Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes qui ont amené la Révolution de 1789 et celles qui l'ont suivie, Volume 4Chez G.-A. Dentu, 1833 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 15
Page 5
... voyait un guerrier cou- vert de blessures , environné de tout ce qui peut donner la considération publique , et inspirer à ses compagnons d'armes le désir de se rallier sincèrement au trône des Bourbons ; tout cela ne pouvait que prêter ...
... voyait un guerrier cou- vert de blessures , environné de tout ce qui peut donner la considération publique , et inspirer à ses compagnons d'armes le désir de se rallier sincèrement au trône des Bourbons ; tout cela ne pouvait que prêter ...
Page 21
... voyais tout cela , quand il ne voyait rien ; que je voulais réduire la faction à l'impuissance , quand il lui rendait , sans le vouloir , toutes ses espérances . Je ne doute pas que le chagrin qu'il en ressentait n'ait causé sa mort ...
... voyais tout cela , quand il ne voyait rien ; que je voulais réduire la faction à l'impuissance , quand il lui rendait , sans le vouloir , toutes ses espérances . Je ne doute pas que le chagrin qu'il en ressentait n'ait causé sa mort ...
Page 125
... voyait bien qu'on pouvait « le taxer de témérité . Tout accoutumé que j'é- « tais à voir ce prince , je ne pouvais me lasser « d'admirer son visage serein et tranquille , où « dans une occasion d'autant plus désespérante , qu'elle ...
... voyait bien qu'on pouvait « le taxer de témérité . Tout accoutumé que j'é- « tais à voir ce prince , je ne pouvais me lasser « d'admirer son visage serein et tranquille , où « dans une occasion d'autant plus désespérante , qu'elle ...
Page 139
... voyait , avant même de gouverner ; et cette observation attentive fut remarquée par le cardinal Mazarin . L'oubli de tout ce que nous avons vu ne pro- duirait point l'union des royalistes . Bien au con- traire , il relâcherait les liens ...
... voyait , avant même de gouverner ; et cette observation attentive fut remarquée par le cardinal Mazarin . L'oubli de tout ce que nous avons vu ne pro- duirait point l'union des royalistes . Bien au con- traire , il relâcherait les liens ...
Page 140
... voyait pas , dans toutes ces entreprises accu- mulées en un si court espace de temps , une seule conspiration , et surtout une seule et vaste es- pérance ! La Cour royale de Paris , par l'or- gane de son premier président , la signala ...
... voyait pas , dans toutes ces entreprises accu- mulées en un si court espace de temps , une seule conspiration , et surtout une seule et vaste es- pérance ! La Cour royale de Paris , par l'or- gane de son premier président , la signala ...
Autres éditions - Tout afficher
Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes ..., Volume 4 Vincent Marie Viénot comte de Vaublanc Affichage du livre entier - 1833 |
Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes ..., Volume 4 Vincent Marie Viénot comte de Vaublanc Affichage du livre entier - 1833 |
Mémoires sur la Révolution de France, Volume 4 Vincent Marie Viénot de Vaublanc Affichage du livre entier - 1833 |
Expressions et termes fréquents
anglais assemblées aurait avaient Bourbons c'était Calvados capitalistes caractère cause censure cent-jours cesse Chambre des députés Chambre des pairs Chambre élective Charles X Charte choses citer commerce concessions conduite couronne crédit déclaré demande dire discours écrits dissolution emprunt ennemis envers esprit factieux faction force François Ier général gloire gouvernement Henri IV hommes honteux Hyde de Neuville idée immense inspirée j'ai j'avais jamais journaux jours l'Angleterre l'Assemblée constituante l'emprunt l'Espagne l'Etat l'opinion l'ordre social libéraux lois lord Liverpool Louis XIV Louis XVIII marche Martignac maxime mée ment millions ministres monarchie n'avait nistres noble nommé opinion orateur parler paroles pendant pensée personne peuple phrase politique position pouvait prince principes prononcé prouver provinces publique rait remarquer rente répéter repousser restauration révolution de 1830 révolutionnaires Richelieu rien royalistes Saint-Domingue seconde restauration sentiments serait seul siècle des lumières sion souvent suivant sujet système tion tribune trône Villèle
Fréquemment cités
Page 89 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde ; on peut le demander aux Romains, qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan, et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre. Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui...
Page 209 - félicitons, Sire, de vos relations constamment amicales « avec les puissances étrangères, dans la juste confiance « qu'une paix si précieuse n'est point achetée par des « sacrifices incompatibles avec l'honneur de la nation et la
Page 419 - Mais quand il se fait des brigues, des associations partielles aux dépens de la grande, la volonté de chacune de ces associations devient générale par rapport à ses membres, et particulière par rapport à l'Etat; on peut dire alors qu'il n'ya plus autant de votants que d'hommes, mais seulement autant que d'associations.
Page 399 - C'est cette partie décevante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours ; car elle serait règle infaillible de vérité, si elle l'était infaillible du mensonge. Mais, étant le plus souvent fausse, elle ne donne aucune marque de sa qualité, marquant du même caractère le vrai et le faux.
Page 97 - Avant donc que d'écrire, apprenez à penser. Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 439 - ANNE d'AUTRICHE, on sait qu'avec le secret de cette princesse elle eut encore celui de tous les partis : tant elle était pénétrante, tant elle s'attirait de confiance, tant il lui était naturel de gagner les cœurs! Elle déclarait aux chefs des partis jusqu'où elle pouvait s'engager; et on la croyait incapable ni de tromper ni d'être trompée. Mais son caractère particulier était de concilier les intérêts opposés, et, en s'élevant au-dessus, de trouver le secret endroit, et comme le...
Page 438 - Palatine estimait autant la galanterie qu'elle en aimait le solide. Je ne crois pas que la reine Elisabeth d'Angleterre ait eu plus de capacité pour conduire un État. Je l'ai vue dans la faction, je l'ai vue dans le cabinet, et je lui ai trouvé partout également de la sincérité.
Page 295 - États, un chef illustre qui ne se servit jamais de son influence et de son autorité que pour soulager le malheur, désarmer la guerre de rigueurs inutiles, et couvrir les Français, surtout, de sa protection. » Le Roi m'a dit : « Allez vers cet homme célèbre, offrez-lui la paix, et , pour son pays, la prospérité et le bonheur.
Page 439 - Il n'est pas étonnant que le vulgaire .qui n'est pas digne de respecter des avantages si rares , soit l'admirateur de la finesse de caractère, qui n'est souvent que le fruit de l'attention fixe et suivie d'un esprit médiocre que l'intérêt anime, La finesse peut marquer de l'esprit ; mais elle n'est jamais dans un esprit supérieur, à moins qu'il ne se trouve avec un cœur bas. Un esprit supérieur dédaigne les petits ressorts, il n'emploie que les grands, c'est-à-dire les simples.
Page 123 - Si je m'en allois de moi-même, je ferois ce qu'ils auront peut-être de la peine à me faire faire. Quand on a un nombre raisonnable de troupes, on ne quitte pas un pays, encore que l'ennemi en ait beaucoup davantage. Je...