Annales, Volumes 1 à 27

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Fréquemment cités

Page 378 - Bourgoingne donnée le xiiij' cccc xxvj. de décembre M cccc xxvj. (memb. 1) C'est l'ordonnance faicte par monseigneur le duc de Bourgoingne conte de Flandres, d'Artois et de Bourgoingne par Tadvis de son conseil sur le gouvernement de son hostel. Premièrement Chevaliers conseilliers et chambellans [1] Mondit seigneur vuelt et ordonne avoir devers lui neuf...
Page 154 - II nous suit ; sans frémir il entre dans le bain , Offre ses bras, lui-même en fait couper les veines, Montre un cœur insensible au milieu de ses peines, Et des flots de son sang qui coule à gros ruisseaux Bientôt du bain fatal il voit rougir les eaux: Cependant il pâlit et ses yeux s'obscurcissent; De moment en moment ses esprits s'affoiblissent; Son âme avec son sang trop prompt à s'écouler, Court au terme fatal...
Page 381 - In-8"de 23 pages. qui allaient au delà de tout ce que, avant les troubles, les plus ardents patriotes avaient jamais espéré. Ainsi le Roi confirmait la pacification de Gand et l'union de Bruxelles ; il accordait l'oubli du passé; il prenait l'engagement de faire sortir du pays les troupes étrangères , et même les régiments bourguignons; de ne commettre au gouvernement général que des princes du sang; de faire décider par le conseil d'État toutes les affaires , comme du temps de Charles-Quint...
Page 10 - Le commerce entre la France et la Flandre au moyen âge d'après les tarifs du péage de Bapaume et les traités de commerce passés entre les villes de Flandre et celles de la Rochelle, Niort, SaintJean-d'Angely, Bayonne, Biarritz, Bordeaux et Narbonne.
Page 265 - Zelande et autres lieux associez, contre le repos et paix publicque et signamment contre la religion romaine et l'exercice d'icelle, ny à cause de ce, injurier ou irriter aucun, de faict ny de parolles, ny le scandaliser par actes semblables, à paine d'estre puniz, comme perturbateurs du repos publicq, à l'exemple d'autres. »
Page 382 - Ne devaient-ils pas reculer dans une carrière dont ils ne pouvaient sans horreur envisager le terme, et faut-il leur imputer à crime si, pour sauver leurs intérêts les plus sacrés, ils abandonnent la cause commune tellement dénaturée ; si à l'anarchie populaire et aux violences des iconoclastes ils préfèrent la tyrannie espagnole et le despotisme royal ? Mais cette supposition n'est pas fondée. Ils n'abandonnèrent pas la cause commune ; ils se tinrent avec bien plus de fidélité que...
Page 155 - N'en cherche point ailleurs pour assouvir ta rage. » Alors de la parole il perd presque l'usage; II ne garde plus d'ordre en ses discours confus : Ce ne sont que des mots toujours interrompus; Son esprit se confond, le trouble s'en empare...
Page 324 - ... ledict Alençon respondit qu'il estoit mal possible furnir icelle somme d'argent pour estre la France fort espuisée d'argent, et sur ce respondit Montigny qu'il estoit doncq nécessaire de soy rejoindre avecq le roy son maistre, quy estoit ung prince puissant pour les maintenir. Sur quoy dit Alençon qu'il estoit esmerveillé qu'on avoit traitté tout ce sans luy en advertir suivant le traité fait avecq luy; si esse qu'il...
Page 260 - Les membres de la junte conseillèrent, à l'unanimité, de saisir l'occasion qui s'offrait de négocier avec le prince d'Orange et les Etats de Hollande et de Zélande, sous les réserves qu'aucune atteinte ne serait portée à la foi catholique et à la souveraineté de Philippe II (1).
Page 127 - Les quatorze livres sur l'histoire de la ville de Louvain du docteur et professeur en théologie Jean Molanus, publiés...

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