LIVRE PREMIER. offensée par cette Philofophie. Montai- ction, page r CH. II. Diuerfes raisons pour refuter le Pyrrhonifme,& le conuaincre de faux, 11 CH.III. Où eft posé l'argument de Mon- taigne, par lequel il pretend prouuer que toutes nos connoiffances font trompeufes CH. IV. Où il eft répondu aux obiections rapportées au Chapitre precedent, CH. V. A fçauoir fi les Noms font des 39 46 CH. VI. Suite de la mefme matiere, CH. VII. Eclairciffement de quelques autres difficultez concernant la matiere precedente, CH.VIII. Demonftration contre les Pyrrhoniens, tirée de la connoiffance que nous auons de l'Existence de noftre Eftre. Auec l'Examen de cette Propofition, qu'il n'y a rien dans l'Entendement qui n'y foit entré par les fens, 53 CH. IX. Des Connoiffances Intellectuel 60 69 les, CH. X. Argument contre les Pyrrhoniens, tiré de la Nature & de l'employ de la Logique, CH.XI. Confirmation de la Doctrine precedente, par l'usage des derniers Principes, CH. XII. Second vfage du Principe de Existence de l'Operation des Eftres, 83 77 LIVRE SECOND. De la certitude des Connoiffances Humaines. CHAP.I. Principe de Morale, ONSIDERATION fur C се Qu'on eft obligé d'aimer fes bien-facteurs, & de reconnoiftre les biens qu'on en reçoit quand on le peut, 99 page 93: CH. II. De l'amour propre & de l'Intereft, CH. III. Des proprietez de l'Amour propre ou de l'Amour de noftre Estre. Ex plication autres Principes de Morale,· CH. IV. De la Generofité, éclairciffement de quelques 106 117 CH. V. De la vertu d'Humilité, & de fes fuites tirées de la constitution naturelle de l'homme, 123 CH. VI. De la vertu de Gratitude, qui doit accompagner ou fuiure l'humilité, 130 CH. VII. Confiderations pour destourner les Souuerains & les autres Grands, du mépris de leur prochain, 134 CH.VIII. Suite de la mefme matiere, 150 CH. IX. Quelques auis concernant la maniere d'enfeigner la Morale aux Prin ces, 156 CH. X. Où l'opinion de Machiauel eft refutée, qui veut que la Religion abbaisse le courage des Chreftiens, & les empefche d'entreprendre de grandes chofes, 167 CH. XI. De la vaillance, 180 190 CH. XII. Crayon de la vaillance felon Ariftote, CH. XIII. Que la Conftitution de l'Eftre de l'Homme, eft la racine & le fondement de la Societé Ciuile, dont Dieu eft le Protecteur. 195 ́ú ij LIVRE TROISIESME. De l'obeïssance que les fuiers doiuent à leurs Souuerains. Obeyffance, ONSIDERATIONS preliminaires touchant cette page 203 208 CH. II. D'où a procedé l'institution des 212 monde, CH. IV. S'il y a des Cas où il foit loifible aux Suiets de n'obeyr pas à leur Souue 217 rain, CH.V. Confideration generale fur la Police des Payens, & combien l'Idolatrie qu'ils y auoient introduite, les efloignoit de la fin qu'ils s'estoient proposée en l'y introduifant, 225 CH. VI. De quelques Occafions, où les |