Oeuvres, Volume 2B. Gibert, 1751 |
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... riant . FINETTE les yeux baillex . Rien , Monfieur . CLEON . Tu foupires , je croi ? FINETTE pouffant un gros foupir . Il eft vrai . CLEON . Quel fujet t'infpire la trifteffe ? FINETT E. Je m'afflige , Monfieur , pour ma pauvre ...
... riant . FINETTE les yeux baillex . Rien , Monfieur . CLEON . Tu foupires , je croi ? FINETTE pouffant un gros foupir . Il eft vrai . CLEON . Quel fujet t'infpire la trifteffe ? FINETT E. Je m'afflige , Monfieur , pour ma pauvre ...
Page 166
... riant . Mi , que dites - vous d'un femblable message ? Julie avec Finette eft de concert , je gage . LE COMT E d'un air froid . Non , je ne le crois pas . Mais je fuis affuré Qu'elle a perdu beaucoup , & doit vous fçavoir gré D'un ...
... riant . Mi , que dites - vous d'un femblable message ? Julie avec Finette eft de concert , je gage . LE COMT E d'un air froid . Non , je ne le crois pas . Mais je fuis affuré Qu'elle a perdu beaucoup , & doit vous fçavoir gré D'un ...
Page 168
... riant . Je crois l'entendre encore . LE C'est celui de mon Pere ' , BARON . Il avoit bien affaire De fuer , de veiller , d'entaffer , pour un Fils Qui prodigue des biens fi durement acquis ! CLE ON rit encore plus fort , & le Comte ...
... riant . Je crois l'entendre encore . LE C'est celui de mon Pere ' , BARON . Il avoit bien affaire De fuer , de veiller , d'entaffer , pour un Fils Qui prodigue des biens fi durement acquis ! CLE ON rit encore plus fort , & le Comte ...
Page 170
... riant . Dépend - elle de vous ? Songez - vous qu'elle est Veuve ? Maîtreffe de fon fort ? · LE BARON . Ah , vous ferez l'épreuve Que j'en fuis maître encor . Je vous donne huit jours ; Et fi dans ce tems - là prenant un autre cours ...
... riant . Dépend - elle de vous ? Songez - vous qu'elle est Veuve ? Maîtreffe de fon fort ? · LE BARON . Ah , vous ferez l'épreuve Que j'en fuis maître encor . Je vous donne huit jours ; Et fi dans ce tems - là prenant un autre cours ...
Page 172
... riant . Va , Le tien rend à merveille , & je t'en félicite . LE MARQUIS . Je fuis fec , abîmé , ruiné , mais parbleu J'ai deux bons apuis . CLEON . Qui ? LE MARQUIS . Les Femmes , & le Jeu Depuis que je fuis gueux , je vis dans l ...
... riant . Va , Le tien rend à merveille , & je t'en félicite . LE MARQUIS . Je fuis fec , abîmé , ruiné , mais parbleu J'ai deux bons apuis . CLEON . Qui ? LE MARQUIS . Les Femmes , & le Jeu Depuis que je fuis gueux , je vis dans l ...
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Expressions et termes fréquents
affez affure aime ainfi ANGELIQUE ARAMINTE ARTENICE auffi avez avoit BABET BARONNE c'eft c'eſt charmé cher chofe CIDALIS CIDALISE CLARICE CLEON cœur COMEDIE COMTESSE connois connoître Coufin CRISPIN crois DAMIS difcours efprit Eft-ce époufer eſt êtes étoit fage fans fçais fçait fçavez fçavoir fecond Femme fens fera feroit fervir feul Fille FINET foit fommes font fouffrir fouvent GERONTE grace homme ISABELLE j'ai j'en fuis jufqu'à jufte JULIE l'amour l'efprit L'OLIVE laiffe LEANDRE LICAN DRE LICANDRE Lifette LISETTE LISIDOR LISIMO m'en Madame la Comteffe Mademoiſelle Maîtreffe Meffieurs MERCURE Monfieur des Mazures Monfieur le Comte Mr DES MAZURES n'eft n'eſt NERIN Nérine Oncle paffer Parbleu parler paroît PASQUI PASQUIN penfer Pere perfonne Philinte plaifir POLEM POLEMON prefent PRESIDENT raifon refpect refte révérence rien s'eft s'il vous plaît SCENE VII tems tendreffe TESS vais VALER VALERE veux voilà vois
Fréquemment cités
Page 344 - Mais il faut vous complaire, L'honneur que vous avez d'être un de mes rivaux Va vous faire monter au rang de mes égaux. PHILINTE, d'un air railleur , mettant ses gants. Je suis reconnoissant de cette grâce insigne , Et je vais vous prouver que mon cœur en est digne.
Page 16 - On entre dans une assemblée ou dans une compagnie: on regarde, on choisit entre toutes les dames celle qui revient davantage : on lui jette de tendres œillades, on lui fait des mines, on cherche à lui parler, on lui parle. La déclaration se fait dès le premier abord; si la belle s'en scandalise, ce qui n'arrive guère, on s'en moque, et on n'y revient pas : si elle prend la chose de bonne grâce, on lui fait des protestations; elle y répond , voilà qui est fait : ensuite on court ensemble...
Page 370 - Est-ce là le retour Dont vous payez mes soins? Suivi de ma famille, Dois-je venir ici vous présenter ma fille, Vous priant à genoux de vouloir l'accepter? Si tu te l'es promis, tu n'as qu'à décompter. Ma fille vaut bien peu, si l'on ne la demande. Je te baise les mains, et je me recommande A ta grandeur.
Page 381 - Qui? moi? Je n'en ai point. LE COMTE. Comment donc! vous n'avez aucune seigneurie? LISIMON. Ah! je me souviens d'une. Écrivez, je vous prie.
Page 358 - Je connois votre cœur, Et je vous l'ai prédit, vous ferez mon bonheur. Mais hélas ! que je crains de revoir votre frère ! LISETTE. Mon frère ! Et quel est-il ? LYCANDRE.
Page 385 - En sondant votre cœur, j'ai frémi, j'ai tremblé. Mais, malgré votre orgueil, la nature a parlé. Qu'en ce moment pour moi ce triomphe a de charmes ! Je dois donc maintenant terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis. Mon fils, rassurez-vous. Nos malheurs sont finis. Le Ciel, enfin pour nous devenu plus propice, A de mes ennemis confondu la malice.
Page 196 - Oui, mou maître, Sans s'en apercevoir, est ruiné tout net. Il brille; mais, ma foi! c'est en faisant binet. On va, pour l'achever, jouer un jeu terrible. Mon maître taillera : crois-tu qu'il soit possible Qu'il évite sa perte? Il joue étourdiment, Tient tout et ne voit rien. Tu juges aisément Que sa banque se fond en jouant de la sorte , Et que ce qu'il y met tout le monde l'emporte? FINETTE. Il faut que ma maîtresse...
Page 388 - Et , s'il reste entiché d'un peu de vaine gloire , Avec tant de mérite on peut s'en faire accroire. LE COMTE. Non : je n'aspire plus qu'à triompher de moi ; Du respect , de l'amour , je veux suivre la loi. Ils m'ont ouvert les yeux ; qu'ils m'aident à me vaincre.
Page 324 - Oh bien! tu t'y feras, mon enfant. Sur les tiennes, A mon âge, crois-tu que je forme les miennes ? LE COMTE. Vous aurez la bonté d'y faire vos efforts.
Page 283 - Autrement je succombe à la mélancolie. J'eus un maître autrefois, que je regrette fort, Et que je ne sers plus, attendu qu'il est mort: Il ne me...