Oeuvres, Volume 2B. Gibert, 1751 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 71
Page 404
... CLARICE , Fille de Lifidor . ARAMINTE , Sœur de Lifidor . ARTE'NICE , Fille d'Araminte . PLUSIEURS SCAVANS . LA FLEUR , Laquais . La Scène eft dans le Château de Léandre . LES PHILOSOPHES AMOUREUX , COMEDIE . ACTE PREMIE R. SCENE ...
... CLARICE , Fille de Lifidor . ARAMINTE , Sœur de Lifidor . ARTE'NICE , Fille d'Araminte . PLUSIEURS SCAVANS . LA FLEUR , Laquais . La Scène eft dans le Château de Léandre . LES PHILOSOPHES AMOUREUX , COMEDIE . ACTE PREMIE R. SCENE ...
Page 409
... Clarice elle - même , Penfe comme fon Pere , & c'eft pourquoi je l'aime . POLE MON . Si jeune , l'intérêt est sa premiére loi ? LISIDOR . C'est que je l'ai formée , elle eft digne de moi . Elle eft vive , étourdie , un peu trop ...
... Clarice elle - même , Penfe comme fon Pere , & c'eft pourquoi je l'aime . POLE MON . Si jeune , l'intérêt est sa premiére loi ? LISIDOR . C'est que je l'ai formée , elle eft digne de moi . Elle eft vive , étourdie , un peu trop ...
Page 417
... Clarice . LEANDRE à part . Je fuis mort ! Non . DAMIS à Léandre . Qu'avez - vous ? vous molliffez je crois ? LEANDRE d'un ton tremblant , LISIDOR . C'est ma Fille enfin que j'amene avec moi . LEANDRE d'un ris forcé . Ah ! fort bien ...
... Clarice . LEANDRE à part . Je fuis mort ! Non . DAMIS à Léandre . Qu'avez - vous ? vous molliffez je crois ? LEANDRE d'un ton tremblant , LISIDOR . C'est ma Fille enfin que j'amene avec moi . LEANDRE d'un ris forcé . Ah ! fort bien ...
Page 419
... Clarice ? LEANDRE . Oui ; voilà le fecret que je tenois caché , Et qu'en dépit de moi vous m'avez arraché . Clarice m'a frapé malgré fon caractére , Qui , dès T 6 COMEDIE . 419 DAMI S. ...
... Clarice ? LEANDRE . Oui ; voilà le fecret que je tenois caché , Et qu'en dépit de moi vous m'avez arraché . Clarice m'a frapé malgré fon caractére , Qui , dès T 6 COMEDIE . 419 DAMI S. ...
Page 420
... Clarice enfin accoutumé , Je ne les fentis plus ; même je les aimai : Mais fa diftraction l'empêcha de connoître Que de mon foible cœur je n'étois plus le maître ; Et moi , piqué de voir que fur ma paffion L'ingrate témoignât fi peu d ...
... Clarice enfin accoutumé , Je ne les fentis plus ; même je les aimai : Mais fa diftraction l'empêcha de connoître Que de mon foible cœur je n'étois plus le maître ; Et moi , piqué de voir que fur ma paffion L'ingrate témoignât fi peu d ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
affez affure aime ainfi ANGELIQUE ARAMINTE ARTENICE auffi avez avoit BABET BARONNE c'eft c'eſt charmé cher chofe CIDALIS CIDALISE CLARICE CLEON cœur COMEDIE COMTESSE connois connoître Coufin CRISPIN crois DAMIS difcours efprit Eft-ce époufer eſt êtes étoit fage fans fçais fçait fçavez fçavoir fecond Femme fens fera feroit fervir feul Fille FINET foit fommes font fouffrir fouvent GERONTE grace homme ISABELLE j'ai j'en fuis jufqu'à jufte JULIE l'amour l'efprit L'OLIVE laiffe LEANDRE LICAN DRE LICANDRE Lifette LISETTE LISIDOR LISIMO m'en Madame la Comteffe Mademoiſelle Maîtreffe Meffieurs MERCURE Monfieur des Mazures Monfieur le Comte Mr DES MAZURES n'eft n'eſt NERIN Nérine Oncle paffer Parbleu parler paroît PASQUI PASQUIN penfer Pere perfonne Philinte plaifir POLEM POLEMON prefent PRESIDENT raifon refpect refte révérence rien s'eft s'il vous plaît SCENE VII tems tendreffe TESS vais VALER VALERE veux voilà vois
Fréquemment cités
Page 344 - Mais il faut vous complaire, L'honneur que vous avez d'être un de mes rivaux Va vous faire monter au rang de mes égaux. PHILINTE, d'un air railleur , mettant ses gants. Je suis reconnoissant de cette grâce insigne , Et je vais vous prouver que mon cœur en est digne.
Page 16 - On entre dans une assemblée ou dans une compagnie: on regarde, on choisit entre toutes les dames celle qui revient davantage : on lui jette de tendres œillades, on lui fait des mines, on cherche à lui parler, on lui parle. La déclaration se fait dès le premier abord; si la belle s'en scandalise, ce qui n'arrive guère, on s'en moque, et on n'y revient pas : si elle prend la chose de bonne grâce, on lui fait des protestations; elle y répond , voilà qui est fait : ensuite on court ensemble...
Page 370 - Est-ce là le retour Dont vous payez mes soins? Suivi de ma famille, Dois-je venir ici vous présenter ma fille, Vous priant à genoux de vouloir l'accepter? Si tu te l'es promis, tu n'as qu'à décompter. Ma fille vaut bien peu, si l'on ne la demande. Je te baise les mains, et je me recommande A ta grandeur.
Page 381 - Qui? moi? Je n'en ai point. LE COMTE. Comment donc! vous n'avez aucune seigneurie? LISIMON. Ah! je me souviens d'une. Écrivez, je vous prie.
Page 358 - Je connois votre cœur, Et je vous l'ai prédit, vous ferez mon bonheur. Mais hélas ! que je crains de revoir votre frère ! LISETTE. Mon frère ! Et quel est-il ? LYCANDRE.
Page 385 - En sondant votre cœur, j'ai frémi, j'ai tremblé. Mais, malgré votre orgueil, la nature a parlé. Qu'en ce moment pour moi ce triomphe a de charmes ! Je dois donc maintenant terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis. Mon fils, rassurez-vous. Nos malheurs sont finis. Le Ciel, enfin pour nous devenu plus propice, A de mes ennemis confondu la malice.
Page 196 - Oui, mou maître, Sans s'en apercevoir, est ruiné tout net. Il brille; mais, ma foi! c'est en faisant binet. On va, pour l'achever, jouer un jeu terrible. Mon maître taillera : crois-tu qu'il soit possible Qu'il évite sa perte? Il joue étourdiment, Tient tout et ne voit rien. Tu juges aisément Que sa banque se fond en jouant de la sorte , Et que ce qu'il y met tout le monde l'emporte? FINETTE. Il faut que ma maîtresse...
Page 388 - Et , s'il reste entiché d'un peu de vaine gloire , Avec tant de mérite on peut s'en faire accroire. LE COMTE. Non : je n'aspire plus qu'à triompher de moi ; Du respect , de l'amour , je veux suivre la loi. Ils m'ont ouvert les yeux ; qu'ils m'aident à me vaincre.
Page 324 - Oh bien! tu t'y feras, mon enfant. Sur les tiennes, A mon âge, crois-tu que je forme les miennes ? LE COMTE. Vous aurez la bonté d'y faire vos efforts.
Page 283 - Autrement je succombe à la mélancolie. J'eus un maître autrefois, que je regrette fort, Et que je ne sers plus, attendu qu'il est mort: Il ne me...