Du contrat socialAlcan, 1896 - 424 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 89
Page i
... Enfin les préjugés sont tellement contraires à toute es- pèce de changement , qu'à moins d'avoir la force en main , il faut être aussi simple que l'abbé de Saint - Pierre pour proposer la moindre innovation dans quelque gouvernement que ...
... Enfin les préjugés sont tellement contraires à toute es- pèce de changement , qu'à moins d'avoir la force en main , il faut être aussi simple que l'abbé de Saint - Pierre pour proposer la moindre innovation dans quelque gouvernement que ...
Page xvi
... Enfin , le 11 mars 1762 , il renvoie les dernières épreuves corrigées . En avril , le Contrat social était imprimé . Rousseau l'annonce à son ami Moultou , à qui il en envoie douze exemplaires à dis- tribuer . Cependant le gros de l ...
... Enfin , le 11 mars 1762 , il renvoie les dernières épreuves corrigées . En avril , le Contrat social était imprimé . Rousseau l'annonce à son ami Moultou , à qui il en envoie douze exemplaires à dis- tribuer . Cependant le gros de l ...
Page xviii
... Enfin , il y aura lieu , est - il dit dans ce même sommaire , de poser les véritables principes de la guerre et de montrer pour- quoi Grotius et les autres n'en ont donné que de faux . L'auteur de l'Émile rappelle ici que l'abbé de ...
... Enfin , il y aura lieu , est - il dit dans ce même sommaire , de poser les véritables principes de la guerre et de montrer pour- quoi Grotius et les autres n'en ont donné que de faux . L'auteur de l'Émile rappelle ici que l'abbé de ...
Page xix
... Enfin il nous paraît très probable que les chapitres sur les comices , sur la censure , sur le tribunat , en un mot , sur le système législatif de Rome , en même temps que le chapitre sur la religion civile , ont occupé principalement ...
... Enfin il nous paraît très probable que les chapitres sur les comices , sur la censure , sur le tribunat , en un mot , sur le système législatif de Rome , en même temps que le chapitre sur la religion civile , ont occupé principalement ...
Page 17
... enfin le pistolet qu'il tient est aussi une puissance . ( 1 ) R. Lettre à M. de Beaumont . Si le traité du Contrat social n'exis- tait pas , et qu'il fallût prouver de nouveau les grandes vérités que j'y dé- veloppe , les compliments ...
... enfin le pistolet qu'il tient est aussi une puissance . ( 1 ) R. Lettre à M. de Beaumont . Si le traité du Contrat social n'exis- tait pas , et qu'il fallût prouver de nouveau les grandes vérités que j'y dé- veloppe , les compliments ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
acte ALGERNON SIDNEY ARISTOTE besoin BOSSUET chap CHAPITRE chefs choses chrétiens citoyens commun conservation constitution Contrat social convention corps politique démocratie devoirs Dieu dieux dire Discours sur l'Inégalité dogmes doit donner édition de 1762 Émile esclavage esclaves Esprit des Lois établi État force forme de gouvernement Genève genre humain Gouvernement civil grabelé Grotius guerre HOBBES hommes institutions intérêt jamais juger justice l'aristocratie l'autre l'Émile l'état de nature l'homme législateur légitime LETTRE A REY liberté livre lui-même Lycurgue magistrats maître manuscrit Marc Michel maximes membres ment mœurs monarchie MONTESQUIEU morale nation naturel nécessaire Neuchâtel Note du Contrat oligarchie pacte social paix patrie personne peuple PLATON Polysynodie pouvoir premier prince principes propre public publique puissance puisse qu'à qu'un raison rapport religion religion civile république reste rien rois Rousseau s'il sent serait seul sitôt sorte souverain souveraineté Sparte SPINOZA sujets tion Tite-Live tribunat trouve tyrannie vertu volonté générale volonté particulière
Fréquemment cités
Page 70 - La loi , en général , est la raison humaine , en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre ; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page xxix - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois; voilà les dogmes positifs.
Page 71 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 69 - De lui-même le peuple veut toujours le bien, mais de lui-même il ne le voit pas toujours. La volonté générale est toujours droite, mais le jugement qui la guide n'est pas toujours éclairé.
Page 42 - ... l'état, à l'égard de ses membres, est maître de tous leurs biens par le contrat social , qui , dans l'état, sert de base à tous les droits; mais il ne l'est, à l'égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu'il tient des particuliers.
Page 256 - ... quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps, ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera d'être libre...
Page 386 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale ; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 40 - Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent...
Page 107 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.
Page 140 - Comme dans un Etat libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative...