 | Cousin d'Avallon - 1811 - 168 pages
...offenses, il est d'une grand* âme, et c'était une vertu morale avant d'être une vertu chrétienne. Les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent de se perfectionner. Nous sortons de la vie comme d'un spectacle enchanteur ; l'aveugle en sort ainsi que d'un cachot :... | |
 | Denis Diderot - 1818 - 772 pages
...que nous ne serons jamais exposés à nous prendre pour un autre , ni un autre pour nous. D'ailleurs les secours , que nos sens se prêtent mutuellement , les empêchent de se perfectionner. Cette occasion ne sera pas la seule que j'aurai d'en faire la remarque. Notre aveugle nous dit , à... | |
 | Denis Diderot - 1821 - 532 pages
...que nous ne serons jamais exposés à nous prendre pour un autre , ni un autre pour nous. D'ailleurs les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent 'de se perfectionner. Cette occasion ne sera pas la seule que j'aurai d'en faire la remarque. Notre aveugle nous dit, a.... | |
 | Académie des sciences morales et politiques (France) - 1851 - 516 pages
...les autres animaux. D « Il reste donc bien démontré que l'éducation des, organes et des sens peut contribuer à leur perfectionnement. « A ce propos,...les secours que nos sens se prêtent mutuellement le empêchent de se perfectionner. At-il raison ? Je ne le crois pas. Au contraire, en bonne logique,... | |
 | 1851 - 622 pages
...fausses. Vous savez que Diderot explique, cette finesse des sens qui suppléent aux autres, en disant que les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent de se perfectionner. Le docteur, lui, explique l'imperfection de l'intelligence du sourd-muet par l'absence de tout moyen... | |
 | Société des études historiques - 1851 - 620 pages
...fausses. Vous savez que Diderot explique cette finesse des sens qui suppléent aux autres, en disant que les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent de se perfectionner. Le docteur, lui, explique l'imperfection de l'intelligence du sourd-muet par l'absence de tout moyen... | |
 | 1851 - 618 pages
...fausses. Vous savez que Diderot explique cette finesse des sens qui suppléent aux autres, en disant que les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent de se perfectionner. Le docteur, lui, explique l'imperfection de l'intelligence du sourd-muet par l'absence de tout moyen... | |
 | Denis Diderot - 1875 - 574 pages
...que nous ne serons jamais exposés à nous prendre pour un autre, ni un autre pour nous. D'ailleurs les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent de se perfectionner. Cette occasion ne sera pas la seule que j'aurai d'en faire la remarque. Notre aveugle nous dit, à... | |
 | Denis Diderot, Marie Angélique Diderot de Vandeul - 1901 - 516 pages
...que nous ne serons jamais exposés à nous prendre pour un autre, ni un autre pour nous. D'ailleurs, les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent de se perfectionner. Cette occasion ne sera pas la seule que j'aurai d'en faire la remarque. Notre aveugle nous dit, à... | |
 | Société du dix-huitième siècle - 1913 - 536 pages
...jamais exposés à nous prendre pour un autre, ni un autre pournous». Et il conclut: «D'ailleurs les secours que nos sens se prêtent mutuellement les empêchent de se perfectionner. » El encore : « Je conclus de là que nous tirons sans doute du concours de nos sens et de nos organes... | |
| |
Nous n'étudions les visages que pour reconnaître les personnes ; et si nous ne retenons pas la nôtre, c'est que nous ne serons jamais exposés à nous prendre pour un autre, ni un autre pour nous. D'ailleurs les secours que nos sens se prêtent mutuellement... 
