Du contrat socialAlcan, 1896 - 424 pages |
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... reste et que je ne pourrais plus rétablir tel qu'il est s'il venait à s'égarer . » Mais comme plusieurs chapitres des deux premiers livres du manuscrit ont été considé- rablement remaniés dans le texte définitif , cette lettre n'infirme ...
... reste et que je ne pourrais plus rétablir tel qu'il est s'il venait à s'égarer . » Mais comme plusieurs chapitres des deux premiers livres du manuscrit ont été considé- rablement remaniés dans le texte définitif , cette lettre n'infirme ...
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... reste à en relater le contenu . Le texte renferme les deux premiers livres du Contrat social et les premières lignes du troisième . Mais ce n'en est pas la reproduction exacte . C'est une ébauche qui au premier abord paraît très ...
... reste à en relater le contenu . Le texte renferme les deux premiers livres du Contrat social et les premières lignes du troisième . Mais ce n'en est pas la reproduction exacte . C'est une ébauche qui au premier abord paraît très ...
Page xi
... reste du manuscrit , ne pouvaient servir d'introduction à un ouvrage auquel l'auteur voulait assurer l'autorité ... resté inconnu à l'immense majorité du public , et avant la réim- pression qui en fut faite en 1758 par Duvillard à ...
... reste du manuscrit , ne pouvaient servir d'introduction à un ouvrage auquel l'auteur voulait assurer l'autorité ... resté inconnu à l'immense majorité du public , et avant la réim- pression qui en fut faite en 1758 par Duvillard à ...
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... reste , et poussant ce travail avec zèle , sans interrompre celui de l'Émile , il mit en moins de deux années la dernière main au Contrat social . Ce renseignement des Confessions , d'après lequel la refonte commencée en 1759 dut être ...
... reste , et poussant ce travail avec zèle , sans interrompre celui de l'Émile , il mit en moins de deux années la dernière main au Contrat social . Ce renseignement des Confessions , d'après lequel la refonte commencée en 1759 dut être ...
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... reste le chapitre tout entier auquel ils se rattachent . Rousseau , qui ne laissait rien perdre , a utilisé plus tard ces notes dans les éditions sans cartons du Contrat et dans la Lettre à M. de Beaumont . C'est dans la péroraison du ...
... reste le chapitre tout entier auquel ils se rattachent . Rousseau , qui ne laissait rien perdre , a utilisé plus tard ces notes dans les éditions sans cartons du Contrat et dans la Lettre à M. de Beaumont . C'est dans la péroraison du ...
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Expressions et termes fréquents
acte ALGERNON SIDNEY ARISTOTE besoin BOSSUET chap CHAPITRE chefs choses chrétiens citoyens commun conservation constitution Contrat social convention corps politique démocratie devoirs Dieu dieux dire Discours sur l'Inégalité dogmes doit donner édition de 1762 Émile esclavage esclaves Esprit des Lois établi État force forme de gouvernement Genève genre humain Gouvernement civil grabelé Grotius guerre HOBBES hommes institutions intérêt jamais juger justice l'aristocratie l'autre l'Émile l'état de nature l'homme législateur légitime LETTRE A REY liberté livre lui-même Lycurgue magistrats maître manuscrit Marc Michel maximes membres ment mœurs monarchie MONTESQUIEU morale nation naturel nécessaire Neuchâtel Note du Contrat oligarchie pacte social paix patrie personne peuple PLATON Polysynodie pouvoir premier prince principes propre public publique puissance puisse qu'à qu'un raison rapport religion religion civile république reste rien rois Rousseau s'il sent serait seul sitôt sorte souverain souveraineté Sparte SPINOZA sujets tion Tite-Live tribunat trouve tyrannie vertu volonté générale volonté particulière
Fréquemment cités
Page 70 - La loi , en général , est la raison humaine , en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre ; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page xxix - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois; voilà les dogmes positifs.
Page 71 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 69 - De lui-même le peuple veut toujours le bien, mais de lui-même il ne le voit pas toujours. La volonté générale est toujours droite, mais le jugement qui la guide n'est pas toujours éclairé.
Page 42 - ... l'état, à l'égard de ses membres, est maître de tous leurs biens par le contrat social , qui , dans l'état, sert de base à tous les droits; mais il ne l'est, à l'égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu'il tient des particuliers.
Page 256 - ... quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps, ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera d'être libre...
Page 386 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale ; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 40 - Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent...
Page 107 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.
Page 140 - Comme dans un Etat libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative...