| 1833 - 486 pages
...me mis à penser, et je me demandai pour la première fois où j'allais. Je n'en savais absolument rien ; mais cela ne m'occupa pas long-temps, j'étais...près comment des fatigues inaccoutumées étaient gaîment portées par des têtes si blondes ou si blanches, comment un avenir assuré était si cavalièrement... | |
| 1836 - 432 pages
...première fois où j'allais. Je n'en savais absolu- ! ment rien ; mais cela ne m'occupa pas long-temps, j j'étais certain que mon escadron étant là , là...| aussi était mon devoir. Comme je sentais en mon ctenr un calme profond et inaltérable, j'en rendis , grâce à ce sentiment ineffable du devoir ,... | |
| Alfred de Vigny - 1837 - 530 pages
...me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien, mais cela ne m'occupa pas longtemps ; j'étais...Comme je sentais en mon cœur un calme profond et inallérable, j'en rendis grâce à ce sentiment ineffable du devoir, et je cherchai à me l'expliquer.... | |
| Régis de Trobriand - 1860 - 362 pages
...me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien, mais cela ne m'occupa pas longtemps ; j'étais...certain que mon escadron étant là, là aussi était làon devoir. Comme je sentais en mon cœur un calme profond et inaltérable, j'en rendis grâce à... | |
| Alfred de Vigny - 1857 - 270 pages
...me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien; mais cela ne m'occupa pas longtemps : j'étais...par des têtes si blondes ou si blanches, comment un avenir assuré était si cavalièrement risqué par tant d'hommes de vie heureuse et mondaine, et... | |
| Alfred de Vigny - 1865 - 372 pages
...me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien ; mais cela ne m'occupa pas longtemps : j'étais...près comment des fatigues inaccoutumées étaient gaîment portées par des têtes si blondes ou si blanches, comment un avenir assuré était si cavalièrement... | |
| Alfred de Vigny - 1890 - 72 pages
...me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien ; mais cela ne m'occupa pas longtemps : j'étais...aussi était mon devoir. Comme je sentais en mon cœur «n calme profond et inaltérable, j'en rendis grâce à ce sentiment ineffable du Devoir,4 et je cherchai... | |
| Alfred de Vigny - 1890 - 70 pages
...me mis à penser, et je me demandai, pour la première fois, où j'allais. Je n'en savais absolument rien ; mais cela ne m'occupa pas longtemps : j'étais...inaltérable, j'en rendis grâce à ce sentiment ineffable du Devoir,4 et je cherchai à me l'expliquer. Voyant de près comment des fatigues inaccoutumées étaient... | |
| Émile Lauvrière - 1909 - 414 pages
...perpétuellement reçue, peut changer la masse du sang et devenir un des principes de notre constitution. » « Comme je sentais en mon cœur un calme profond et inaltérable, j'en hésiter devant aucun sacrifice pour réparer l'injure ou la cacher éternellement. » rendis grâces... | |
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