Œuvres choisies: PoèmeBrasseur aîné, 1810 |
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... prouver à propos sa pétulance insigne , Qu'il pousse avec les poings , que des pieds il trépigne ; Qu'il peigne le pétard et la poudre à canon , Comme il peint lourdement la pesanteur du plomb : Mais de son plein pouvoir alors qu'il se ...
... prouver à propos sa pétulance insigne , Qu'il pousse avec les poings , que des pieds il trépigne ; Qu'il peigne le pétard et la poudre à canon , Comme il peint lourdement la pesanteur du plomb : Mais de son plein pouvoir alors qu'il se ...
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... du siècle de Louis XIV et du nôtre à le prouver . Les différentes recherches que j'ai faites sur la partie mécanique du style m'ont démontré à moi - même qu'il était possible , dans tous les genres , et NOTES du premier Chant.
... du siècle de Louis XIV et du nôtre à le prouver . Les différentes recherches que j'ai faites sur la partie mécanique du style m'ont démontré à moi - même qu'il était possible , dans tous les genres , et NOTES du premier Chant.
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... prouver trop ne prouve rien . Faites- vous cas de la judiciaire des Petites Affi- ches ? ( 1 ) ( 1 ) C'est une feuille où l'on ne parle qu'accidentelle- ment et pour le plaisir de dire du mal des pièces dé théâtre et des livres . Son ...
... prouver trop ne prouve rien . Faites- vous cas de la judiciaire des Petites Affi- ches ? ( 1 ) ( 1 ) C'est une feuille où l'on ne parle qu'accidentelle- ment et pour le plaisir de dire du mal des pièces dé théâtre et des livres . Son ...
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... prouver que vous ne travaillez pas << sur une chimère , et que la langue française << est susceptible d'une harmonie imitative . Je « < souscris aux éloges que vous lui donnez ; « mais nos grands écrivains l'ont bien mieux , « < louée ...
... prouver que vous ne travaillez pas << sur une chimère , et que la langue française << est susceptible d'une harmonie imitative . Je « < souscris aux éloges que vous lui donnez ; « mais nos grands écrivains l'ont bien mieux , « < louée ...
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... prouver que la nôtre était aussi laconique que les autres . Qu'y a - t - il de plus laconique et à la fois d'un plus grand sens que ces deux vers où Boileau nous trace le portrait d'un poëte latin renommé par son laconisme . Perse en ...
... prouver que la nôtre était aussi laconique que les autres . Qu'y a - t - il de plus laconique et à la fois d'un plus grand sens que ces deux vers où Boileau nous trace le portrait d'un poëte latin renommé par son laconisme . Perse en ...
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 235 - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout , brouilla tout , fit un art à sa mode , Et toutefois longtemps eut un heureux destin.
Page 269 - Au pied du mont Adule, entre mille roseaux *, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux, Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante : Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.
Page 235 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, i Et réduisit la muse aux règles du devoir.
Page 266 - Ce n'était plus ce prince environné de gloire, Aux combats, dès l'enfance, instruit par la victoire, Dont l'Europe en tremblant regardait les progrès, Et qui de sa patrie emporta les regrets, Quand du nord étonné de ses vertus suprêmes Les peuples à ses pieds mettaient les diadèmes. Tel brille au second rang, qui s'éclipse au premier ; II devint lâche roi, d'intrépide guerrier : Endormi sur le trône au sein de la mollesse, Le poids de sa couronne accablait sa faiblesse.
Page 155 - Un pédant, enivré de sa vaine science, Tout hérissé de grec, tout bouffi d'arrogance, Et qui, de mille auteurs retenus mot pour mot, Dans sa tête entassés, n'a souvent fait qu'un sot, Croit qu'un livre fait tout, et que sans Aristote3 La raison ne voit goutte, et le bon sens radote.
Page 74 - On reposait la nuit, on dormait tout le jour. Seulement au printemps, quand Flore dans les plaines Faisait taire des vents les bruyantes haleines, Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent.
Page 148 - Suis-moi donc. Mais je vois , sur ce début de prône , Que ta bouche déjà s'ouvre large d'une aune , Et que les yeux fermés , tu baisses le menton. Ma foi, le plus sûr est de finir ce sermon. Aussi bien j'aperçois ces melons qui t'attendent, Et ces fleurs qui là-bas entre elles se demandent S'il est fête au village , et pour quel saint nouveau On les laisse aujourd'hui si longtemps manquer d'eau. EPITRE XII. SUK L'AMOUR DE DIEU. I695. A M. L'ABBÉ RENAUDOT'.
Page 261 - Ignavum, fucos, pecus a praesepibus arcent. Fervet opus, redolentque thymo fragrantia mella Ac veluti, lentis Cyclopes fulmina massis...
Page 292 - J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Page 235 - Le caprice tout seul faisait toutes les lois. La rime, au bout des mots assemblés sans mesure, Tenait lieu d'ornements, de nombre et de césure.