Histoire naturelle des drogues simples: ZoologieJ.-B. Baillière, 1831 |
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Histoire naturelle des drogues simples: Zoologie Nicolas Jean Baptiste Gaston Guibourt Affichage du livre entier - 1851 |
Expressions et termes fréquents
abdomen acide ailes allongé animaux anneaux annélides antennes antérieure aplatie arachnides arrière arrondie articles assez bézoard bombyx du mûrier bords bouche branchies brun calcaire cantharides castoréum cavité centimètres céphalopodes cétacés cochenille cocons coléoptères commerce composé coquille cornes corps côté couleur crustacés dents distincts divise doigts dorsale écailles élytres éponge espèce estomac extrémité femelle foie de morue foncé forme garnie genre grammes gris hémiptères hirudinés hirudo medicinalis huiles hyménoptères inférieure insectes jaunâtre jaune l'abdomen l'acide l'alcool l'animal l'anus l'eau l'éponge l'extrémité l'huile lames long longitudinales longueur mâchoires mâle matière membrane millimètres mollusques morue musc muscles nacre nageoires néphélis noir noirâtre nombre nommée odeur œufs officinale oiseaux organes paraît pattes peau pectorales petits pieds poches poils poissons polypes postérieure presque quelquefois queue rouge sang sangsue médicinale sangsues seulement soluble sorte souvent substance suçoirs supérieure surface tænia tantôt tête thorax tortue transparente trouve tube tubercules valves ventouse ventrales ventre vipère
Fréquemment cités
Page 194 - ... debout. Les mâles et les femelles ne participent pas à ces travaux. Les premiers ne restent dans la fourmilière que fort peu de temps, et périssent presque aussitôt qu'ils en sont sortis ; les femelles quittent aussi la demeure commune avec les mâles; mais, après s'être séparées de ceux-ci et s'être dépouillées de leurs ailes , elles sont ramenées dans la fourmilière par les ouvrières, et placées dans les chambres les plus retirées , où elles restent prisonnières, et sont...
Page 7 - ... beaucoup entre eux par la mobilité et la délicatesse des doigts. On a surtout saisi à cet égard un caractère qui influe prodigieusement sur l'adresse et multiplie leurs moyens d'industrie ; c'est la faculté d'opposer le pouce aux autres doigts , pour saisir les plus petites choses...
Page 2 - ... forme, il n'ya point de squelette; les muscles sont attachés seulement à la peau , qui forme une enveloppe molle, contractile en divers sens, dans laquelle s'engendrent, en beaucoup d'espèces, des plaques pierreuses, appelées coquilles, dont la position et la production sont analogues à celles du corps muqueux ; le système nerveux est avec les viscères dans cette enveloppe générale, et se compose de plusieurs masses éparses , réunies par des filets nerveux, dont les principales , placées...
Page 2 - ... on trouvera qu'il existe quatre formes principales, quatre plans généraux, si l'on peut s'exprimer ainsi, d'après lesquels tous les animaux semblent avoir été modelés, et dont les divisions ultérieures, de quelque titre que les naturalistes les aient décorées, ne sont que des modißcations assez légères, fondées sur le développement ou l'addition de quelques parties, qui ne changent rien à l'essence du plan.
Page 55 - ... animal que M. de Sève a faite avec exactitude. . ,'" Le musc est un animal d'une jolie figure ; il a deux pieds trois pouces de longueur , vingt pouces de hauteur au train de derrière , et dix-neuf pouces six lignes à celui de devant ; il est vif et léger à la course et dans tous ses mouvemens ; ses jambes de derrière sont considérablement plus longues et plus fortes que celles de devant. . La Nature l'a armé de deux défenses de chaque côté de la mâchoire supérieure , qui sont larges...
Page 119 - Se compose des oiseaux dont le doigt externe se dirige en arrière comme le pouce, d'où il résulte pour eux un appui plus solide, que quelques genres mettent à profit pour se cramponner au tronc des arbres et y grimper.
Page 11 - L'homme paraît fait pour se nourrir principalement de fruits, de racines et d'autres parties succulentes des végétaux. Ses mains lui donnent la facilité de les cueillir; ses mâchoires courtes et de force médiocre d'un côté, ses canines égales aux autres dents, et ses molaires tuberculeuses de l'autre, ne lui permettraient guère ni de paître de l'herbe, ni de dévorer de la chair, s'il ne préparait ces aliments par la cuisson; mais une fois qu'il a possédé le feu, et que ses arts l'ont...
Page 4 - Les mammifères doivent êtres placés à la tête dûrègne animal, non-seulement parce que c'est la classe à laquelle nous appartenons nous-mêmes ,. mais encore parce que c'est celle de toutes qui jouit des facultés les plus multipliées, des sensations les plus délicates, des mouvements les plus variés, et où l'ensemble de toutes les propriétés paraît combiné pour produire une intelligence plus parfaite . plus féconde en ressources , moins esclave de l'instinct, et plus susceptible...
Page 3 - L'enveloppe de leur tronc est divisée par des plis transverses en un certain nombre d'anneaux, dont les téguments sont tantôt durs, tantôt mous, mais où les muscles sont toujours attachés à l'intérieur. Le tronc porte souvent à ses côtés des membres articulés ; mais souvent aussi il en est dépourvu. Nous donnerons à ces animaux le nom d...
Page 2 - ... leur utilité, au plus ou moins de connaissance que nous en avons , ni à toutes les autres circonstances accessoires, on trouvera qu'il existe quatre formes principales, quatre plans généraux...