| Paul François Velly - 1774 - 506 pages
...duquel les > enfants mendient aux portes de ceux qui touchent ces penjlons 3 & fouvent les chiens font nourris du pain acheté des deniers du pauvre laboureur dont il devait vivre. Enfin j le quatrième moyen confiftoit à réformer la milice. L'Etat HISTOIRE r»E FRANCE. eft en... | |
| Gabriel Henri Gaillard - 1774 - 598 pages
...duquel les enfans mendient aux portes de ceux qui touchent ces penjions, & Jbuvent les chiens font nourris du pain acheté des deniers du pauvre. Laboureur, dont il devait vivre. 4°. Les Etats propofent de réformer la Milice , & d'aflujettir à la plus exaâe difcipline les troupes... | |
| Gabriel-Henri Gaillard - 1818 - 462 pages
...la bourse d'un laboureur, « duqiïdï les enfants mendient aux portes de ceux « qui touchent ces pensions; et souvent les chiens sont « nourris du pain acheté des deniers du pauvre labou« reur, dont il devoit vivre. » 4° Les Etats proposent de réformer la milice, et d'assujettir... | |
| France - 1514 - 766 pages
...de la bourse d'un ruboureur , duquel les poures enf.tns mendient aux buis de cetix qui ont lesdites pensions ; et souvent les chiens sont nourris du pain acheté des deniers du poure laboureur dont il devoit vivre. (7) Item, autre manière de descharger le poure peuple est, oster... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1831 - 736 pages
...monnoie qui est partie « de la bourse d'un laboureur, duquel les poures « enfans mendient aux huis de ceux qui ont les « dites pensions, et souvent les chiens sont nour« ris du pain acheté des deniers du poure labou« reur, dont il devoit vivre. » Les États demandent... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1831 - 740 pages
...monnoie qui est partie « de la bourse d'un laboureur, duqueLles poures « enfans mendient aux huis de ceux qui ont les « dites pensions, et souvent les chiens sont nourK ris du pain acheté des deniers du poure labou« reur, dont il devoit vivre. » Les Etats demandent... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1831 - 732 pages
...monnoie qui est partie « de la bourse d'un laboureur, duquel les poures « enfans mendient aux huis de ceux qui ont les « dites pensions, et souvent les chiens sont nour« ris du pain acheté des deniers du poure labou« reur, dont il devoit vivre. » Les États demandent... | |
| Philippe-Paul comte de Ségur - 1835 - 442 pages
...main de l'infortuné paysan , duquel les en« fans mendient aux portes de ceux qui touchent « ces pensions ; et souvent, les chiens sont nourris « du pain acheté des deniers dont le pauvre la« boureur devoit vivre. » Poursuivant dans cette voie, les communes demandent :... | |
| Philippe-Paul de Ségur - 1835 - 438 pages
...main de l'infortuné paysan , duquel les en« fans mendient aux portes de ceux qui touchent « ces pensions; et souvent, les chiens sont nourris « du pain acheté des deniers dont le pauvre la« boureur devoit vivre. » Poursuivant dans cette voie , les communes demandent :... | |
| Philippe Le Bas - 1842 - 952 pages
...« d'un labonretir , dont les pauvres enci ¡.¡ms mendient aux portes de ceux « qui ont lesdites pensions, et souvent « les chiens sont nourris du pain acheté * des deniers du pauvre laboureur, et « dont il devoit vivre. » Mais l'un des articles les plus importants du cahier général était... | |
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