Revue historique et littéraire de l'Ile Maurice: Variétes et romans, Volume 21888 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 57
Page 4
... laisser le temps de se mettre plus complètement sur la défensive . VII la vengeance de Tchou La rade de Whampoa est certainement une des stations les plus cu- rieuses du globe . Située au - dessus des fameux forts de Bocca - Tigris , à ...
... laisser le temps de se mettre plus complètement sur la défensive . VII la vengeance de Tchou La rade de Whampoa est certainement une des stations les plus cu- rieuses du globe . Située au - dessus des fameux forts de Bocca - Tigris , à ...
Page 19
... laisser l'infortuné magis- trat dans l'ignorance du drame qui s'était joué sur la plage de Lamma , si terrible que dût être pour lui la nouvelle de la mort de Tchou . Il lui écrivit alors une longue lettre , en lui retraçant fidèlement ...
... laisser l'infortuné magis- trat dans l'ignorance du drame qui s'était joué sur la plage de Lamma , si terrible que dût être pour lui la nouvelle de la mort de Tchou . Il lui écrivit alors une longue lettre , en lui retraçant fidèlement ...
Page 20
... laisser noyer comme un chien . Ah ! par Bouddah , je suis perdu , déshonoré , roué ! Cent coups de ... Et sans pouvoir achever , l'infortuné président de la Cour criminelle se mit à éclater en sanglots . C'est dans cet état qu'il passa ...
... laisser noyer comme un chien . Ah ! par Bouddah , je suis perdu , déshonoré , roué ! Cent coups de ... Et sans pouvoir achever , l'infortuné président de la Cour criminelle se mit à éclater en sanglots . C'est dans cet état qu'il passa ...
Page 21
... ce qu'elles venaient lui annoncer . Sans leur laisser prendre la parole , il saisit la main de Saule - Brodé , l'attira à lui et l'embrassant chastement au front , il lui dit : - Ne pleure pas , ma bien - aimée , L'ARAIGNÉE ROUGE 21.
... ce qu'elles venaient lui annoncer . Sans leur laisser prendre la parole , il saisit la main de Saule - Brodé , l'attira à lui et l'embrassant chastement au front , il lui dit : - Ne pleure pas , ma bien - aimée , L'ARAIGNÉE ROUGE 21.
Page 33
... laisser repêcher . Seule- ment sir Arthur , qui fait partie de la société de sauvetage de la Tamise , est entêté en diable de plus , il nage comme un poisson . Il a tout simple- ment piqué une tête savante et , deux minutes après , il ...
... laisser repêcher . Seule- ment sir Arthur , qui fait partie de la société de sauvetage de la Tamise , est entêté en diable de plus , il nage comme un poisson . Il a tout simple- ment piqué une tête savante et , deux minutes après , il ...
Autres éditions - Tout afficher
Revue historique et littéraire de l'Ile Maurice: Variétes et romans, Volume 1 Affichage du livre entier - 1887 |
Revue historique et littéraire de l'Ile Maurice: Variétes et ..., Volumes 6 à 7 Affichage du livre entier - 1898 |
Expressions et termes fréquents
aime Angélique Antonia arbres ARMET Armoises avaient Bacheur blanche bois bonheur bras C'était calme Cendrière cher Cilaos cœur Combredel coup devant Dieu dit-il docteur Madelor enfant Est-ce Félicien femme fenêtre fleurs forêt Haut-Butté HENRI NESTLÉ heures Hubert Hubertine Ile Maurice j'ai j'avais Jacques de Voragine jamais Jérôme jeta jeune fille Joseph Muller Josillet jour JULES MARY l'avait l'enfant laisser Lantaume larmes leva lèvres Limet madame Magasins du Printemps mains maison mandarin Marie Maurice Mauricien médecin ment mère MINET & CIE Ming Monseigneur monsieur Monthermé mort mourir murmura n'avait nuit pâle parler passé paysanne pensée père Perkins petite Piéqueur pleurer Port-Louis porte pouvait QUININE Quinquina quitter regard RÉGULUS restait rêve rien rire Rose rouge s'était Savigné Senneterre sentait serait seul silence Siméonne soir soleil sorte sourire Suzette Tchou tête tomber tremblement trouver VARIÉTÉS ET ROMANS venait vieillard visage vitrail voix voulait yeux Zola
Fréquemment cités
Page 209 - Jérusalem, qui est d'argent à la croix potencée d'or, cantonnée de quatre croisettes de même; d'Hautecœur, qui est d'azur à la forteresse d'or, avec un écusson de sable au cœur d'argent en abîme, le tout accompagné de trois fleurs de lys d'or, deux en chef, une en pointe.
Page 273 - C'était une flamme héréditaire rallumée en elle. Ses mains tâtonnantes étreignaient le vide, sa tête trop lourde pliait sur sa nuque délicate. S'il avait tendu les bras, elle y serait tombée, ignorant tout, cédant à la poussée de ses veines, n'ayant que le besoin de se fondre en lui. Et ce fut lui, venu pour la prendre, qui trembla devant cette innocence, si passionnée.
Page 153 - Seule, la Légende la passionnait, la tenait penchée, le front entre les mains, prise toute, au point de ne plus vivre de la vie quotidienne, sans conscience du temps, regardant monter, du fond de l'inconnu, le grand épanouissement du rêve.
Page 354 - ... ne peut pas faire, des choses compliquées, à vous rendre imbécile. Ils mentent toujours, ce n'est pas vrai : il n'ya que le bonheur de vivre, d'aimer celui qui vous aime... Vous êtes la fortune, la beauté, la jeunesse, mon cher seigneur, et je me donne à vous, à jamais, entièrement, et mon unique plaisir est en vous, et faites de moi ce qu'il vous plaira. Elle triomphait, dans une flambée de tous les feux héréditaires que l'on croyait morts.
Page 249 - ... donnant toute, désespérant de fléchir le sort. Ils n'en parlaient point, n'en échangeaient pas un baiser de plus, devant le monde; mais ce redoublement d'amour sortait du silence de leur chambre, se dégageait de leur personne, au moindre geste, à la façon dont leurs regards se rencontraient, s'oubliaient une seconde l'un dans l'autre.
Page 354 - H y aura là des fleurs grandes comme des arbres, des fruits plus doux que le miel. Et nous vivrons de rien, au milieu de cet éternel printemps, nous vivrons de nos baisers, ma chère âme. Elle frissonna sous ce brûlant amour, dont il lui chauffait la face.
Page 470 - Je ne tenterai pas de rappeler ce que je souffris alors; il est des situations au-dessus des expressions connues. Heureux ceux qui n'ont pas éprouvé les terribles sensations qui déchirent le cœur, lorsqu'un vaisseau, poussé par les vents , nous éloigne impérieusement de nos amis au moment où nos caresses vont encore se confondre avec les leurs ! On croit les presser pour la dernière fois contre son sein , et l'on n'embrasse que le vide , image effrayante de l'avenir qui s'ouvre devant nous....
Page 459 - Je suis donc condamnée à un luxe qu'on envie, et qui fait mon supplice ; je suis condamnée à visiter, recevoir, accueillir une société qui ne me convient nullement. Plus je suis triste, plus M.
Page 458 - J'oserais jurer qu'elles ne s'aimeront jamais ; l'une est trop jolie, et l'autre trop laide." " Vous ne savez pas le nom de cette grosse femme ? — Je ne connais qu'elle ; j'ai l'honneur d'être admis à lui faire ma cour. — Je vous en fais mon compliment." " Que voulez-vous ! il n'ya plus que ces gens-là qui aient une maison ; il faut bien [se décider à les voir ou à périr d'ennui. Elle se nomme Dutilo ; elle a été longtemps couturière, et son mari coiffeur. Le cher homme a tant travaillé...
Page 453 - Je suis plus riche que tous ces gens-là, répétait-il sans cesse ; pourquoi ne jouiraic-je pas comme eux ? Croyez-vous que je ne me sois pas aperçu qu'ils se moquaient de vous et de moi ? Ah ! je veux me moquer d'eux à mon tour ; je veux que vous ayez des diamants, des broderies, des bijoux à vous seule autant que toutes les femmes que j'ai vues aujourd'hui. Madame Darson viendra demain matin vous voir (c'était l'épouse de son associé) ; elle vous aime beaucoup, à ce qu'elle m'a dit, et...