Histoire generale de Portugal, Volume 1P. F. Giffart, 1735 |
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Histoire générale de Portugal, par M. de La Clède, Volume 1 N. de La Clède Affichage du livre entier - 1735 |
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Expressions et termes fréquents
Abderame affembla affiege aïant ainfi Alaric Alfonfe Almanzor Amalaric Annibal armes auffi avoient avoit Beja Betique Brague Caius Carthage Carthaginois caufe Cefar chaffés Chrétiens Comte de Caftille Concile Conftantius Conful Conimbre Cordoue défait Douro Efpagne Efpagnols Egica enfans enfuite envoïa époufe Eſpagne eſt étoient étoit Evêque faifoit fans fe rendit fe retira fe retire feconde fecours Ferdinand fervir feul fiege fille fœur foldats fon armée fon fils fon frere fon pere fon regne fous Fruela fuccede fucceffeur fuiv furnommé Galice Garcie General Goths guerre habitans jufqu'à l'Efpagne l'Eglife l'Empire l'Eſpagne laiffa Lamego Leon Lucius Lufi Lufita Lufitanie Lufitaniens Maures Merida meurt Monaftere mort mourut n'avoit n'étoit Ordogno Oviedo paffa païs paix peuples plufieurs prefque Préteur prifonnier Prince Province puiffance Ramire Reccarede Rechila refte rent riviere Roderic Roïaume Romains Rome Sanche Senat Sertorius Seville Sueves tems Tolede troupes Vermond victoire Vifeo Viriatus voïez Wamba
Fréquemment cités
Page 274 - On y déclama contre les Peuples qui violent le ferment fait à leurs Rois ,. & attentent contre leur autorité . & leur vie: on décida que le Royaume des Goths étoit éleftif , & que les Evêgues dévoient être appelles à l'élection.
Page 252 - Martin fonda entre autres le monaftere de Dume , dont il porta depuis le nom : c'eft un lieu proche de Brague , où par le fecours du roi, il établit une communauté fous la règle de S. Benoît , qu'il introduit par confequent v.
Page 252 - Jf chr' affermit les cglifes, fonda des monaftcrcs , compofa des livres de pieté, & écrivit grand nombre de lettres , pour exhorter les nouveaux convertis à la pratique de toutes les vertus. Saint Martin fonda...
Page 274 - Suinthila, sa femme, ni ses enfans, qu'on ne les élèverait à aucune dignité, et qu'on les priverait même de tous leurs biens, à moins que le roi n'en ordonnât autrement. Ce concile fut le premier où les évêques commencèrent à se mêler du gouvernement temporel. Ils le firent du consentement du roi, et non de droit. On sait que leur puissance n'est que spirituelle, et qu'ils ne peuvent même l'exercer extérieurement, qu'autant que la puissance temporelle ne s'y oppose point , et que la...
Page 357 - ... des évêques, tels qu'il lui plairait, dans les lieus qui en avaient eu auparavant; et que tous les suffragans auraient des églises et des terres dans la province d'Asturie , comme la plus forte et la plus sûre de toutes, pour s'y réfugier en cas de nécessité, et en tirer leur .subsistance , quand ils viendraient aux conciles. Le roi marqua les...
Page 305 - Vitisa porta si loin l'incontinence, qu'il épousa plusieurs femmes à la fois: il permit à ses sujets do suivre son exemple, et d'avoir encore des concubines. Les grands, toujours imitateurs des rois, furent les premiers à faire comme lui , et le peuple imita les grands. Tout ce qui flatte les faiblesses de l'homme s'accrédite bientôt; le clergé même, plus attaché à ses intérêts qu'à la religion, jouit de...
Page 285 - CM. j. que quand le roi fera à la guerre , on offrira tous les jours le faint facrifice pour lui & pour fon armée.
Page 332 - Pelage , plus fertile qu'eux en ressources , se débarrassa de tous les pièges qu'ils lui tendirent , les battit en plusieurs rencontres, fit prisonnier le perfide Oppas qui avait si indignement trahi sa patrie, donna la chasse à Manuza, qui fut massacré par les paysans, enleva plusieurs villes aux Maures, entr'autres, celle de Léon, qu'il choisit pour capitale...
Page 361 - Tage et la Guadiana, ceux des Algarves et de l'Estramadure , achetèrent la paix et se rendirent tributaires d'Ordogno. Alors il revint à Léon, où il transporta le siège de son empire, et Oviédo depuis. ce tems là perdit sa dignité de métropole. Les peuples conquis ne sont ordinairement soumis...