Le caméléon, ou, Recueil mensuel de morceaux de littérature, sciences, beaux arts, histoire, géographie, voyage, etc, Volume 1H. Hooper, 1837 |
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... arrivé à portée . Mais il n'y avait pas de danger : Love avait ses quatre pattes fixées en terre . 28 Alexandre le rejoignit , examina la direction de ses yeux , vit qu'ils étaient fixés sur une touffe d'herbe , et , sous cette touffe d ...
... arrivé à portée . Mais il n'y avait pas de danger : Love avait ses quatre pattes fixées en terre . 28 Alexandre le rejoignit , examina la direction de ses yeux , vit qu'ils étaient fixés sur une touffe d'herbe , et , sous cette touffe d ...
Page 43
... arrivé une chose ridicule . On est venu relever mon bon vieux gendarme , ' auquel , ingrat égoïste que je suis , je n'ai seulement pas serré la main . Un autre l'a remplacé homme à front déprimé , des yeux de bœuf , une figure inepte ...
... arrivé une chose ridicule . On est venu relever mon bon vieux gendarme , ' auquel , ingrat égoïste que je suis , je n'ai seulement pas serré la main . Un autre l'a remplacé homme à front déprimé , des yeux de bœuf , une figure inepte ...
Page 123
... arrivé bien des aventures depuis ce temps ; il me les a contées ; je vous les con- " terai en route . Après le déjeûner , nous nous promenions tranquil- " lement au Palais - Royal , là je rencontre Grigou que voilà ; il me 66 dit , en ...
... arrivé bien des aventures depuis ce temps ; il me les a contées ; je vous les con- " terai en route . Après le déjeûner , nous nous promenions tranquil- " lement au Palais - Royal , là je rencontre Grigou que voilà ; il me 66 dit , en ...
Page 150
... arrivé trop tard . Il assura n'avoir été averti qu'à quatre heures et demie de l'invasion opérée à quatre : d'avoir mis une demi - heure avant de pouvoir parvenir au château , et de n'avoir pu vaincre que long - temps après les ...
... arrivé trop tard . Il assura n'avoir été averti qu'à quatre heures et demie de l'invasion opérée à quatre : d'avoir mis une demi - heure avant de pouvoir parvenir au château , et de n'avoir pu vaincre que long - temps après les ...
Page 152
... arrivé sur sa cime , vous aurez , en vous tour- nant vers le midi , à votre gauche , Cosenza ; à votre droite , Santo- Lucido ; et , devant vous , à mille pas environ , s'escarpant aux ' flancs 1 Cut into the . de la montagne même , un ...
... arrivé sur sa cime , vous aurez , en vous tour- nant vers le midi , à votre gauche , Cosenza ; à votre droite , Santo- Lucido ; et , devant vous , à mille pas environ , s'escarpant aux ' flancs 1 Cut into the . de la montagne même , un ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Allons ALPHONSE DE LAMARTINE Antonio Armandine Arnold arrive avaient Bagnolet bandit Barazer Barbeau bientôt Blanche bonheur Bordenson bras Brie bruit c'était chapeau château chercher cheval chose ciel cœur colonel commis-voyageur Cosquer coup D'Orv dame demande devant Dieu dîner dire dis-je dit-il donner ducats Duchesse DUCHESSE D'ABRANTÈS enfans enfant êtes faisait femme fête front fusil général Dumas Grigou Henri de Navarre heures homme instant j'ai Jacomo jeta jeune fille jour laisser larmes long-temps Louis XVI Louise madame main malheureux manger Marceau Melchtal ment mère Metternich monde monsieur montagne mort Mysore n'avait nuit Odin pain parler paroles passer pauvre paysans pensée père peuple pieds pleurs Ploudalmezeau porte pouvait prit qu'un regard répondit reste rien Robespierre Romainville Roschen route s'écria s'était saint sais sang semblait sera seul sœur soir soldats sort Suzanne table d'hôte terre tête tombe trouve venait Vermont voilà voix yeux
Fréquemment cités
Page 292 - Il sera institué des fêtes pour rappeler l'homme à la pensée de la Divinité et à la dignité de son être.
Page 141 - A genoux, à genoux, à genoux sur la terre Où ton père a son père, où ta mère a sa mère, Où tout ce qui vécut dort d'un sommeil profond ! Abîme où la poussière est mêlée aux poussières, Où Sous son père encore on retrouve des pères, Comme l'onde sous l'onde en une mer sans fond ! Enfant ! quand tu t'endors, tu ris!
Page 139 - Va donc prier pour moi! — Dis pour toute prière : « Seigneur, Seigneur mon Dieu! vous êtes notre père, Grâce, vous êtes bon ! grâce, vous êtes grand ! » Laisse aller ta parole où ton âme l'envoie ; Ne t'inquiète pas, toute chose a sa voie, Ne t'inquiète pas du chemin qu'elle prend ! Il n'est rien ici-bas qui ne trouve sa pente.
Page 142 - N'entends-tu pas de souffle et de voix qui te dise: — Enfant! quand vous prierez, prierez-vous pas pour moi?
Page 137 - Ma fille, va prier! — Vois, la nuit est venue. Une planète d'or là-bas perce la nue; La brume des coteaux fait trembler le contour; A peine un char lointain glisse dans l'ombre... Écoute! Tout rentre et se repose; et l'arbre de la route Secoue au vent du soir la poussière du jour.
Page 151 - J'ai mon drapeau dans ma chaumière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? II est caché sous l'humble paille Où je dors pauvre et mutilé, Lui, qui, sûr de vaincre, a volé Vingt ans de bataille en bataille ! Chargé de lauriers et de fleurs II brilla sur l'Europe entière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? Ce drapeau payait à la France Tout le sang qu'il nous a coûté.
Page 117 - L'oubli dormant; Puisque l'air à la branche Donne l'oiseau; Que l'aube à la pervenche Donne un peu d'eau ; Puisque, lorsqu'elle arrive S'y reposer, L'onde amère à la rive Donne un baiser; Je te donne, à cette heure, Penché sur toi, La chose la meilleure Que j'aie en moi ! Reçois donc ma pensée...
Page 152 - Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs? Mais il est là près de mes armes ; Un instant osons l'entrevoir. Viens, mon drapeau! viens, mon espoir! C'est à toi d'essuyer mes larmes. D'un guerrier qui verse des pleurs Le ciel entendra la prière : Oui , je secoûrai la poussière Qui ternit tes nobles couleurs.
Page 56 - II descend le cercueil et les rosés sans taches Qu'un père y déposa, tribut de sa douleur; Terre, tu les portas et maintenant tu caches Jeune fille et jeune fleur. Ah! ne les rends jamais à ce monde profane, A ce monde de deuil, d'angoisse et de malheur; Le vent brise et flétrit, le soleil brûle et fane Jeune fille et jeune fleur.
Page 89 - ... pluie. Je regardai mes épaulettes d'or toutes neuves, ma félicité et ma consolation ; elles étaient hérissées par l'eau, cela m'affligea. Mon cheval baissait la tête; je fis comme lui : je me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien; mais cela ne m'occupa pas longtemps : j'étais certain que mon escadron étant là, là aussi était mon devoir. Comme je sentais en mon cœur un calme profond et inaltérable, j'en rendis grâce...