Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne: Êloquence, histoire, et littérature mêlée |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne: Êloquence, histoire, et ... Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1822 |
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne; Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1798 |
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 14 Jean-François de la Harpe Affichage du livre entier - 1825 |
Expressions et termes fréquents
assez aurait beau besoin c'était caractère cause chose cœur commence commun Cours d'abord d'ailleurs défauts déja demande dernier devait Dieu dire discours doit donner doute écrit effet également enfin espèce esprit eût exemple faisait femme fond font force forme fort général génie genre goût gouvernement grec heureux homme idées j'ai jeune jours juges juste l'abbé l'abbé Poule l'auteur l'autre l'esprit l'homme l'un laisse langue lecteur lettres liberté Littérature livre loin lui-même main malheur manière ment mieux monde montrer morale morceau mort moyens n'avait n'en n'était nation nature naturellement nombre nouvelle objets ouvrage parler parole passer passions pensée père personne peuple peut-être philosophie phrase place porte pouvait premier propre public puisse qu'à qu'en qu'un raison rapport regards religion remarquable reste révolution rien roman s'il sait semble sentir serait seul société sorte souvent style suivant sujet surtout talent tion traits trouve vérité voilà vrai yeux
Fréquemment cités
Page 199 - Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains. Je m'en vais prendre les voix et les suffrages : il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront, si vous continuez d'en prendre un charitable soin; et, au contraire, ils mourront et périront infailliblement, si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet pas d'en douter.
Page 284 - O l'heureux temps que celui de ces fables. Des bons démons, des esprits familiers, Des farfadets, aux mortels secourables ! On écoutait tous ces faits admirables Dans son château, près d'un large foyer. Le père et l'oncle, et la mère et la fille, Et les voisins, et toute la famille, Ouvraient l'oreille à monsieur l'aumônier.
Page 381 - A ces mots il saisit un vieil Infortiat, Grossi des visions d'Accurse et d'Alciat, Inutile ramas de gothique écriture, Dont quatre ais mal unis formaient la couverture, Entourée à demi d'un vieux parchemin noir, Où pendait à trois clous un reste de fermoir. . Sur...
Page 420 - Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome... Mais aujourd'hui la banqueroute, la hideuse banqueroute est là; elle menace de consumer vous, vos propriétés, votre honneur... et vous délibérez...
Page 419 - Messieurs, c'est la prudence la plus ordinaire, la sagesse la plus triviale, c'est votre intérêt le plus grossier que j'invoque. Je ne vous dis plus comme autrefois : Donnerez-vous les premiers aux nations le spectacle d'un peuple assemblé pour manquer à la foi publique? Je ne vous dis plus : Eh! quels titres avez-vous à la liberté? Quels moyens vous resteront pour la maintenir, si dès votre premier pas vous surpassez les turpitudes des gouvernements les plus corrompus, si le besoin de votre...
Page 420 - ... tout délai. Gardez-vous de demander du temps : le malheur n'en accorde jamais. Eh ! messieurs, à propos d'une ridicule motion du Palais-Royal, d'une risible insurrection qui n'eut jamais d'importance que dans les imaginations faibles, ou les desseins pervers de quelques hommes de mauvaise foi, vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome, et l'on délibère.
Page 380 - Dans le réduit obscur d'une alcôve enfoncée S'élève un lit de plume à grands frais amassée : Quatre rideaux pompeux, par un double contour, En défendent l'entrée à la clarté du jour.
Page 505 - Lettres sur l'origine des sciences et sur celle des peuples de l'Asie, adressées à M. de Voltaire par M. Bailly et précédées de quelques lettres de M.
Page 419 - ... garant de votre constitution ? Je vous dis : Vous serez tous entraînés dans la ruine universelle ; et les premiers intéressés au sacrifice que le gouvernement vous demande, c'est vous-mêmes.
Page 218 - Jouissez, prince, de cette victoire, jouissez-en éternellement par l'immortelle vertu de ce sacrifice ; agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue ; vous mettrez fin à tous- ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant je, veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte ; heureux, si, averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie, les restes...
Informations bibliographiques
| Titre | Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne: Êloquence, histoire, et littérature mêlée Volume 14 de Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Jean-François de La Harpe |
| Auteur | Jean-François de La Harpe |
| Éditeur | F. Didot, 1822 |
| Original provenant de | Université d'Oxford |
| Numérisé | 1 août 2006 |
| Exporter la citation | BiBTeX EndNote RefMan |