Le caméléon, ou, Recueil mensuel de morceaux de littérature, sciences, beaux arts, histoire, géographie, voyage, etc, Volume 1H. Hooper, 1837 |
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... volupté ! Ainsi , quand notre humble paupière , Contemplant l'occident vermeil , Fixe au terme de sa carrière Le lit enflammé du soleil ; C Le regard qu'éblouit sa face , Retombe soudain dans l'espace LE CAMELEON . 17.
... volupté ! Ainsi , quand notre humble paupière , Contemplant l'occident vermeil , Fixe au terme de sa carrière Le lit enflammé du soleil ; C Le regard qu'éblouit sa face , Retombe soudain dans l'espace LE CAMELEON . 17.
Page 25
... soleil . Si dans un coin du monde il naît une créature extraordinaire ; si un enfant vient au jour avec un œil ou avec trois yeux ; si on découvre quelque part une puce grosse comme un rat , ou un rat gros comme un homme , ou un homme ...
... soleil . Si dans un coin du monde il naît une créature extraordinaire ; si un enfant vient au jour avec un œil ou avec trois yeux ; si on découvre quelque part une puce grosse comme un rat , ou un rat gros comme un homme , ou un homme ...
Page 35
... soleil , aux bords de la Garonne , " En un clin - d'œil disparaît le brouillard . " -Y songez - vous ? Ce langage m'étonne De votre part ; eh quoi ! ces directeurs Que vous me vantiez tant ? " N'étaient que des voleurs ; " Affamés de ...
... soleil , aux bords de la Garonne , " En un clin - d'œil disparaît le brouillard . " -Y songez - vous ? Ce langage m'étonne De votre part ; eh quoi ! ces directeurs Que vous me vantiez tant ? " N'étaient que des voleurs ; " Affamés de ...
Page 46
... soleil et de la neige comme des boulets de canon . J'étais à côté de cet enragé de grenadier , qui , plus d'à - moitié égrugé par la mitraille , qui pleuvait à la bataille d'Ulm , criait encore plus fort que les autres , ' En avant ! en ...
... soleil et de la neige comme des boulets de canon . J'étais à côté de cet enragé de grenadier , qui , plus d'à - moitié égrugé par la mitraille , qui pleuvait à la bataille d'Ulm , criait encore plus fort que les autres , ' En avant ! en ...
Page 56
... soleil brûle et fane " Jeune fille et jeune fleur . ' Tu dors , pauvre Elisa , si légère d'années ! " Tu ne crains plus du jour le poids et la chaleur ; " Elles ont achevé leurs fraîches matinées , " Jeune fille et jeune fleur . " Sur ...
... soleil brûle et fane " Jeune fille et jeune fleur . ' Tu dors , pauvre Elisa , si légère d'années ! " Tu ne crains plus du jour le poids et la chaleur ; " Elles ont achevé leurs fraîches matinées , " Jeune fille et jeune fleur . " Sur ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Allons ALPHONSE DE LAMARTINE Antonio Armandine Arnold arrive avaient Bagnolet bandit Barazer Barbeau bientôt Blanche bonheur Bordenson bras Brie bruit c'était chapeau château chercher cheval chose ciel cœur colonel commis-voyageur Cosquer coup D'Orv dame demande devant Dieu dîner dire dis-je dit-il donner ducats Duchesse DUCHESSE D'ABRANTÈS enfans enfant êtes faisait femme fête front fusil général Dumas Grigou Henri de Navarre heures homme instant j'ai Jacomo jeta jeune fille jour laisser larmes long-temps Louis XVI Louise madame main malheureux manger Marceau Melchtal ment mère Metternich monde monsieur montagne mort Mysore n'avait nuit Odin pain parler paroles passer pauvre paysans pensée père peuple pieds pleurs Ploudalmezeau porte pouvait prit qu'un regard répondit reste rien Robespierre Romainville Roschen route s'écria s'était saint sais sang semblait sera seul sœur soir soldats sort Suzanne table d'hôte terre tête tombe trouve venait Vermont voilà voix yeux
Fréquemment cités
Page 292 - Il sera institué des fêtes pour rappeler l'homme à la pensée de la Divinité et à la dignité de son être.
Page 141 - A genoux, à genoux, à genoux sur la terre Où ton père a son père, où ta mère a sa mère, Où tout ce qui vécut dort d'un sommeil profond ! Abîme où la poussière est mêlée aux poussières, Où Sous son père encore on retrouve des pères, Comme l'onde sous l'onde en une mer sans fond ! Enfant ! quand tu t'endors, tu ris!
Page 139 - Va donc prier pour moi! — Dis pour toute prière : « Seigneur, Seigneur mon Dieu! vous êtes notre père, Grâce, vous êtes bon ! grâce, vous êtes grand ! » Laisse aller ta parole où ton âme l'envoie ; Ne t'inquiète pas, toute chose a sa voie, Ne t'inquiète pas du chemin qu'elle prend ! Il n'est rien ici-bas qui ne trouve sa pente.
Page 142 - N'entends-tu pas de souffle et de voix qui te dise: — Enfant! quand vous prierez, prierez-vous pas pour moi?
Page 137 - Ma fille, va prier! — Vois, la nuit est venue. Une planète d'or là-bas perce la nue; La brume des coteaux fait trembler le contour; A peine un char lointain glisse dans l'ombre... Écoute! Tout rentre et se repose; et l'arbre de la route Secoue au vent du soir la poussière du jour.
Page 151 - J'ai mon drapeau dans ma chaumière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? II est caché sous l'humble paille Où je dors pauvre et mutilé, Lui, qui, sûr de vaincre, a volé Vingt ans de bataille en bataille ! Chargé de lauriers et de fleurs II brilla sur l'Europe entière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? Ce drapeau payait à la France Tout le sang qu'il nous a coûté.
Page 117 - L'oubli dormant; Puisque l'air à la branche Donne l'oiseau; Que l'aube à la pervenche Donne un peu d'eau ; Puisque, lorsqu'elle arrive S'y reposer, L'onde amère à la rive Donne un baiser; Je te donne, à cette heure, Penché sur toi, La chose la meilleure Que j'aie en moi ! Reçois donc ma pensée...
Page 152 - Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs? Mais il est là près de mes armes ; Un instant osons l'entrevoir. Viens, mon drapeau! viens, mon espoir! C'est à toi d'essuyer mes larmes. D'un guerrier qui verse des pleurs Le ciel entendra la prière : Oui , je secoûrai la poussière Qui ternit tes nobles couleurs.
Page 56 - II descend le cercueil et les rosés sans taches Qu'un père y déposa, tribut de sa douleur; Terre, tu les portas et maintenant tu caches Jeune fille et jeune fleur. Ah! ne les rends jamais à ce monde profane, A ce monde de deuil, d'angoisse et de malheur; Le vent brise et flétrit, le soleil brûle et fane Jeune fille et jeune fleur.
Page 89 - ... pluie. Je regardai mes épaulettes d'or toutes neuves, ma félicité et ma consolation ; elles étaient hérissées par l'eau, cela m'affligea. Mon cheval baissait la tête; je fis comme lui : je me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien; mais cela ne m'occupa pas longtemps : j'étais certain que mon escadron étant là, là aussi était mon devoir. Comme je sentais en mon cœur un calme profond et inaltérable, j'en rendis grâce...