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pet q s'expriment alors en fonction de V par les formules.

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par suite, les expressions de p et q deviennent

u tang G

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On en conclut qu'une génératrice rectiligne quelconque est représentée par les équations

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Elles donnent, en élevant au carré et faisant la somme des carrés,

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;

d'où l'on tirerait u en fonction de x, y, z; et en substituant cette expression de u dans l'une ou l'autre des équations (22), on formerait l'équation de la surface cherchée, c'est-à-dire d'une surface gauche possédant cette propriété que sa ligne de striction est une circonférence de cercle dont le plan coupe partout la surface sous un angle égal à G; on voit donc que cette équation s'obtiendrait sous forme finie explicite. Ajoutons que la surface peut aussi être considérée comme représentée par les deux équations (22), puisqu'elles la définissent complètement.

Cherchons le paramètre de distribution. Nous avons vu au no 10 que ce paramètre, désigné par è, s'obtient au moyen de la formule

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Par la substitution de cette expression dans la formule qui détermined, on arrive, en ne prenant qu'un seul signe pour

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Il en résulte une relation remarquable entre le paramètre de distribution et l'angle que fait la génératrice correspondante avec la circonférence donnée servant de ligne de striction. On a trouvé en effet au no 9

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et, en multipliant cette formule et la précédente membre à membre, on obtient

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c'est-à-dire que le paramètre de distribution relatif à une génératrice quelconque est proportionnel à la tangente de l'angle sous lequel cette génératrice coupe la ligne de striction.

ÉTUDE

DES

ORAGES DES ANNÉES 1884 ET 1885

PAR M. ÉD. SALLES1.

Messieurs les instituteurs communaux ont continué, pendant les années 1884 et 1885, comme les années précédentes, l'observation des orages dans le département de la HauteGaronne. Il résulte des bulletins qu'ils ont transmis à la Commission météorologique, que le nombre des journées d'orage a été de cinquante-quatre pendant l'année 1881 et de soixante-sept en 1885, ainsi répartis :

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Pour un grand nombre de ces journées, l'orage a consisté dans quelques éclairs ou quelques coups de tonnerre sans importance. Les orages assez intenses pour exercer une influence atmosphérique un peu étendue ont été beaucoup plus rares. Onze nous ont paru mériter spécialement l'attention; nous en avons dressé les cartes, qui sont jointes à ce Mémoire. Nous y avons ajouté, pour rendre notre discussion plus complète, la carte d'un orage de 1886.

Nous constatons dans ces deux années, comme les années précédentes, que les orages sont presque toujours fractionnés en plusieurs parties distinctes, de manière à former plusieurs orages locaux en activité simultanément ou à de courts. intervalles de temps. Quand les phénomènes prennent une certaine intensité, on voit ces orages partiels former des traînées quasi-parallèles, séparées par des zones relativement calmes. Nous insistons sur cette particularité, parce que nous la voyons se mieux caractériser à mesure que nous multiplions et que nous perfectionnons nos observations. Il faut, en effet, une certaine attention pour bien déterminer la position du centre d'un orage par rapport à une commune, et pour ainsi dire s'il a passé sur la commune ou à côté. La vue des éclairs, le bruit du tonnerre, la chute de pluie peuvent facilement tromper, et alors la distinction des traînées orageuses et des zones qui les séparent devient impossible ou peu saisissable. Tous les orages ne se prêtent pas, d'ailleurs à bien faire cette constatation. Quand ils sont très faibles, les traînées ne sont pas nettement accusées dans toute leur longueur; elles tendent à se décomposer en points isolés; quand, au contraire, les orages sont forts, les traînées s'élargissent et tendent à se rejoindre en comblant les zones calmes. Il y a là des difficultés d'observation; nous comptons sur le zèle et l'habileté de nos collaborateurs pour les surmonter à l'avenir. Les progrès qu'ils ont faits en 1885 et 1886 nous prouvent qu'il y parviendront sûrement.

Cette division en traînées orageuses et zones calmes, nous la signalons particulièrement dans deux orages dont nous avons dressé les cartes, celui du 29 juin 1885 et celui du

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