Le caméléon, ou, Recueil mensuel de morceaux de littérature, sciences, beaux arts, histoire, géographie, voyage, etc, Volume 1H. Hooper, 1837 |
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... mère la plus craintive lorsqu'il s'agit de la pudeur et de l'innocence de ses filles . ni M. Barbieux , ayant cru devoir céder aux avis de quelques personnes , avait retranché les morceaux d'histoire et de géo- graphie ; mais aujourd ...
... mère la plus craintive lorsqu'il s'agit de la pudeur et de l'innocence de ses filles . ni M. Barbieux , ayant cru devoir céder aux avis de quelques personnes , avait retranché les morceaux d'histoire et de géo- graphie ; mais aujourd ...
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... mère , Louis XIV . y fixa sa résidence ; il fit alors dessiner ce vaste parterre qu'on a transformé depuis en tapis de verdure , planter ces arbres majestueux qui forment encore aujourd'hui une promenade délicieuse , élever cette ...
... mère , Louis XIV . y fixa sa résidence ; il fit alors dessiner ce vaste parterre qu'on a transformé depuis en tapis de verdure , planter ces arbres majestueux qui forment encore aujourd'hui une promenade délicieuse , élever cette ...
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... mère ! Ouvrez vite . C'est votre Louise qui vient vous donner le bonjour .... Ainsi s'exprimait une jeune fille , en agitant d'une main impatiente la porte mal close , fermant une chétive mansarde3 située au sixième étage d'une maison ...
... mère ! Ouvrez vite . C'est votre Louise qui vient vous donner le bonjour .... Ainsi s'exprimait une jeune fille , en agitant d'une main impatiente la porte mal close , fermant une chétive mansarde3 située au sixième étage d'une maison ...
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... mère , s'écria Louise , en se dégageant de cette étreinte maternelle pour s'incliner sous la main tremblante et vieillie qui se posait sur sa tête charmante . Et puis s'écoula un moment de recueillement ; l'un de ces instants si ...
... mère , s'écria Louise , en se dégageant de cette étreinte maternelle pour s'incliner sous la main tremblante et vieillie qui se posait sur sa tête charmante . Et puis s'écoula un moment de recueillement ; l'un de ces instants si ...
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... mère ; mais , hélas ! la pauvre enfant sortait à peine d'apprentissage et n'était employée que depuis deux mois à l'année dans une maison où l'on profitait de son jeune âge pour rogner encore quelque chose sur le prix modique de son ...
... mère ; mais , hélas ! la pauvre enfant sortait à peine d'apprentissage et n'était employée que depuis deux mois à l'année dans une maison où l'on profitait de son jeune âge pour rogner encore quelque chose sur le prix modique de son ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Allons ALPHONSE DE LAMARTINE Antonio Armandine Arnold arrive avaient Bagnolet bandit Barazer Barbeau bientôt Blanche bonheur Bordenson bras Brie bruit c'était chapeau château chercher cheval chose ciel cœur colonel commis-voyageur Cosquer coup D'Orv dame demande devant Dieu dîner dire dis-je dit-il donner ducats Duchesse DUCHESSE D'ABRANTÈS enfans enfant êtes faisait femme fête front fusil général Dumas Grigou Henri de Navarre heures homme instant j'ai Jacomo jeta jeune fille jour laisser larmes long-temps Louis XVI Louise madame main malheureux manger Marceau Melchtal ment mère Metternich monde monsieur montagne mort Mysore n'avait nuit Odin pain parler paroles passer pauvre paysans pensée père peuple pieds pleurs Ploudalmezeau porte pouvait prit qu'un regard répondit reste rien Robespierre Romainville Roschen route s'écria s'était saint sais sang semblait sera seul sœur soir soldats sort Suzanne table d'hôte terre tête tombe trouve venait Vermont voilà voix yeux
Fréquemment cités
Page 292 - Il sera institué des fêtes pour rappeler l'homme à la pensée de la Divinité et à la dignité de son être.
Page 141 - A genoux, à genoux, à genoux sur la terre Où ton père a son père, où ta mère a sa mère, Où tout ce qui vécut dort d'un sommeil profond ! Abîme où la poussière est mêlée aux poussières, Où Sous son père encore on retrouve des pères, Comme l'onde sous l'onde en une mer sans fond ! Enfant ! quand tu t'endors, tu ris!
Page 139 - Va donc prier pour moi! — Dis pour toute prière : « Seigneur, Seigneur mon Dieu! vous êtes notre père, Grâce, vous êtes bon ! grâce, vous êtes grand ! » Laisse aller ta parole où ton âme l'envoie ; Ne t'inquiète pas, toute chose a sa voie, Ne t'inquiète pas du chemin qu'elle prend ! Il n'est rien ici-bas qui ne trouve sa pente.
Page 142 - N'entends-tu pas de souffle et de voix qui te dise: — Enfant! quand vous prierez, prierez-vous pas pour moi?
Page 137 - Ma fille, va prier! — Vois, la nuit est venue. Une planète d'or là-bas perce la nue; La brume des coteaux fait trembler le contour; A peine un char lointain glisse dans l'ombre... Écoute! Tout rentre et se repose; et l'arbre de la route Secoue au vent du soir la poussière du jour.
Page 151 - J'ai mon drapeau dans ma chaumière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? II est caché sous l'humble paille Où je dors pauvre et mutilé, Lui, qui, sûr de vaincre, a volé Vingt ans de bataille en bataille ! Chargé de lauriers et de fleurs II brilla sur l'Europe entière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? Ce drapeau payait à la France Tout le sang qu'il nous a coûté.
Page 117 - L'oubli dormant; Puisque l'air à la branche Donne l'oiseau; Que l'aube à la pervenche Donne un peu d'eau ; Puisque, lorsqu'elle arrive S'y reposer, L'onde amère à la rive Donne un baiser; Je te donne, à cette heure, Penché sur toi, La chose la meilleure Que j'aie en moi ! Reçois donc ma pensée...
Page 152 - Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs? Mais il est là près de mes armes ; Un instant osons l'entrevoir. Viens, mon drapeau! viens, mon espoir! C'est à toi d'essuyer mes larmes. D'un guerrier qui verse des pleurs Le ciel entendra la prière : Oui , je secoûrai la poussière Qui ternit tes nobles couleurs.
Page 56 - II descend le cercueil et les rosés sans taches Qu'un père y déposa, tribut de sa douleur; Terre, tu les portas et maintenant tu caches Jeune fille et jeune fleur. Ah! ne les rends jamais à ce monde profane, A ce monde de deuil, d'angoisse et de malheur; Le vent brise et flétrit, le soleil brûle et fane Jeune fille et jeune fleur.
Page 89 - ... pluie. Je regardai mes épaulettes d'or toutes neuves, ma félicité et ma consolation ; elles étaient hérissées par l'eau, cela m'affligea. Mon cheval baissait la tête; je fis comme lui : je me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien; mais cela ne m'occupa pas longtemps : j'étais certain que mon escadron étant là, là aussi était mon devoir. Comme je sentais en mon cœur un calme profond et inaltérable, j'en rendis grâce...