Aussi lorsque mon pouls, inégal et pressé, Faisait peur à Tronchin, près de mon lit placé ; Quand la vieille Atropos, aux humains si sévère, Approchait ses ciseaux de ma trame légère, II a vu de quel air je prenais mon congé ; II sait si mon... Œuvres completes de Voltaire - Page 286de Voltaire - 1785Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Voltaire - 1774 - 418 pages
...près de mon lit placé , Quand la vieille Atropos aux humains fi févère Approchait fes ci féaux de ma trame légère, II a vu de quel air je prenais mon congé. II fait fi mon efprit , mon cœur était changé. Hubert (6) me fefait rire avec fes pafquinades ;... | |
| Voltaire - 1773 - 408 pages
...Célèbre médecin à Lîuifanne., T--JQuand la vieille Atropos aux humains fi févèré Aprochait fes cifeaux de ma trame légère , II a vu de quel...fait fi mon efprit, mon cœur était changé. Hubert (, 6 ) me fallait rire avec fes pafquinades ; ht. j'entrais dans la tombe au fon de fes aubades. Tu... | |
| Voltaire - 1774 - 418 pages
.... : Fefait peur à Tronchin près de mon lit placé,. : . r Quand la vieille Atropos aux humains Ci févère . . Approchait fes cifeaux de ma trame légère,...mon efprit , mon cœur était changé. '; . Hubert (6) me fefait rire avec fes pafquinactes ; Et j'entrais dans la tombe au fon de fes aubades. Tu dus... | |
| Voltaire - 1775 - 430 pages
...pouls inégal &prefle Faifait peur à Tronchin près de mon lit placé , Quand la vieille Atropos , aux humains fi févère , Approchait fes cifeaux de...fait fi mon efprit , mon cœur était changé. Hubert (6) me faifait rire avec fes pafquinades ; Et j'entrais dans la tombe au fon de fes aubades. Tu dus... | |
| Voltaire - 1775 - 546 pages
...pouls inégal & prefle Failait peur à Tronchin près de mon lit placé , Quand la vieille Atropos, aux humains fi févère, approchait fes cifeaux de...congé. Il fait fi mon efprit, mon cœur était changé, rfubërt (6) me faifait rire aVec fes pafquinades ; Et j'entrais dans la tombe au fon de fes aubades.... | |
| 1775 - 564 pages
...pouls inégal & preffé Faifait peur à Tronchin près de mon lit placé , Quand la vieille Atropos , aux humains fi févère , Approchait fes cifeaux de...légère , II a vu de quel air je prenais mon congé , II fait ii mon efprit , mon cœur était changé. Hubert ( 6 ) me faifait rife avec fes pafquinades... | |
| Voltaire - 1784 - 436 pages
...En rendant grâce aux Dieux de nous l'avoir donnée. Auflî , lorfque mon pouls inégal et preffé Fefait peur à Tronchin , près de mon lit placé...Et j'entrais dans la tombe au fon de fes aubades. Tu dus finir ainfi. Tes maximes, tes vers , Ton efprit jufte et vrai, ton mépris des enfers, (9) Tout... | |
| Voltaire - 1785 - 490 pages
...pouls inégal et preffé Fefait peur à Tronchin , près de mon lit place, Quand la vieille Albropos, aux humains fi févère, Approchait fes cifeaux de...légère , II a vu de quel air je prenais mon congé. II fait fi mon efprit , mon cœur était changé. Hubert ( 8) me fefait rire avec fes pafquinades;... | |
| Voltaire - 1817 - 592 pages
...finissait sa carrière. Quand la vieille Atropos , aux humains si sévère , Approchait ses ciseaux de ma trame légère , II a vu de quel air je prenais mon congé. Il sait si mon esprit , mon cœur était changé. Hubert * me fesait rire avec ses pasquinades; Et j'entrais... | |
| Voltaire - 1859 - 646 pages
...près de mon lit placé; Quand la vieille Atropos, aux humains si sévère, Approchait ses ciseaux de ma trame légère, II a vu de quel air je prenais mon congé; II sait si mon esprit, mon cœur était changé. Hubert me faisait rire avec ses pasquinades, Et j'entrais... | |
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