Origine de tous les cultes, ou Religion universelle...L. Rosier, 1835 - 10 pages |
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... effets qu'il lui voit produire . Ce ne fut que longtemps après qu'il imagina le besoin d'une cause supérieure , et il la chercha partout où il ne voyait rien , et où il ne pouvait rien voir . Car s'il l'eût vue , elle eût cessé d'être ...
... effets qu'il lui voit produire . Ce ne fut que longtemps après qu'il imagina le besoin d'une cause supérieure , et il la chercha partout où il ne voyait rien , et où il ne pouvait rien voir . Car s'il l'eût vue , elle eût cessé d'être ...
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... effets n'ont pu usurper les titres sacrés de la cause ; à plus forte raison , les animaux et les simulacres ont - ils dû être retranchés du nombre des Dieux . Tout ce qui ne porte pas le carac- tère d'être improduit et indestructible ...
... effets n'ont pu usurper les titres sacrés de la cause ; à plus forte raison , les animaux et les simulacres ont - ils dû être retranchés du nombre des Dieux . Tout ce qui ne porte pas le carac- tère d'être improduit et indestructible ...
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... effets merveilleux , qui , sans cesse , se reproduisent sous ses yeux . Je dis que la Nature elle - même les lui avait indiqués , en lui parlant ce langage si pittoresque , et en lui montrant ces tableaux enchanteurs . Je prouve ensuite ...
... effets merveilleux , qui , sans cesse , se reproduisent sous ses yeux . Je dis que la Nature elle - même les lui avait indiqués , en lui parlant ce langage si pittoresque , et en lui montrant ces tableaux enchanteurs . Je prouve ensuite ...
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... effets sous sa puissance . L'homme vient ensuite , qui par des abstractions de son esprit , sépare la divinité , l'in- telligence et la vie du monde , du monde lui - même , pour enfanter un Dieu et un monde intellectuel . Là finit ma ...
... effets sous sa puissance . L'homme vient ensuite , qui par des abstractions de son esprit , sépare la divinité , l'in- telligence et la vie du monde , du monde lui - même , pour enfanter un Dieu et un monde intellectuel . Là finit ma ...
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... effets semblaient finir , et où l'être prend un ca- ractère différent de celui qu'ont tous ceux qui lui sont subordonnés : cet être était la Nature . Il était nécessaire de remonter jusqu'à l'arbre , pour y chercher la cause du fruit ...
... effets semblaient finir , et où l'être prend un ca- ractère différent de celui qu'ont tous ceux qui lui sont subordonnés : cet être était la Nature . Il était nécessaire de remonter jusqu'à l'arbre , pour y chercher la cause du fruit ...
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Expressions et termes fréquents
adoraient agens allégorique anciens animaux Arabes astres astrologues attribue autels avaient Bacchus bélier c'était cause céleste cercle ciel ciens cieux Clément d'Alexandrie consacré constellations corps cosmogonies culte d'Hercule d'Orv d'Orville d'Uranus Dieu Dieux différentes Diod Diodore Diodore de Sicile divinité divisions donne douze signes Dupuis Egypte Egyptiens élémens enfans équinoxial éternel étoiles Euseb fables fameux fêtes fictions figures fixes forme génie Grecs Hérodote Hist hommes Hygin Ibid images Isid jour Jupiter Kirker l'année l'astrologie l'autre l'Egypte l'équinoxe l'homme l'Univers leil Lingam lion lumière lune Macrob ment Mercure Mithra monde monumens mouvement mystères Nature nuit OEdip Osiris père Perses peuples Phénicie Phéniciens philosophes placé Pline Plut Plutarque Præp premier prêtres principe printemps Proclus quatre rapports religieux religion représenté révolution Romains Sabéens Sabisme sacré saisons Saturne science sept planètes soleil solstice sphères statues sublunaires suivant symbole taureau temple terre théogonie tion trouve universelle Uranus Vénus zodiaque
Fréquemment cités
Page xxvi - , poursuit Dupuis, « n'est autre « chose que celle de la nature; et, comme elle n'a point « d'autres aventures que ses phénomènes, les aventures « des dieux seront donc les phénomènes de la nature mis
Page 344 - ... qu'on appelle leurs enfans? Cette conséquence va acquérir un nouveau degré de vraisemblance par l'examen de la filiation de ces Dieux et de leurs caractères. Le premier de ces astres , que l'on rencontre en descendant du ciel des fixes , ou d'Uranus vers la terre, c'est l'astre appelé Saturne.Le premier descendant d'Uranus porte aussi le même nom. Cet astre, lent dans sa marche, engendre les périodes les plus longues, et mesure la durée plus grande du temps, celle qui voit naître et...
Page 336 - ... double cause , comme nous l'avons dit. On remarquera que saint Augustin ajoute que c'est d'après les mystères des anciens qu'il ajugé de l'objet symbolique de ces statues , qu'il dit représenter le ciel et la terre. Nous aurons occasion de donner un plus grand développement à cette théorie , dans l'ouvrage que nous annonçons ici sur les mystères, et qui fera partie de celui-ci. On voit donc par tout ce que nous venons de dire, que les anciens , dans leurs initiations, dans leurs statues...
Page 8 - Ils n'ont pu comprendre, par les biens visibles, celui qui est souverainement; et ils n'ont point reconnu le Créateur par la considération de ses ouvrages. Mais ils se sont imaginé que le feu, ou le vent , ou l'air le plus subtil, ou la multitude des étoiles, ou l'abîme des eaux, ou le soleil et la lune, étaient les dieux qui gouvernaient tout le monde...
Page 308 - C'est la doctrine qu'il développe dans son troisième chapitre2, où il nous dit « que la première origine de l'homme ne vient point de la terre , non plus que celle des autres animaux , ni des plantes ; mais que le monde, tel qu'il est, ayant toujours existé, il est nécessaire que ce qui est en lui , ce qui a été ordonné en lui, ait aussi toujours été tel qu'il est. Et d'abord , si le monde a toujours existé, ses parties ont toujours existé. Ces parties sont le ciel , la terre , et l'intervalle...
Page 11 - Tyriens ; et les traditions sacrées du pays portaient qu'il était le même que le soleil 3 , et que la fable des douze travaux exprimait la course de cet astre dans les douze signes du zodiaque.
Page 319 - En deçà de cette Nature éthérée et divine , ordonnée par elle-même, immuable, inaltérable, impassible, est placée la Nature muable et passible , en un mot, corruptible et mortelle. Ici Aristote place les quatre élémens, le feu, l'air, l'eau et la terre. Il marque bien la distinction qui se trouve entre cette seconde partie soumise à l'action de la première, et cette première : l'une est immuable , l'autre toujours changeante.
Page 7 - Pentateuque n'est , en grande partie , qu'un recueil de contes du genre des contes arabes. Cependant on y voit que l'auteur, quel qu'il soit, était un spiritualiste , et qu'il ne rappelle son peuple au culte de la cause invisible que parce que tous (es peuple?
Page 7 - ... dans l'erreur, et que vous ne rendiez un culte d'adoration à des créatures que le Seigneur, votre Dieu, a faites pour le service de toutes les nations qui sont sous le ciel.
Page 106 - Vairon attribue même à cette invention moderne d'images, et de simulacres des Dieux, la dégradation de la religion, plus respectable et plus majestueuse aux yeux des peuples dans son ancienne simplicité. Il cite l'exemple des Juifs qui ont conservé leur religion dans sa pureté primitive en. proscrivant absolument le culte des statues et des images de la Divinité. C'est une justice que leur rend aussi Tacite, qui oppose le culte simple des Juifs au culte Egyptien plus composé , et revêtu...