 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 710 pages
...Cela pourroit être nécessaire au repos de votre « vie. « Puisque vous vouliez quitter l'Hermitage et « que vous le deviez, je suis étonnée que vos amis « vous aient retenu. Pour moi, jenecousultcpoiut « les miens sur mes devoirs , et je n'ai plus rien a « vous dire sur les vôtres.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pages
...vous le deviez , je suis étonnée que vos amia « vousaient retenu. Pour moi, jeneconsultepoint « les miens sur mes devoirs , et je n'ai plus rien à « vous dire sur les vôtres. » Un congé si imprévu, mais si nettement prononcé , ne me laissa pas un instant à balancer. Il... | |
 | Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1818 - 440 pages
...vous le deviez , je suis étonnée que vos amis vous ayent retenu : pour moi , je ne consulte jamais les miens sur mes devoirs , et je n'ai plus rien à vous dire sur les vôtres. LETTRE DE M. GRIMM A MADAME D'EPINAY. JE suis enchanté de vous , ma chère amie , de M. Tronchin ,... | |
 | 1818 - 480 pages
...cela pourroit; être nécessaire au repos de •votre vie. Puisque vous voulez quitter l'Hërmitage, et que vous le deviez , je suis étonnée que Vos amis vous ayent retenu : pour moi ; je ne consulte jamais les miens sur mes devoirs, et je n'ai plus rien à... | |
 | Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1818 - 434 pages
...suite devenir captieux. Je lui ai donc répondu : « Puisque vous avez voulu » quitter l'Hermitage , et que vous le deviez, je » suis étonnée que vos amis vous y ayent rete» nu ; pour moi , je ne consulte jamais les miens » sur mes devoirs , et je n'ai plus... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 562 pages
...Cela pourroit » être nécessaire au repos de votre vie. «Puisque vous vouliez quitter l'Hermitage, et » que vous le deviez, je suis étonnée que vos...je n'ai plus rien à » vous dire sur les vôtres. » Un congé si imprévu , mais si nettement prononcé, ne me laissa pas un instant à balancer. Il... | |
 | Jean Jacques Rousseau - 1827 - 498 pages
...Cela pourroit « être nécessaire au repos de votre vie. « Puisque vous vouliez quitter l'Hermitage, et que « vous le deviez, je suis étonnée que vos...je n'ai plus rien à vous « dire sur les vôtres. » Un congé si imprévu, mais si nettement prononcé, ne me laissa pas un instant à balancer. Il... | |
 | Jean Jacques Rousseau - 1827 - 500 pages
...Cela pourroif « être nécessaire au repos de votre vie. « Puisque vous vouliez quitter l'Hermitage, et que «vous le deviez, je suis étonnée que vos...je n'ai plus rien à vous « dire sur les vôtres. » Un congé si imprévu, mais si nettement prononcé, ne me laissa pas un instant à balancer. Il... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...nécessaire au repos de votre vie. . ? . « Puisque vous vouliez quitter l'Ermitage et que vous le deviez, c je suis étonnée que vos amis vous aient retenu....point les miens sur mes devoirs, et je n'ai plus rien t à vous dire sur les vôtres. > Un congé si imprévu , mais si nettement prononcé^ ne me laissa... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...soit aussi tranquille que la mienne. « Cela pourrait être nécessaire au repos de votre « vif. « Puisque vous vouliez quitter l'Ermitage et « que...« point les miens sur mes devoirs, et je n'ai plus M rieu à vous dire sur les vôtres. » Un congé si imprévu, mais si nettement prononcé, ne me laissa... | |
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Puisque vous vouliez quitter l'Ermitage et que vous le deviez, je suis étonnée que vos amis vous aient retenu. Pour moi je ne consulte point les miens sur mes devoirs, et je n'ai plus rien à vous dire sur les vôtres. 
