Petite bibliotheque des théatres: La magie de l'amourAu bureau [de la Petite bibliotheque des théatres], 1788 |
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Expressions et termes fréquents
acte affreux ALBIN amant Aménophis amour Arthésis avoit Bernard-Joseph SAURIN BEVERLE BLANCHE bonheur chere cœur connois connoître Constance Consul courage courroux crains Crassus cruel déja derniere désespoir digne dois douleur Durval ÉMILIE époux étoit fatal femme fille fils foible foiblesse fortune funeste fureur gloire grace GUISCARD hélas HENRIETTE Héros homme hymen J'ai J'aurois j'en jamais JARVIS Joseph Saurin l'ame l'amour l'Auteur l'interrompant larmes LAURE Leuson m'en Madame B Madame BEVERLEI Mademoiselle Clairon main maître malheur Marquis de Condorcet MESSALA Monsieur Morgant mortel n'étoit noble NORICUS ô Ciel Osmont pardonner paroître passion pere perfide peuple peut-être Piece pleurs poignard qu'à rien RODOLPHE Romains Rome SABINE sang SAURIN SCENE PREMIERE SCENE VIII secret Seigneur sentimens sentiment seroit seul SIFFREDI Société du Caveau sœur sort Spartacus STUKÉLI SUNNON tems Théatre Tomi Tragédie Tragédie-Bourgeoise trahir traître triste trône tyrans venger VERLEI vertu veux voilà vois yeux Zéphyrine
Fréquemment cités
Page 26 - Des bontés de mon roi je sens le prix insigne , Mais si j'obéissois je n'en serois plus digne : Incapable , seigneur, des souplesses de cour, On ne me verra point, par un lâche retour, Plier mes sentiments aux passions du maître.
Page 68 - Un asyle ! en est-il qu'auprès de mon époux? Guiscard à ma vertu réservoit cet outrage ! Avez-vous oublié qu'un nœud sacré m'engage , Et que l'honneur me fait un austère devoir De ne jamais oser vous parler ni vous voir; Que je ne dois songer qu'à bannir de mon âme Le souvenir trop cher d'une première flamme; Que nous devons nous fuir ; et qu'épouse d'Osmont Votre amour désormais n'est pour moi qu'un affront ? GUISCAHB.
Page 22 - Être perfide amant et fils dénaturé , Si c'est là cette gloire , apprends que j'y renonce , Apprends que je l'abhorre... Au surplus , je t'annonce Que si dans mon dessein j'étois moins arrêté, Tu l'aurois affermi par ta témérité; J'en jure...
Page 22 - J'ai dû vous supposer un généreux dessein ; J'ai dû, pour le remplir, consulter votre gloire; C'est elle , et non l'amour, que j'en ai voulu croire. J'ai pensé que ma fille avoit mal entendu : J'ai fait enfin pour vous ce que vous avez dû ; Et , ne balançant point à me perdre moi-même, J'ai sauvé votre gloire.
Page 15 - Tomi. Ce matin , suivant l'ordinaire , Votre père, mon fils, n'a pu vous embrasser; Mais , quand il reviendra , si vous voulez me plaire , Songez à le bien caresser : N'y manquez pas. TOMI. Oh ! maman , je n'ai garde : J'aime tant mon papa ! Mme BÉVERLEI.
Page 26 - Il faut que demain même, au sénat assemblé, De ta témérité le secret dévoilé D'un odieux hymen pour jamais me dégage. Si tu veux appuyer mes droits de ton suffrage , Je redouterai peu Constance et ses amis : Qui rend un peuple heureux le vuit toujours soumis.
Page 58 - Guiscard a de l'honneur; iJ aime la justice. A ses pieds il verra le bord du précipice. Mes yeux par le sommeil ne seront point fermés Que vous ne soyez libre et les esprits calmés. fi
Page 47 - Spartacus est donc fait pour triompher toujours ! Je ne vous cache pas que, détestant mes jours, la haine dans le cœur, le désespoir, la rage... je brûlois d'égaler la vengeance à l'outrage ; mais vous me désarmez, et dans vos bras, seigneur, j'abjure la vengeance et reprends mon honneur : l'ami de Spartacus ne peut être un...
Page 21 - ... fruits de la philosophie moderne. Qu'il me soit permis, Messieurs, de soumettre à votre jugement quelques idées sur cette question qui partage encore la littérature; vous daignerez sans doute accorder votre indulgence à un géomètre qui, pour la première fois, ose parler de l'art du théâtre. Ce langage magnifique, qui semble convenir à des rois ou à des héros, ces applications heureuses de l'histoire, ces peintures si attachantes des mœurs étrangères, cet avantage qu'a le poète...