Revue historique et littéraire de l'Ile Maurice: Variétes et romans, Volume 21888 |
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... fenêtre ? Oui , par la fenêtre , dans la rivière ! Dieu sait où il est maintenant ! Dans mon embarcation , tout simplement . Hein ! vous dites ? dans votre embarcation ? Tchou ! Ca n'est pas possible ! Ming s'était levé ; il était ...
... fenêtre ? Oui , par la fenêtre , dans la rivière ! Dieu sait où il est maintenant ! Dans mon embarcation , tout simplement . Hein ! vous dites ? dans votre embarcation ? Tchou ! Ca n'est pas possible ! Ming s'était levé ; il était ...
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... fenêtre ? par Oui , par la fenêtre , dans la rivière ! Dieu sait où il est maintenant ! Dans mon embarcation , tout simplement . Hein ! vous dites ? dans votre embarcation ? Tchou ! Ca n'est pas possible ! Ming s'était levé ; il était ...
... fenêtre ? par Oui , par la fenêtre , dans la rivière ! Dieu sait où il est maintenant ! Dans mon embarcation , tout simplement . Hein ! vous dites ? dans votre embarcation ? Tchou ! Ca n'est pas possible ! Ming s'était levé ; il était ...
Page 44
... fenêtre , ces deux fleurs qui avaient achevé de le rendre fou d'amour . Il restait bien la goutte d'eau qu'il avait reçue sur le visage le jour où Saule - Brodé arrosait ses fleurs et l'éclat de rire de la jeune fille ; mais cela ne ...
... fenêtre , ces deux fleurs qui avaient achevé de le rendre fou d'amour . Il restait bien la goutte d'eau qu'il avait reçue sur le visage le jour où Saule - Brodé arrosait ses fleurs et l'éclat de rire de la jeune fille ; mais cela ne ...
Page 49
... fenêtre de son cabinet de travail , un vieux bon- homme cassé et courbé , s'appuyant pesamment sur une canne à grosse pomme et conduisant par la main un enfant d'une dizaine d'années . Le vieillard était le médecin du village des ...
... fenêtre de son cabinet de travail , un vieux bon- homme cassé et courbé , s'appuyant pesamment sur une canne à grosse pomme et conduisant par la main un enfant d'une dizaine d'années . Le vieillard était le médecin du village des ...
Page 50
... fenêtre : -Viens donc voir ma poupée ! ... Pendant cela , les deux médecins causaient à voix basse . Savigné , très pâle , demandait à Madelor : - Ainsi votre mission est accomplie ? Mission douloureuse , je vous le jure , dit Madelor ...
... fenêtre : -Viens donc voir ma poupée ! ... Pendant cela , les deux médecins causaient à voix basse . Savigné , très pâle , demandait à Madelor : - Ainsi votre mission est accomplie ? Mission douloureuse , je vous le jure , dit Madelor ...
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Expressions et termes fréquents
aime Angélique Antonia arbres ARMET Armoises avaient Bacheur blanche bois bonheur bras C'était calme Cendrière cher Cilaos cœur Combredel coup devant Dieu dit-il docteur Madelor enfant Est-ce Félicien femme fenêtre fleurs forêt Haut-Butté HENRI NESTLÉ heures Hubert Hubertine Ile Maurice j'ai j'avais Jacques de Voragine jamais Jérôme jeta jeune fille Joseph Muller Josillet jour JULES MARY l'avait l'enfant laisser Lantaume larmes leva lèvres Limet madame Magasins du Printemps mains maison mandarin Marie Maurice Mauricien médecin ment mère MINET & CIE Ming Monseigneur monsieur Monthermé mort mourir murmura n'avait nuit pâle parler passé paysanne pensée père Perkins petite Piéqueur pleurer Port-Louis porte pouvait QUININE Quinquina quitter regard RÉGULUS restait rêve rien rire Rose rouge s'était Savigné Senneterre sentait serait seul silence Siméonne soir soleil sorte sourire Suzette Tchou tête tomber tremblement trouver VARIÉTÉS ET ROMANS venait vieillard visage vitrail voix voulait yeux Zola
Fréquemment cités
Page 209 - Jérusalem, qui est d'argent à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes de même; d'Hautecœur, qui est d'azur à la forteresse d'or, avec un écusson de sable au cœur d'argent en abîme, le tout accompagné de trois fleurs de lys d'or, deux en chef, une en pointe.
Page 273 - C'était une flamme héréditaire rallumée en elle. Ses mains tâtonnantes étreignaient le vide, sa tête trop lourde pliait sur sa nuque délicate. S'il avait tendu les bras, elle y serait tombée, ignorant tout, cédant à la poussée de ses veines, n'ayant que le besoin de se fondre en lui. Et ce fut lui, venu pour la prendre, qui trembla devant cette innocence, si passionnée.
Page 153 - Seule, la Légende la passionnait, la tenait penchée, le front entre les mains, prise toute, au point de ne plus vivre de la vie quotidienne, sans conscience du temps, regardant monter, du fond de l'inconnu, le grand épanouissement du rêve.
Page 354 - ... ne peut pas faire, des choses compliquées, à vous rendre imbécile. Ils mentent toujours, ce n'est pas vrai : il n'ya que le bonheur de vivre, d'aimer celui qui vous aime... Vous êtes la fortune, la beauté, la jeunesse, mon cher seigneur, et je me donne à vous, à jamais, entièrement, et mon unique plaisir est en vous, et faites de moi ce qu'il vous plaira. Elle triomphait, dans une flambée de tous les feux héréditaires que l'on croyait morts.
Page 249 - ... donnant toute, désespérant de fléchir le sort. Ils n'en parlaient point, n'en échangeaient pas un baiser de plus, devant le monde; mais ce redoublement d'amour sortait du silence de leur chambre, se dégageait de leur personne, au moindre geste, à la façon dont leurs regards se rencontraient, s'oubliaient une seconde l'un dans l'autre.
Page 354 - H y aura là des fleurs grandes comme des arbres, des fruits plus doux que le miel. Et nous vivrons de rien, au milieu de cet éternel printemps, nous vivrons de nos baisers, ma chère âme. Elle frissonna sous ce brûlant amour, dont il lui chauffait la face.
Page 470 - Je ne tenterai pas de rappeler ce que je souffris alors; il est des situations au-dessus des expressions connues. Heureux ceux qui n'ont pas éprouvé les terribles sensations qui déchirent le cœur, lorsqu'un vaisseau, poussé par les vents , nous éloigne impérieusement de nos amis au moment où nos caresses vont encore se confondre avec les leurs ! On croit les presser pour la dernière fois contre son sein , et l'on n'embrasse que le vide , image effrayante de l'avenir qui s'ouvre devant nous....
Page 459 - Je suis donc condamnée à un luxe qu'on envie, et qui fait mon supplice ; je suis condamnée à visiter, recevoir, accueillir une société qui ne me convient nullement. Plus je suis triste, plus M.
Page 458 - J'oserais jurer qu'elles ne s'aimeront jamais ; l'une est trop jolie, et l'autre trop laide." " Vous ne savez pas le nom de cette grosse femme ? — Je ne connais qu'elle ; j'ai l'honneur d'être admis à lui faire ma cour. — Je vous en fais mon compliment." " Que voulez-vous ! il n'ya plus que ces gens-là qui aient une maison ; il faut bien [se décider à les voir ou à périr d'ennui. Elle se nomme Dutilo ; elle a été longtemps couturière, et son mari coiffeur. Le cher homme a tant travaillé...
Page 453 - Je suis plus riche que tous ces gens-là, répétait-il sans cesse ; pourquoi ne jouiraic-je pas comme eux ? Croyez-vous que je ne me sois pas aperçu qu'ils se moquaient de vous et de moi ? Ah ! je veux me moquer d'eux à mon tour ; je veux que vous ayez des diamants, des broderies, des bijoux à vous seule autant que toutes les femmes que j'ai vues aujourd'hui. Madame Darson viendra demain matin vous voir (c'était l'épouse de son associé) ; elle vous aime beaucoup, à ce qu'elle m'a dit, et...