La Revue trimestrielle canadienne, Volume 9

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Association des diplômés de polytechnique., 1923
 

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Fréquemment cités

Page 137 - Voilà notre état véritable; c'est ce qui nous rend incapables de savoir certainement et d'ignorer absolument. Nous voguons sur un milieu vaste, toujours incertains et flottants, poussés d'un bout vers l'autre,.
Page 329 - Pourquoi s'en prendre aux hommes de ce que les femmes ne sont pas savantes? Par quelles lois , par quels édits, par quels rescrits, leur at-on défendu d'ouvrir les yeux et de lire, de retenir ce qu'elles ont lu...
Page 138 - Toutes nos actions et nos pensées doivent prendre des routes si différentes, selon qu'il y aura des biens éternels à espérer ou non, qu'il est impossible de faire une démarche avec sens et jugement, qu'en la réglant par la vue de ce point, qui doit être notre dernier objet.
Page 138 - Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie, j'ai versé telles gouttes de sang pour toi.
Page 138 - Si tu connaissais tes péchés, tu perdrais cœur. Je le perdrai donc, Seigneur, car je crois leur malice sur votre assurance. Non, car moi, par qui tu l'apprends, t'en peux guérir, et ce que je te le dis est un signe que je te veux guérir. A mesure que tu les expieras, tu les connaîtras, et il te sera dit : Vois les péchés qui te sont remis.
Page 18 - Nous vivons d'une ombre, Monsieur, du parfum d'un vase vide; après nous, on vivra de l'ombre d'une ombre; je crains par moments que ce ne soit un peu léger.
Page 3 - Elle approche enfin et elle approche de l'homme. Elle a dépassé le monde visible et palpable des astres, des pierres, des plantes, où dédaigneusement on la confinait. C'est à l'âme qu'elle se prend, munie des instruments exacts et perçants dont trois cents ans d'expérience ont prouvé la justesse et mesuré la portée. Elle apporte avec elle un art, une morale, une politique, une religion nouvelle, et c'est notre affaire aujourd'hui de les chercher I...
Page 138 - Les médecins ne te guériront pas, car tu mourras à la fin. Mais c'est moi qui guéris et rends le corps immortel.
Page 330 - Ne se sontelles pas au contraire établies elles-mêmes dans cet usage de ne rien savoir, ou par la faiblesse de leur complexion, ou par la paresse de leur esprit, ou par le soin de leur beauté, ou par une certaine légèreté qui les empêche de suivre une longue étude, ou par le talent et le génie qu'elles ont seulement pour les ouvrages de la main...
Page 138 - ... malheureux. Il n'ya rien de plus réel que cela, ni de plus terrible. Faisons tant que nous voudrons les braves : voilà la fin qui attend la plus belle vie du monde.

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