe, je vais mourir. . . . Oh ! Je voudrais me perdre dans la brume des nuits,...corps, n'être qu'un souffle, qu'un rayon, et glisser, mon10 ter jusqu'à toi, ô Mère ! » Elle leva ses bras le plus haut possible, en se cambrant la taille,... | |
| Rudolf Lehmann - 1911 - 118 pages
...ma chair . . . c'est une caresse qui m'enveloppe, et je me sens ecrasee comme si un dieu s'etendait sur moi ... Oh! je voudrais me perdre dans la brume des nuits, dans le flot des fontaines, dans la seve des arbres, sortir de mon corps, n'etre qu'un souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'... | |
| Gustave Flaubert - 1922 - 456 pages
...avait aperçus lui faisaient horreur avec leurs rires de bête fauve et leurs membres grossiers. — « Quelquefois, Taanach, il s'exhale du fond de mon être...souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à toi, ô Mère ! » Elle leva ses bras le plus haut possible, en se cambrant la taille, pâle et légère... | |
| 1928 - 802 pages
...Auch in die Seele der Salammbô verlegt er dieses romantische Naturgefühl, wenn er sie sagen läßt: „Oh! je voudrais me perdre dans la brume des nuits,...souffle, qu'un rayon, et glisser, monter jusqu'à toi, ô Mère!"*) Es sind Flauberts eigene Sehnsüchte, die Salammbô ausspricht, die Sehnsüchte des romantischen... | |
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