Du contrat socialAlcan, 1896 - 424 pages |
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Page xiv
... pays étrangers , mais aussi à nos goûts et à nos pen- chants à tous , une orientation nouvelle . Et rien qu'à ce point de vue , l'Héloïse demeure ( qu'on nous permette cette expression déjà un peu démodée ) un document humain de premier ...
... pays étrangers , mais aussi à nos goûts et à nos pen- chants à tous , une orientation nouvelle . Et rien qu'à ce point de vue , l'Héloïse demeure ( qu'on nous permette cette expression déjà un peu démodée ) un document humain de premier ...
Page xv
... pays de Vaud , qui se chargea de cette commission . Rousseau nous raconte dans ses ( 1 ) Cette lettre est datée du 18 janvier 1761 dans la correspondance géné- rale de Rousseau , mais elle est manifestement d'une époque postérieure ...
... pays de Vaud , qui se chargea de cette commission . Rousseau nous raconte dans ses ( 1 ) Cette lettre est datée du 18 janvier 1761 dans la correspondance géné- rale de Rousseau , mais elle est manifestement d'une époque postérieure ...
Page xxv
... pays bien différents de ceux où vous prétendez aller , aussi suis - je fâché de vous dire que tant que la mo- narchie subsistera en France , il n'y sera jamais adopté . » Les mots en ita- liques d'abord écrits par Rousseau dans le ...
... pays bien différents de ceux où vous prétendez aller , aussi suis - je fâché de vous dire que tant que la mo- narchie subsistera en France , il n'y sera jamais adopté . » Les mots en ita- liques d'abord écrits par Rousseau dans le ...
Page xxix
... pays , et entre les peuples d'un même univers . Mais si l'amour des lois est la passion civile qui doit unir , comme un ciment inaltérable , les membres de chaque corps politique , par quel lien moral plus fort que les intérêts sera - t ...
... pays , et entre les peuples d'un même univers . Mais si l'amour des lois est la passion civile qui doit unir , comme un ciment inaltérable , les membres de chaque corps politique , par quel lien moral plus fort que les intérêts sera - t ...
Page xxxiii
... pays d'élec- tion , s'attaque à tout et à chacun , sans raison , sans mesure , comme poussée par la frénésie aveugle d'une sorte de besoin professionnel . Rien ne manque à ces oracles pour être crus ou écoutés ; l'aplomb , la suffisance ...
... pays d'élec- tion , s'attaque à tout et à chacun , sans raison , sans mesure , comme poussée par la frénésie aveugle d'une sorte de besoin professionnel . Rien ne manque à ces oracles pour être crus ou écoutés ; l'aplomb , la suffisance ...
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Expressions et termes fréquents
acte ALGERNON SIDNEY ARISTOTE besoin BOSSUET chap CHAPITRE chefs choses chrétiens citoyens commun conservation constitution Contrat social convention corps politique démocratie devoirs Dieu dieux dire Discours sur l'Inégalité dogmes doit donner édition de 1762 Émile esclavage esclaves Esprit des Lois établi État force forme de gouvernement Genève genre humain Gouvernement civil grabelé Grotius guerre HOBBES hommes institutions intérêt jamais juger justice l'aristocratie l'autre l'Émile l'état de nature l'homme législateur légitime LETTRE A REY liberté livre lui-même Lycurgue magistrats maître manuscrit Marc Michel maximes membres ment mœurs monarchie MONTESQUIEU morale nation naturel nécessaire Neuchâtel Note du Contrat oligarchie pacte social paix patrie personne peuple PLATON Polysynodie pouvoir premier prince principes propre public publique puissance puisse qu'à qu'un raison rapport religion religion civile république reste rien rois Rousseau s'il sent serait seul sitôt sorte souverain souveraineté Sparte SPINOZA sujets tion Tite-Live tribunat trouve tyrannie vertu volonté générale volonté particulière
Fréquemment cités
Page 70 - La loi , en général , est la raison humaine , en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre ; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page xxix - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois; voilà les dogmes positifs.
Page 71 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 69 - De lui-même le peuple veut toujours le bien, mais de lui-même il ne le voit pas toujours. La volonté générale est toujours droite, mais le jugement qui la guide n'est pas toujours éclairé.
Page 42 - ... l'état, à l'égard de ses membres, est maître de tous leurs biens par le contrat social , qui , dans l'état, sert de base à tous les droits; mais il ne l'est, à l'égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu'il tient des particuliers.
Page 256 - ... quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps, ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera d'être libre...
Page 386 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale ; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 40 - Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent...
Page 107 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.
Page 140 - Comme dans un Etat libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative...