Cours de morale ... cours supérieurHachette et cie, 1885 - 191 pages |
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Expressions et termes fréquents
action aimer animaux besoin bienfaits bon fils c'est-à-dire Caïn camarades charité chose Cinna citoyen cœur commande communauté d'intérêts conscience consiste coupable Cours supérieur d'autres d'Instruction civique défendre désintéressement devoir devons dévouement dignité humaine dire division du travail doit doivent domestiques donne enfants envers Ernest Bersot Est-ce exemple famille fils force fraternité frères gner hache homme honnête intérêts Ismaélites Jacques Jean-Jacques Rousseau jour juge justice l'amour l'école l'enfant l'esprit de famille l'homme l'humanité l'impôt l'instituteur l'instruction l'obéissance laisser liberté libre loi civile loi morale lois loyauté maître matériels membres ment mère monde monsieur n'est-ce nation nature nécessaire nourrir obéir obligations pables parents passer Patagons patrie patriotisme pauvre pays pecter pensée père personne humaine propriété Qu'est-ce qu'un raison règle respect reste rien Ruben sang science sentiments serait seulement société Socrate sœurs soldat SOMMAIRE sorte soulager suffit terre tion toyen travail utile vertu Victor Hugo voilà vois volonté vote
Fréquemment cités
Page 187 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 133 - S'il te reste au fond du cœur le moindre sentiment de vertu, viens, que je t'apprenne à aimer la vie. Chaque fois que tu seras tenté d'en sortir, dis en toi-même : « Que je fasse encore une bonne action avant que de mourir.
Page 190 - Ceux qui pieusement sont morts pour la Patrie Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie.
Page 187 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 134 - Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 55 - LE VIEIL HORACE. 0 d'un triste combat effet vraiment funeste ! Rome est sujette d'Albe , et pour l'en garantir II n'a pas employé jusqu'au dernier soupir! Non, non, cela n'est point, on vous trompe, Julie...
Page 55 - État voisin devenir la province. Pleurez l'autre, pleurez l'irréparable affront Que sa fuite honteuse imprime à notre front; Pleurez le déshonneur de toute notre race, Et l'opprobre éternel qu'il laisse au nom d'Horace.
Page 32 - Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes, Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse, Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
Page 55 - HORACE Tout beau, ne les pleurez pas tous; Deux jouissent d'un sort dont leur père est jaloux ; Que des plus nobles fleurs leur tombe soit couverte; La gloire de leur mort m'a payé de leur perte : Ce bonheur a suivi...
Page 133 - D'être aussi gras que moi, lui repartit le chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim.