La Jerusalem délivréeGarnier Frères editeurss, 1855 - 584 pages |
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airs âme Argant armée armes Armide arrive belle bientôt blessures bouclier Bouillon bras brille brûle cache camp casque cesse chef cher cherche chevaliers Chrétiens Ciel Clorinde cœur colère combat corps côté coups courage cours coursier crainte cruel d'autres derniers Destin devant Dieu dire dit-il donne douleur éclatante Enfin ennemis épée faible feux fidèle fond force forêt foule frappe front fuite garde gloire Godefroi Grecs guerriers haut héros heureux Infidèles jeune jour l'amour l'armée laisse lance larmes lève lieu lieux loin main menace milieu mille montre mort mortel mots murs nouvelle nuit parle paroles peine pensées père pieds place plein porte premier présente presse prières puisse qu'un rang regards Renaud rend répond repos reste rien sais sang secours semble sent sera seul soldats soleil Soliman sort Soudan Tancrède tente terre terrible tête tombe tour traits troupe trouve vainqueur valeur vents veut victoire visage voit voix yeux
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Page 220 - Le combat devient de plus en plus serré; déjà ils ne peuvent plus se servir de la pointe, c'est avec le pommeau qu'ils se frappent; et, aveuglés par un cruel transport, ils heurtent les cas ques coritre les casques, et les boucliers contre les boucliers.
Page xv - Tasse étaient évidemment l'effet d'une véritable aliénation, et méritaient de la part d'un souverain généreux , de la pitié , non de la colère ; c'était dans l'hôpital des malades, non dans la maison des fous qu'il fallait placer cet infortuné , et lui prodiguer les soins de la médecine, non des humiliations aussi déraisonnables que cruelles. ' '< On ne peut point expliquer^ encore moins justifier^les indignes traitemens que le Tasse éprouva dans cette humiliante détention.
Page xvi - Ce aéra toujours à cette éd. que nous nous référerons par la suite . trouve en tête, Nerval pouvait lire aussi ces détails curieux sur les hallucinations qui hantaient le Tasse à l'hôpital des fous : « II voyait la Vierge Marie lui apparaître : et il se croyait en butte à la haine d'un magicien qui le faisait tourmenter sans cesse par un esprit follet, acharné à lui ravir les mets de sa table et ses manuscrits » '. La vogue du Tasse fut immense à l'époque romantique, le fait est...
Page 135 - ... Quelle puissance humaine pourrait nous résister? O Dieu! soyez neutre, et la victoire est à nous. » Les deux armées s'avancent de part et d'autre avec une égale ardeur ; elles sont en présence ; en peu d'instans on voit décroître l'intervalle qui les sépare encore, .bientôt il a disparu. Les visières s'abaissent, les lances son.t en arrêt, les coursiers se précipitent ; chrétiens, musulmans, tout s'ébranle , le bouclier...