Oeuvres, Volume 2B. Gibert, 1751 |
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... enfin vous rameniez la mode des beaux fentimens . VALER E. Ma foi , Mademoiselle , je vous aime autant que je puis vous aimer . ANGELIQUE . Cela ne dit rien . Je veux réformer votre cœur , & le rendre capable d'une paffion auffi ...
... enfin vous rameniez la mode des beaux fentimens . VALER E. Ma foi , Mademoiselle , je vous aime autant que je puis vous aimer . ANGELIQUE . Cela ne dit rien . Je veux réformer votre cœur , & le rendre capable d'une paffion auffi ...
Page 74
... enfin , qu'avez - vous fait , depuis que vous êtes partis d'ici ? CRISPIN . Voici le détail de nos avantures . D'abord que nous fumes fortis de Paris , .... Nous fumes tout étonnez de n'y être plus . NERIN E. Cela eft admirable ...
... enfin , qu'avez - vous fait , depuis que vous êtes partis d'ici ? CRISPIN . Voici le détail de nos avantures . D'abord que nous fumes fortis de Paris , .... Nous fumes tout étonnez de n'y être plus . NERIN E. Cela eft admirable ...
Page 101
... Enfin de toute cette Famille , il ne refte qu'une Fille du Duc , qui eft Veuve , & qui n'a point d'enfans . LICAN DR E. Surcroît de bonheur pour moi ! Il faut que j'ail le trouver cette Dame , fans perdre un moment . E 3 COMEDI E. ΤΟΙ ...
... Enfin de toute cette Famille , il ne refte qu'une Fille du Duc , qui eft Veuve , & qui n'a point d'enfans . LICAN DR E. Surcroît de bonheur pour moi ! Il faut que j'ail le trouver cette Dame , fans perdre un moment . E 3 COMEDI E. ΤΟΙ ...
Page 115
... Enfin , voilà Julie une riche Héritiere , puifqu'elle aura non- feulement tout ce que je poffède , mais encore toute la fucceffion de la Veuve . LISIM O N. Il eft naturel que Julie foit votre Héritiere , puif- que vous n'avez point d ...
... Enfin , voilà Julie une riche Héritiere , puifqu'elle aura non- feulement tout ce que je poffède , mais encore toute la fucceffion de la Veuve . LISIM O N. Il eft naturel que Julie foit votre Héritiere , puif- que vous n'avez point d ...
Page 143
... enfin c'étoient toujours des imitations , & tout le monde conviendra fans peine , qu'il eft bien plus aifé de perfec- tionner que d'inventer ; fur - tout quand un grand Homme polit l'ouvrage d'un grand Homme . Pour ce qui me concerne ...
... enfin c'étoient toujours des imitations , & tout le monde conviendra fans peine , qu'il eft bien plus aifé de perfec- tionner que d'inventer ; fur - tout quand un grand Homme polit l'ouvrage d'un grand Homme . Pour ce qui me concerne ...
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Expressions et termes fréquents
affez affure aime ainfi ANGELIQUE ARAMINTE ARTENICE auffi avez avoit BABET BARONNE c'eft c'eſt charmé cher chofe CIDALIS CIDALISE CLARICE CLEON cœur COMEDIE COMTESSE connois connoître Coufin CRISPIN crois DAMIS difcours efprit Eft-ce époufer eſt êtes étoit fage fans fçais fçait fçavez fçavoir fecond Femme fens fera feroit fervir feul Fille FINET foit fommes font fouffrir fouvent GERONTE grace homme ISABELLE j'ai j'en fuis jufqu'à jufte JULIE l'amour l'efprit L'OLIVE laiffe LEANDRE LICAN DRE LICANDRE Lifette LISETTE LISIDOR LISIMO m'en Madame la Comteffe Mademoiſelle Maîtreffe Meffieurs MERCURE Monfieur des Mazures Monfieur le Comte Mr DES MAZURES n'eft n'eſt NERIN Nérine Oncle paffer Parbleu parler paroît PASQUI PASQUIN penfer Pere perfonne Philinte plaifir POLEM POLEMON prefent PRESIDENT raifon refpect refte révérence rien s'eft s'il vous plaît SCENE VII tems tendreffe TESS vais VALER VALERE veux voilà vois
Fréquemment cités
Page 344 - Mais il faut vous complaire, L'honneur que vous avez d'être un de mes rivaux Va vous faire monter au rang de mes égaux. PHILINTE, d'un air railleur , mettant ses gants. Je suis reconnoissant de cette grâce insigne , Et je vais vous prouver que mon cœur en est digne.
Page 16 - On entre dans une assemblée ou dans une compagnie: on regarde, on choisit entre toutes les dames celle qui revient davantage : on lui jette de tendres œillades, on lui fait des mines, on cherche à lui parler, on lui parle. La déclaration se fait dès le premier abord; si la belle s'en scandalise, ce qui n'arrive guère, on s'en moque, et on n'y revient pas : si elle prend la chose de bonne grâce, on lui fait des protestations; elle y répond , voilà qui est fait : ensuite on court ensemble...
Page 370 - Est-ce là le retour Dont vous payez mes soins? Suivi de ma famille, Dois-je venir ici vous présenter ma fille, Vous priant à genoux de vouloir l'accepter? Si tu te l'es promis, tu n'as qu'à décompter. Ma fille vaut bien peu, si l'on ne la demande. Je te baise les mains, et je me recommande A ta grandeur.
Page 381 - Qui? moi? Je n'en ai point. LE COMTE. Comment donc! vous n'avez aucune seigneurie? LISIMON. Ah! je me souviens d'une. Écrivez, je vous prie.
Page 358 - Je connois votre cœur, Et je vous l'ai prédit, vous ferez mon bonheur. Mais hélas ! que je crains de revoir votre frère ! LISETTE. Mon frère ! Et quel est-il ? LYCANDRE.
Page 385 - En sondant votre cœur, j'ai frémi, j'ai tremblé. Mais, malgré votre orgueil, la nature a parlé. Qu'en ce moment pour moi ce triomphe a de charmes ! Je dois donc maintenant terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis. Mon fils, rassurez-vous. Nos malheurs sont finis. Le Ciel, enfin pour nous devenu plus propice, A de mes ennemis confondu la malice.
Page 196 - Oui, mou maître, Sans s'en apercevoir, est ruiné tout net. Il brille; mais, ma foi! c'est en faisant binet. On va, pour l'achever, jouer un jeu terrible. Mon maître taillera : crois-tu qu'il soit possible Qu'il évite sa perte? Il joue étourdiment, Tient tout et ne voit rien. Tu juges aisément Que sa banque se fond en jouant de la sorte , Et que ce qu'il y met tout le monde l'emporte? FINETTE. Il faut que ma maîtresse...
Page 388 - Et , s'il reste entiché d'un peu de vaine gloire , Avec tant de mérite on peut s'en faire accroire. LE COMTE. Non : je n'aspire plus qu'à triompher de moi ; Du respect , de l'amour , je veux suivre la loi. Ils m'ont ouvert les yeux ; qu'ils m'aident à me vaincre.
Page 324 - Oh bien! tu t'y feras, mon enfant. Sur les tiennes, A mon âge, crois-tu que je forme les miennes ? LE COMTE. Vous aurez la bonté d'y faire vos efforts.
Page 283 - Autrement je succombe à la mélancolie. J'eus un maître autrefois, que je regrette fort, Et que je ne sers plus, attendu qu'il est mort: Il ne me...