Oeuvres complètes de M. de Bonald, Pair de France et Membre de l'Acadʹemie Française: suivies d'une table analytique des matières en dehors des tables particulières, Volume 1 |
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Oeuvres complètes de M. de Bonald, Pair de France et Membre de l ..., Volume 1 Louis-Gabriel-Ambroise vicomte de Bonald Affichage du livre entier - 1859 |
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Expressions et termes fréquents
appelle aurait avaient besoins Bonald c'est-à-dire caractère cause chose chrétienne ciété civile commence conséquent conservation considère constitution Contrat social corps culte d'être despotisme devait développement Dieu différentes dire distinctions distinguer Divinité doit donne effet enfants esprit établi Etats existe famille fixe fonctions fond fondamentales force forme génie gouvernement Grecs guerre héréditaire hommes humain institutions intelligence j'ai jours juger l'amour l'autre l'esprit l'Etat l'Europe l'homme l'un législateur liberté lois lui-même mains ment ministres mœurs monarchie monarque Montesquieu moral moyen n'était nation nature naturelle nécessaire noblesse nombre objet parler particulière passions pensée père personnes peuple peut-être peuvent philosophie physique place porte pourrait pouvait pouvoir général premier profession propriété public publique puissance puisse qu'à qu'une raison rapports religieuse religion remarquer république révolution rien rois Romains s'il sens sentiment sera seul social société politique société religieuse sujet système terre tion trouve vérité vertu veut volonté générale
Fréquemment cités
Page 155 - ... le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple a la souveraine puissance ; le monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices».
Page 201 - En effet, s'il n'est pas impossible qu'une volonté particulière s'accorde sur quelque point avec la volonté générale, il est impossible au moins que cet accord soit durable et constant ; car la volonté particulière tend par sa nature aux préférences, et la volonté générale à l'égalité.
Page 199 - Il ya souvent bien de la différence entre la volonté de tous et la volonté générale; celle-ci ne regarde qu'à l'intérêt commun; l'autre regarde à l'intérêt privé, et n'est qu'une somme de volontés particulières...
Page 841 - Il ya de mauvais exemples qui sont pires que les crimes; et plus d'états ont péri parce qu'on a violé les mœurs que parce qu'on a violé les lois.
Page 419 - Ce sont les institutions nationales qui forment le génie , le caractère , les goûts et les mœurs d'un peuple , qui le font être lui et non pas un autre , qui lui inspirent cet ardent amour de la patrie fondé sur des habitudes impossibles à. déraciner...
Page 657 - Jusque là nulle paix, nul repos ; car « si le législateur , se trompant « dans son objet, établit un principe différent « de celui qui naît de la nature des choses, « l'État ne cessera d'être agité, jusqu'à ce qu'il « soit détruit ou changé, et que l'invincible « nature ait repris son empire...
Page 715 - Mais, si le législateur se trompant dans son objet, prend un principe différent de celui qui naît de la nature des choses...
Page 453 - Gengis-Kan qui ont dévasté l'Asie : et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 501 - Ce sera un homme fier et sauvage ; il lèvera la main contre » tous, et tous lèveront la main contre lui, et il dressera ses » pavillons à l'opposite de tous ses frères.
Page 399 - C'est grand'pitié quand le valet chasse le maître. Au reste, mon âme est à Dieu, mon cœur est à mon roi, et mon corps est entre les mains des méchants : qu'on en fasse ce qu'on voudra.