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P. 127, note 4, aj. à la fin: Dans le faubourg Saint-George d'Eisenach, on célèbre encore maintenant, le quatrième dimanche de carême, une fête appelée Der Sommergewinn, La conquête dej l'Été, ce qui signifie certainement le commencement de la nouvelle année : la place et toutes les rues sont couvertes d'œufs peints de toute couleur et d'oiseaux grossièrement fabriqués par des enfants; Wolf, Zeitschrift für deutsche Mythologie, t. II, p. 103.

P. 131, note 1, aj. à la fin :

Voy. Buonarroti, Osservazioni sopra alcuni medaglioni antichi, p. 447, et Panofka, Cabinet de Pourtalès, pl. xxxvIII. Cette prédilection de Bacchus fit même enjoindre aux courtisanes de porter des fleurs sur leurs vêtements; Suidas, s. v. ivaipat; Artémidore, 1. 11, ch. 3; Samuel Petit, Ad Lcges atticas, p. 476.

P. 131, note 4, aj. au commencement: Aussi les thyrses avaient-ils si souvent à leur sommet des pommes de pin, que selon Hesychius on leur en donnait le nom: Κώνοι τοὶ θύρσοι.

P. 131, note 6, aj. au commencement: Les miroirs figuraient dans les Mystères comme étant spécialement consacrés à Bacchus (saint Clément d'Alexandrie, Cohortatio ad Gentes, p. 15; Opera, t. I, éd. de Potter), et ils étaient devenus un emblème du caractère minique de son culte : οἷον Διονύσον ἐν κατόπτρῳ ; Plotin, I. IV, ch. 111, par. 12. Aussi en retrouve-t-on dans la pompe de la Bonne-Déesse, qui avait tant de rapports avec Bacchus : Aliaeque nitentibus speculis pone tergum reversis, venienti deae obvium commonstrareut obsequium; Apulée, Metamorphoseon 1. xi. En persan, Giam signifie encore Verre à boire et Miroir; d'Herbelot, Bibliothèque orientale, s. v. GIAM.

Ibidem, 1. 3, ajoutez:

Voilà pourquoi quelques personnes regardent encore en Normandie et en Angleterre comme un signe de malheur de briser un miroir; Notes and Queries, 1861, p. 490.

P. 133, note 7, aj. à la fin :

Voy. une chanson en allemand et en latin dans nos Poésies populaires antérieures au douzième siècle, p. 170, notes, et Aufsess, Anzeiger für Kunde des deutschen Mittelalters, 1832, p. 14.

P. 135, note 2, ajoutez :
Pontanus, De festis martinalibus.

P. 139, note 1, aj. à la fin:

Le martyre de saint Baccus (1313); dans Jubinal, Contes, dits, fabliaux, t. I, p. 250-65; Eglogue sur le retour de Bacchus, par Calvi de La Fontaine (vers 1530), et Le testament de Bacus, Chambéry, 1649, facétie en vers, dont on ne connaît qu'un exemplaire.

P. 142 igneis l. ligneis

P. 143, 1. 4: complu 1. complue

P. 152, note 2, l. 14: l. cachinnum, et aj. l. 17:

Grabow disait encore cependant en 1689 Abusus est irreligiosos ludos magnis sumptibus apparare, et apparatos effusa malitia sacris in locis, ne dican, in religiosis templis, agere; Judicium de hodiernis comoediis, p. 22.

P. 160, note 4, aj. à la fin:

La légende de saint Armel, mise en vers français sous forme de tragédie (!) par de Baudeville, fut aussi représentée, en 1600, à Ploërmel: elle a été publiée à Saint-Brieux, en 1855, par M. Sigismond Ropartz.

P. 163, note 1, aj. à la fin :

Les Jésuites étaient beaucoup plus sévères; on lit dans leur Règle: Tragoe diarum et comoediarum quas nisi latinas et rarissimas esse opportet, argumentum sit latinum et pium, nec quidquam actibus imponatur quod non sit latinum et decorum, nec persona mulieris vel habitus imponatur; De ratione studiorum,

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P. 173, note 1, aj. à la fin :

Louis XIV et la reine dansèrent encore dans les entr'actes d'une tragédie italienne intitulée Ercole amante; Menestrier, Des ballets anciens et modernes, p. 266.

P. 190, note 3, aj. à la fin :

A en croire Sorel, tous les poëtes auraient abandonné le théâtre quand il commençait à devenir populaire: Il n'y a pas aussi fort long temps qu'il n'y avoit à l'aris et par toute la France qu'un seul homme qui travaillast pour de telles représentations, qui estoit le poëte Hardy; Maison des jeux, journ, 1, 1. 3, t. I,

p. 409, éd. de 1657. Mais c'est là une in

exactitude évidente: les autres dramaturges ont été oubliés, si tant est qu'ils aient jamais eu un nom quelconque, parce qu'ils ne méritaient pas qu'on s'en souvînt, et Hardy, qui avait une part de société dans l'exploitation du théâtre du Marais, ne l'aurait pas systématiquement diminuée pour gagner le petit écu tout sec dont parlait mademoiselle Beaupré.

P. 222, notes, col. 2, 1. 3: Maître 1. Maître.

P. 232, note 1, aj. à la fin:

Le concile de Bâle disait encore dans un décret du 9 juin 1435, intitulé De spectaculis in ecclesia non faciendis : Neque etiam mercantias seu negotiationes nundinarum in ecclesia quae domus orationis esse debet, et etiam in cimeterio exerceri amplius permittant.

P. 234, note 2, aj. à la fin :

On a prétendu aussi que la confrérie de l'Immaculée Conception de Rouen fut établie vers la fin du onzième siècle; mais on sait seulement qu'elle existait depuis longtemps en 1489, et que sans renoncer à son but primitif, elle prit alors le nom d'Académie, et renouvela ses statuts. En 1515, elle fut transférée de l'église Saint-Jean au couvent des Carmes.

P. 263, note 6, ajoutez:
Povretez li a fait user

Le blanc chainse tant que as coutes
en sont andeus les manches routes;
Erec et Enide, v. 1558.

P. 270, note 6, aj. à la fin:
Grant sont li cri (et) grant li hu
qe (i. qu') Hector a un roi abatu;
Prendre le volt et retenir
et as lor par force tolir;
Par la ventaille le tenoit,
fors de la presse le traioit;

Benoit de Sainte-More, Guerre de Troies; dans le Germania, t. II, p. 207.

La ventaille se mettait avant le casque qui achevait de la fixer:

Hiaume lacié sor la vantaille; Bretex, Les tournois de Chauvenci, v. 641. La visière était au contraire attachée au casque, et se levait et s'abaissait à volonté : Messire Pierre de Savédra fait déclouer et oster la visière de son bacinet, tellement qu'il avoit tout le visage découvert, et mettoit sa teste hors de son bacinet, comme par une fenestre. D'autre part saillit le seigneur de Charny, vestu de sa

cotte d'arme, le bacinet en teste, la visière close. Mais incontinent qu'il apperceut sa partie sans visière, tout froidement il leva la sienne et la recula tout derrière son bacinet; Olivier de La Marche, Mémoires, p. 183.

P. 308, note 3, aj. à la fin : Eustache Deschamps disait dans sa Ballade du Chevalier d'armes :

Vous qui voulez l'ordre de chevalier, il vous convient mener nouvelle vie; devotement en oroison veillier; pechie fuir, orgueil et villenie;

l'esglise devez deffendre;

la vefve, aussi l'orphenin entreprendre ; estre hardis et le peuple garder; prodoms, loyaulx, sans rien de l'autrui [prendre,

ainsi se doit chevalier gouverner.

P. 320, note 1, aj. à la fin :

Le livre d'Alonzo, Historia de las hazanas y hechos del invencible caballero Bernardo del Carpio, Toledo, 1586, n'est qu'un roman composé en grande partie d'après les Romances.

P. 320, notes, col. 2, 1. 3, ajoutez :

La B. de l'Escurial possède un manuscrit du dix-septième siècle, intitulé: Lecciones varias del Cancionero general, impreso en Amberes por Martin Nucio, año de 1557, en 8°, cotejado con la impresion de Cromberger en Sevilla, año 1540, en folio; Ebert, Jahrbuch für romanische und englische Literatur, t. IV, p. 63.

P. 322, 1. 3, déviait l. dévie

P. 333, 1. 32, Shakspeare l. Shakspere P. 371, note 3, 1. 1, et ailleurs Cervantès l. Cervantes

P. 385, 1. 10, Littleton . Lyttelton P. 390, note 5, 1. 20, catéchumènes l néophytes

P. 401, note 1, 1. 3 et ailleurs, Benoît 1. Benoit

P. 409, note 4, aj. à la fin :

On lit également dans une relation du convoi d'Anne de Bretagne : Umbella ex villoso serico panno nigro, cum alba cruce; dans Montfaucon, Monuments dé la Monarchie françoise, t. IV, p. 131; voy. aussi pl. xv, p. 130.

P. 448, note 2, aj. à la fin :
C'est

par souvenir de la langue des ani

maux qu'on a imaginé ce dialogue si populaire en Normandie parmi les enfants. Te v'la binne aîse, dit une jeune brebis broutant péniblement de mauvaises herbes dans un chemin, et un vieux mouton lui répond en la regardant par dessus la haie Bel et bien, bel et bien. Quelque chose de semblable se retrouve en Suisse. Junges Lamm am Abend: Mä wend au bald hei! Das alte darauf: Mä wend no nes paar Schmäleli Abbissä. Der Hälibock: Mä wällä geäh; dans Rochholz, Aleman

nisches Kinderlied und Kinderspiel aus der Schweiz, p. 97.

P. 448, note 3, aj. à la fin :

Apollonius de Thyane prétendait aussi comprendre la langue des oiseaux: Marsilius Ficinus raconte d'après le 1. in du De abstinentia, de Porphyre, qu'il avait entendu Hirundinem aliis nuntiare asinum prope urbem onustum tritico occidisse, triticumque humi diffusum.

P. 449, 1. 14: populaires, l. populaires:

TABLE DES MATIÈRES.

Des formes du mariage et des usages populaires qui s'y ratta-
chaient, surtout en France, pendant le moyen âge.

De l'usage non interrompu jusqu'à nos jours des tablettes en cire.
Du développement de la tragédie en France.

La vie et les ouvrages de Wace.

La légende de Robert le Diable.

Les Romances espagnoles.

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De la Tapisserie de Bayeux et de son importance historique.
Les Contes de bonnes femmes.

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