| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (France) - 1893 - 344 pages
...Nous étions seul à seule et marchions en rêvant, Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant ; « Quel fut ton plus beau jour? » Ht sa voix d'or vivant, Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique. Un sourire discret... | |
| Paul Verlaine - 1894 - 378 pages
...Nous étions seul à seule et marchions en rêvant, Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant :...fit sa voix d'or vivant, Sa voix douce et sonore, au trais timbre angélique. Un sourire discret lui donua la réplique, Et je baisai sa main blanche, dévotement.... | |
| Fernand Gregh - 1901 - 312 pages
...délicieux et d'une inspiration originale, comme ce sonnet de Nevermore dont la fin est si fraîche : Ah ! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées, Et qu'il bruit avec un murmure charmaut Le premier oui qui sorl de lèvres bienaimées I De même les Grotesques, où pleure déjà... | |
| 1904 - 1218 pages
...marchions en rêvant, Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi sou regard émouvant. : « Quel fut ton plus beau jour? » fit sa voix d'or vivant (VKRLAINB, Poème.» saturniens). Uneimpression analogue peut être obtenue par larépétition, non... | |
| Paul Verlaine - 1911 - 532 pages
...Klle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant : c Quel fut ton plus beau jour ! » fit sa voix d'or vivant Sa voix douce et sonore, au frais timbre irngélique. Un sourire discret lui donna la réplique, Kt je baisai sa main blanche, dévotement.... | |
| Paul Verlaine - 1912 - 378 pages
...Nous étions seul à seule et marchions en rêvant, Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant :...Et je baisai sa main blanche, dévotement. — Ah 1 les premières fleurs, qu'elles sont parfumées! Et qu'il bruit avec un murmure charmant Le premier... | |
| Wilfrid Charles Thorley - 1914 - 118 pages
...Elle et moi, les cheveux et la pense'e au vent. Soudain, tournant vers moi son regard emouvant : " Quel fut ton plus beau jour ? " fit sa voix d'or vivant. Sa voix douce et sonore, ou frais timbre ange'lique. Un sourire discret lui donna la replique, Et je baisai sa main blanche,... | |
| Paul Verlaine - 1919 - 460 pages
...Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant : <r Quel fut ton plus beau jour ! » fit sa voix d'or vivant Sa voix douce et sonore, au frais timbre angéliquc. Un sourire discret lui donna la réplique, Et je baisai sa main blanche, dévotement. —... | |
| 1919 - 586 pages
...pensée an vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant : a Quel fut ton plus beau jour?s fit sa voix d'or vivant, Sa voix douce et sonore, au frais timbre angéllque. Un sourire discret lui donna la réplique, Et je baisai sa main blanche, dévotement. —... | |
| Georges Duhamel, Charles Vildrac - 1925 - 78 pages
...Nous étions seul à seule et marchions en rêvant Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant :...fut ton plus beau jour? » fit sa voix d'or vivant. Que dirons-nous de la répétition du même mot à la rime, sinon que, sévèrement interdite dans... | |
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