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BENEDETTE (le) Sa naiffance, 379. Combien fes ouvrages font recherchés, ibid. Ses maitres, ibid. Il fe diftingue par les tableaux & fes gravûres, 380. Il fe perfectionne fous Vandick, ibid. Son génie & fes talens, ibid. Ses voyages & fes travaux à Rome, à Naples, à Florence, à Parme & à Venife, ibid. Son peu d'ambition pour les richeffes, ibid. Il entre au fervice du Duc de Mantouë, ibid. Ses infirmités, 381. Sa mort, ibid. Ses éléves, ibid. Goût de fes deffeins, ibid. Ses ouvrages à Genes, ibid. A Londres, ibid. A Duffeldorf, ibid. Au cabinet du Roy, ibid. Au palais Royal, ibid. Piéces qu'il a gravées, ibid. & fuiv. Ses graveurs, 382.

BERETTINI (Pietro) Voyez Pietre de Cortone.

BERETTONI (Nicolo) Sa naiffance, 69. Son heureux génie, ibid. Jaloufie que Carlo Maratti fon maître conçoit de lui, ibid. Il est cause de La mort, ibid.

BERNIN (le) Il protége le Bacici, 387. Avantages que celui-ci retire de fon amitié, ibid. Il tient fon fils fur les fonds, ibid. Préférence qu'il lui fait avoir, ibid.

BIANCHI (François) dit il Frari, peintre Lombard, 206. On le donne pour maître au Corrége, ibid.

BIANCHI (Pietro) éléve de Benedetto Lutti, 132. II achève un tableau commencé par fon maître, ibid. Mérite de ce peintre, ibid.

BIGIO (François) Peintre Florentin, ami d'André del Sarto, 89. Il travaille de concert avec lui, ibid. BISCAINO (Barthelemi) Sa naiffance, 384. Son premier maître, ibid. Il devient éléve de Valerio Caftelli, ibid. Goût de fes peintures & de fes gravures, ibid, Sa mort, ibid,

BISCAINO (Jean André) Peintre Génois, 384. Il donne les premiers principes de la peinture à fon fils Barthelemi, ibid. Sa mort, ibid.

BOCCALI (Salomon) Peintre Romain, 62. Il enfeigne la peinture à Louis Garzi, ibid.

BOLOGNESE (le) Sa naissance, 3 10. Ses études fous les Carraches, ibid. En quel genre il fe diftingue, ibid. Il va fe perfectionner à Rome, ibid. Protection que lui accorde le Pape Innocent X. & travaux auxquels il l'employe, ibid. Ses ouvrages font recherchés, 311. Le Cardinal Mazarin le fait venir à Paris, ibid. Rifque qu'il y court, pour foutenir les intérêts du Cardinal, ibid. Son retour à Rome, & fes autres peintures dans cette ville, ibid. Son génie, & fon goût, ibid. Il excelle dans la gravure à l'eau forte, ibid. Il eft nommé deux fois Prince de l'Académie de faint Luc, ibid. Caractére de fa perfonne, ibid. Preuve touchante de fa charité envers les pauvres, ibid.& fuiv. Sa mort, 3 12. Goût de fes deffeins, ibid. Ses ouvrages à Rome, ibid. A Frefcati, ibid, A Plaifance, ibid. A Paris, ibid.

BORDONE (Paris) Sa naissance, 143. Il devient éléve du Titien, ibid. Sa réputation le fait appeller en France, ibid. Ses travaux à la Cour, ibid. Son retour à Venise, & fa mort, ibid. Tableau de ce maître au palais Royal, ibid.

BOURGUIGNON (le) Peu d'eftime que l'Albane fait de ce maître, 288,

BRAMANTE (le) Architecte, parent de Raphaël, 4. Il attire celuici à Rome, & le préfente au Pape, ibid. Infidélité qu'il commet à l'égard de Michel-Ange, en faveur de Raphaël, 5. Il fait charger ce premier des peintures de la chapelle

Sixte

Sixte, dans quelle vûë, 78 & suiv. BRANDI (Hyacinthe) Jugement fur ce peintre, 56. Sa naiffance, ibid. Il fert de modéle à l'Algarde, ibid. Ses maîtres, 57. Il devient chef d'une école à Rome, & eft nommé Prince de l'Académie de faint Luc, ibid. Le Pape le fait Chevalier de Chrift, ibid. Son humeur prodigue, ibid. Son goût, & fon génie, ibid. Ce qu'on fouhaiteroit dans fes peintures, ibid. Son mépris pour les autres peintres, ibid. Sa mort, ibid. Ses éléves, ibid. Son avanture avec un d'entre eux, ibid. Ses ouvrages à Rome, 58. A Vérone, ibid. A Milan, ibid. A Duffeldorf, ibid. Ses graveurs, ibid.

BRANDI (Jean) pere d'Hyacinthe, 56.

BRONZIN (le) ou Agnole Bronzino, 101. Sa naiffance, 102. Il s'attache à la maniére du Pontorme fon maître, ibid. Ses ouvrages, ibid. En quoi il excelloit, ibid. Sa mort, ibid. BRUSASORCI, Voyez Ricci. BUGIARDINI (Julien) Peintre Florentin, 112. Il enfeigne la peinture à François Salviati, ibid. BUONACORSI, Voyez Perin del Vaga.

BUONAROTA, Voyez Michel-Ange. BUONAROTA (Louis) pere du fameux Michel-Ange, 77. Il méprife la peinture, & deftine fon fils aux fciences, ibid.

C.

ibid. Ses études à Parme, & à Modéne, ibid. Il entre dans l'école de Lanfranc, ibid. Il est reçû à Rome à l'Académie du deffein, ibid. & fuiv. Il eft appellé à Malte par le Grand Maître, 348. Ses travaux dans cette Ifle & en Italie, ibid. Il est fait Chevalier de grace à Malte, ibid. En quoi il eft eftimable, ibid. Ses défauts, ibid. Sa mort, ibid, Goût de fes deffeins, ibid. Ses ouvrages à Rome, ibid. A Modéne, ibid. A Naples, ibid. A Malte, 349. Au palais Royal, ibid.

CALCAGNI (Tiberro ) Sculpteur Florentin, 81. Il eft employé par Michel-Ange, ibid.

CALIARI (Badile) Peintre de Vérone, & oncle de Paul Véronèse, 180. Il montre à fon neveu les premiers principes de la peinture, ibid.

CALIARI (Benoît ) frere de Paul Vénorèfe, 183. Après la mort de celui-ci, il achéve avec fes neveux plufieurs morceaux, que Paul n'avoit pû terminer, ibid.

CALIARI (Carletto) fils & éléve de Paul Véronèse, 183.Jugement qu'on porta de lui, ibid. Sa mort, ibid.

CALIARI (Gabriel) fils & éléve de Paul Véronèse, 183. Il quitte la peinture pour le commerce, ibid. Sa mort, ibid.

CALIARI (Gabriel) Sculpteur de Vérone, pere de Paul Véronèfe, 180. Il applique fon fils à la peinture, ibid.

CALIARI (Paul) Voyez Paul Véro

AGNACCI (Guido) éléve du nèse.

CGuide, 2 72. Sa patrie, & fon

vrai nom, ibid. Son mérite, ibid. Sa mort, ibid.

CAIRO (Battista) peintre Bolonois, premier maître du Cignani, 317. CALABROIS (le) Sa naiffance, 347. Ses difpofitions pour la peinture,

CALVART (Denis) Peintre Flamand, 265. Il est le premier maître du Guide, ibid. Il enfeigne fon art au Dominiquin, 276. Et à l'Albane, 285.

CAMBIASI (Horatio) fils & éléve du Cangiage, 369. Fff

410

CAMBIASI (Jean) Peintre Génois, pere du Cangiage, 367. Il enfeigne les principes de fon art à fon fils,

ibid.

CAMBIASI (Lucas) Voyez le Cangiage.

CAMPANNA (Pierre) peintre Flamand, disciple de Raphaël, 323. CANGIAGE (le) Il mérite d'être à la tête des peintres Génois, 367. Sa naiffance, ibid. Il apprend de fon pere les principes de la peinture, ibid. Avanture qui lui arriva à fon coup d'effai, avec quelques peintres Florentins, ibid. & suiv. Sa réputation, 368. Sa grande pratique, ibid. Grand nombre de fes deffeins, ibid. Il perd fa femme, ibid. Son aveuglement pour fa belle fœur, ibid. Ses travaux à Multedo proche Genes, ibid. Philippe II. l'appelle en Efpagne, ibid. Ce qui engage le Cangiage à accepter les offres de ce Prince, ibid. Il en eft comblé de bienfaits, ibid. Sa mort, & qu'elle en fut la cause, 369. Différence de fes maniéres, ibid. En quoi il excelloit, & fes défauts, ibid. Ses éléves, ibid. Ce le Tintoret difoit de fes defque feins, 370. A qui on peut le comparer, ibid. Ses graveurs, ibid. Ses ouvrages à Genes, ibid. & fuiv. A Bologne, 371. A Naples, ibid. A Milan, ibid. A l'Efcurial, ibid. Au palais Royal, 372.

CARAVAGE (Michel-Ange de) I travaille en concurrence avec le Civoli, & eft vaincu, 117. Son vrai nom, 258. Sa naiffance & fa famille, ibid, Son premier emploi, ibid. Comment il devient un grand peintre, ibid. & fuiv. Il fuit la nature, & en eft efclave, 259. Son mépris pour les Antiques, ibid. Son humeur querelleufe, ibid. Une affaire qu'il 2, l'oblige de fortir de Milan, ibid,

Il fe rend à Venise, & s'attache à la maniére du Giorgion, ibid. Il paffe de là à Rome, ibid. Etat auquel il y eft réduit, ibid. Il est protégé & employé par le Cardinal del Monte, ibid. Nouvelle maniére par où il fe diftingue, & qui le fait regarder comme un des premiers peintres de fon temps, ibid. Secret dont il use, pour répandre beaucoup de noir fur fes tableaux, 260. Ce qui lui attire des éléves, ibid. Défauts de fa maniére, ibid. Ses travaux pour quelques Papes, ibid. Tous les peintres fe liguent contre lui, ibid. Ce qu'ils lui reprochoient, ibid. Difgrace de fes tableaux de dévotion, ibid. & fuiv. Eftime qu'il fait d'Annibal Carrache, 261. Pourquoi on lui donne, & à fes imitateurs, le nom de naturalistes, ibid. Ses querelles continuelles avec le Carrache & Josépin, ibid. Il tuë un homme à Rome, & fe retire à Malte, ibid. Peintures qu'il y fait, ibid. Le Grand Maître le fait Chevalier fervant ibid. Il eft mis en prifon, & fe fauve, ibid. Suites funeftes qu'eut cette fuite, ibid. & fuiv. Sa mort, 262, Ses malheurs, & fa maniére de vivre, ibid. Jugement sur sa maniére de peindre, ibid. Ses éléves, ibid, Goût de fes deffeins, ibid. & fuiv. Ses ouvrages à Rome, 263. A Naples, ibid. A Malte, ibid. A Messine, ibid. A Milan, ibid. A Anvers, ibid. A Florence, ibid. A Modéne, 264. A Parme, ibid. A Dusseldorf, ibid. Au cabinet du Roy, ibid. Au palais Royal, ibid. Ses graveurs, ibid.

CARDI, Voyez Louis Civoli.

CARLONE (Bernard) Sculpteur Génois, fils de Jofeph Carlone, & neveu de Taddée, 377.

CARLONE (Jean) Peintre Génois, pere de Taddée, 377.

CARLONE (Jean) fils de Taddée, 376. Sa naissance, ibid. Son premier maître, ibid. Il va étudier la peinture à Rome, & paffe enfuite à Florence dans l'école du Paffignani, ibid. Progrès qu'il fait fous ce maître, 377. A fon retour à Genes, Bernard Caftelli lui fait époufer fa fille, ibid. Par où il s'eft diftingué, ibid. Son principal ouvrage, ibid. Ses autres peintures, ibid. Sa mort, ibid. Caractère de fes deffeins, ibid. & fuiv. CARLONE (Jean-André) fils de Jean, & petit fils de Taddée, 377. Il devient bon peintre, ibid.

CARLONE (Jean-Baptifte) Il achéve à Milan les ouvrages commencés par Jean fon frere, 377. Ses autres ouvrages, ibid. Difficulté de diftinguer fes deffeins d'avec ceux de Jean, 378.

CARLONE (Jofeph) Sculpteur Génois, frere de Taddée, 377. CARLONE (Taddée) Sculpteur Génois, pere de Jean, 376. Il s'établit à Genes, ibid. Il envoie fon fils étudier la peinture à Rome, ibid.

CARLONE (Thomas) Sculpteur Génois, fils de Jofeph, & neveu de Taddée, 377:

CAROSELLI (Angelo) Peintre Romain, 59. Il enfeigne la peinture à Philippe Lauri fon beau frere, ibid. & fuiv.

CARRACHE (Annibal) Jugement qu'il porta de Raphaël, 8. Il eft trompé par le Baffan, comme Zeuxis le fut par Parrhafius, 160. Sa maiffance, 247. Il eft deftiné au métier de tailleur, & employé en fuite à l'orfévrerie, ibid. Louis fon coufin lui montre la peinture, ibid. Ses progrès, & fon application, ibid. Comment il fait rendre à fon pere ce qui lui avoit été volé, ibid. & fuiv, Son talent pour les caricatu

res, 248. Il méprise fon frere Auguftin, ibid. Il va étudier le Corrége à Parme, ibid. Connoiffance que fon frere lui procure à Venife duTintoret, de Paul Véronèse & du Basfan, & avantage qu'il en retire, ibid. Louis & Auguftin abandonnent leur maniére, pour fuivre la fienne ibid. Sa fécondité ibid. La réputation de fon frere le rend plus attentif, & plus modéré,ibid. & fuiv. Trait qu'il lança contre Augustin dans une af femblée de l'Académie, 249. Il terraffe tous les autres peintres de Lombardie, ibid. Son amour pour fes éléves, ibid. Comment il corrigea un d'entre eux, qui étoit trop curieux de fa parure, ibid. Sa modeftie, ibid. Maniére ingénieuse, dont il reprit fon frere de la vanité, ibid. Il va peindre la galerie Farnéfe à Rome, ibid. Secours qu'il reçoit dans ce travail, ibid. Cas que le Pouflin faifoit de cet ouvrage, 250. Il en eft mal récompensé, ibid. Chagrin qu'il en conçoit, ibid. Nouveaux travaux qu'il entreprend, & que la goutte l'oblige d'abandonner, ibid. Son défintéressement, ibid. Sa mort, ibid. Il veut être enterré auprès de Raphaël, ibid. Caractére de fa perfonne,ibid. Son mépris des grandeurs, ibid. Ses difciples, 251. Goût de fes deffeins, ibid. Piéces qu'il a gravées, ibid. Ses graveurs, ibid. Ses ouvrages à Bologne, ibid. & fuiv. A Parme 252. A Rome, ibid. & fuiv. A Péroufe, 253. A Florence, ibid. A Regio,. ibid. A Lorette, ibid. A Grotta Ferrata, ibid. A Modéne, ibid. A Dusseldorf, ibid. Au cabinet du Roy, ibid. & fuiv. Au palais Royal, 254

CARRACHE (Antoine) Tailleur d'habits à Crémone, pere d'Auguf tin & d'Annibal, 240.

CARRACHE (Antoine) fils naturel
d'Auguftin. Le Tintoret eft fon par-
rein, 241. Sa mort, 243. Son mé-
rite, ibid.

CARRACHE (Augustin) frere d'An
nibal, & cousin de Louis, 240. Sa
naiffance, ibid. On le destine à l'or-
févrerie, ibid. Louis obtient qu'il
étudie la peinture, ibid. Ses maî-
tres, ibid. Son amour pour les fcien-
ces & pour les arts, 241. Il devient
jaloux des progrès de fon frere An-
nibal, ibid. Il abandonne la peintu-
re, & s'attache à la gravûre, ibid.
Progrès qu'il fait en cet art à Veni-
fe fous Corneille Cort, ibid. Cort
eft jaloux de fon mérite, & le congé-
die, ibid. Il reforme dans fes gravû-
res les défauts des tableaux origi-
naux, ibid. Louanges & reproches
qu'il en reçoit, ibid. Il a à Venife un
fils naturel, ibid. Reproches que lui
attirent quelques morceaux libres
qu'il grave, ibid. L'application à la
gravûre lui affoiblit le coloris, ibid.
De retour à Bologne, il fe remet à
peindre, ibid. & fuiv. Emulation
que lui caufe la réputation d'Anni-
bal, 242. Son emploi dans l'Aca-
démie qu'ils avoient établie, ibid.
Concurrence entre les trois coufins,
ibid. Auguftin eft préféré, ibid. Il
eft reçû à l'Académie dei Gelofi de
Bologne, ibid. Louis l'envoie à Ro-
me, pour le féparer d'Annibal, ibid.
Les deux freres s'y rejoignent, &
travaillent de concert, ibid. Leur ja-
loufie fe réveille de nouveau, & on
les fépare encore, ibid. & fuiv. Tra-
vaux d'Auguftin à Parme, 243. Ce
qu'il y a à fouffrir, ibid. Comment
fe fait la converfion, ibid. Preuves
qu'il en donne dans fes derniers ta-
bleaux, ibid. Sa mort, ibid. Caracté-
re de fa perfonne, ibid. Ce qu'il
trouvoit dans l'homme de plus dif-

ficile à deffiner, ibid. & suiv. Goût
de fes deffeins, 244. Ses gravures,
ibid. & fuiv. Ses ouvrages de pein-
ture à Bologne, 245. A Rome, ibid.
A Parme, ibid. & suiv. A Modéne,
246. Au palais Royal, ibid.

CARRACHE (Louis) Son maître,
233. Il eft le chef de l'école des Car-
raches, ibid. Sa naissance, & sa fa-
mille, ibid. Son maître & le Tinto-
ret lui confeillent d'abandonner la
peinture, ibid. & fuiv. Pourquoi il
eft appellé la Jument par fes cama-
rades, 234. Il pafse à Florence chez
Dominique Pallignani, ibid. Ses au-
tres études à Parme, à Mantouë &
àVenife, ibid. A fon retour à Bolo-
gne, il furpaffe tous les peintres du
pays, ibid. Qui il avoit pris pour
modéles, ibid. Ce qu'il difoit de Ti-
baldi, ibid. Il prend en amitié fes
deux coufins Auguftin & Annibal,
ibid. Il entreprend de réformer le
goût de la peinture dans la Lom-
bardie, ibid. Moyen qu'il emploie
pour y réüffir, ibid. Il rend à la pein-
ture fon premier luftre, 235. Dé-
chaînement des peintres du pays
contre fon goût, ibid. Moyen qu'il
prend avec les coufins, pour fe met-
tre en crédit, ibid. Il ouvre avec eux
une Académie, ibid. Sa réputation
vole jufqu'à Rome, où il eft fouhai-
té, ibid. Il y envoie à fa place fon
coufin Annibal, ibid. Complaifance
qu'il a enfuite pour lui, ibid. & fuiv,
Après la mort de fes coufins, il fou-
tient feul l'honneur de la peinture à
Bologne, 236. Ses travaux dans
cette ville, & à Plaisance, ibid. Sa
fécondité, ibid. Caractére de fa per-
fonne, ibid. Son affiduité au travail,
ibid. Son défintéreffement, ibid. Ce
qu'il défaprouvoit dans les tableaux
d'Eglifes, ibid. Raison du de
réüffite de fon dernier ouvrage, ibid,

peu

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