French classics: A selection of plays by Corneille, Molière, and RacineGustave Masson Clarendon Press, 1870 |
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... Dures extrémités où je me vois réduit ! Tu viens , Sylvestre , d'ap- prendre au port que mon père revient ? Oui . Sylvestre . Octave . Qu'il arrive ce matin même ? 5 Ce matin même . Sylvestre . Octave . Et qu'il LES ...
... Dures extrémités où je me vois réduit ! Tu viens , Sylvestre , d'ap- prendre au port que mon père revient ? Oui . Sylvestre . Octave . Qu'il arrive ce matin même ? 5 Ce matin même . Sylvestre . Octave . Et qu'il LES ...
Page 17
... vois se former , de loin , un nuage de coups de bâton qui crèvera sur mes épaules . Octave . Ô ciel ! par où sortir de l'embarras où je me trouve ? Sylvestre . C'est à quoi vous deviez songer avant que de vous y jeter . Octave . Ah ! tu ...
... vois se former , de loin , un nuage de coups de bâton qui crèvera sur mes épaules . Octave . Ô ciel ! par où sortir de l'embarras où je me trouve ? Sylvestre . C'est à quoi vous deviez songer avant que de vous y jeter . Octave . Ah ! tu ...
Page 19
... 'être pas assez sensible aux choses qu'il me venait dire , et me blâmait sans cesse de l'indifférence où j'étais pour les feux de l'amour . Scapin . Je ne vois pas encore où ceci peut C 2 ACTE I , SCÈNE II . 19 Scapin. ...
... 'être pas assez sensible aux choses qu'il me venait dire , et me blâmait sans cesse de l'indifférence où j'étais pour les feux de l'amour . Scapin . Je ne vois pas encore où ceci peut C 2 ACTE I , SCÈNE II . 19 Scapin. ...
Page 20
Gustave Masson. Scapin . Je ne vois pas encore où ceci peut aller . Octave . Un jour que je l'accompagnais pour aller ... vois bien qu'elle était tout à fait charmante . Octave . Ses larmes n'étaient point de ces larmes désagréables 20 ...
Gustave Masson. Scapin . Je ne vois pas encore où ceci peut aller . Octave . Un jour que je l'accompagnais pour aller ... vois bien qu'elle était tout à fait charmante . Octave . Ses larmes n'étaient point de ces larmes désagréables 20 ...
Page 21
... vois tout cela . Scapin . Octave . Elle faisait fondre chacun en larmes , en se jetant amoureuse- 5 ment sur le corps de cette mourante , qu'elle appellait sa chère mère ; et il n'y avait personne qui n'eût l'âme percée de voir un si ...
... vois tout cela . Scapin . Octave . Elle faisait fondre chacun en larmes , en se jetant amoureuse- 5 ment sur le corps de cette mourante , qu'elle appellait sa chère mère ; et il n'y avait personne qui n'eût l'âme percée de voir un si ...
Expressions et termes fréquents
Abner ACTE Alcandre Alcantor amour Argante Athalie avez Azarias Baal Balthazar Baro Béjart Boileau Carle cents pistoles cher Chœur chose cinq cents écus cœur comédie comédiens Comp conte coquin Corneille Corneille's coups de bâton croyant seul d'Athalie d'Okosias David diable allait-il Dieu dire dramatic literature Éliacin enfant ennemis est-ce Euripides fille fils first Fourberies de Scapin fureur galère Garg Garganelle great Hélas homme Hyacinte j'ai Jalousie de Barbouille Jéhu Jérusalem Jézabel Joad Joas Joguenet Joram Josabet jour Juifs King Léandre lévites Louis mains Mathan méchant Molière monsieur Nabal Nérine Ô ciel Octave pardonne parler pendard père peuple pièce pleurs prêtre prophètes qu'Athalie Quinault Racine Racine's reine rien rois rois de Juda saint sais SALOMITH sang says SCÈNE VII seigneur Géronte sera sœur soin songe Sylvestre talent temple Térence théâtre tragédie trouble troupe trouve used veux voilà vois Voix seule Voltaire yeux Zacharie zèle Zerbinette ΙΟ
Fréquemment cités
Page 182 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Page 147 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit; Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée , Comme au jour de sa mort pompeusement parée : Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage Pour réparer des ans l'irréparable outrage. Tremble , m'at-elle dit , fille digne de moi: Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi; Je te plains de tomber dans ses mains redoutables ., Ma fille.
Page 165 - Toutefois, je l'avoue, en ce comble de gloire, Du Dieu que j'ai quitté l'importune mémoire Jette encore en mon âme un reste de terreur, Et c'est ce qui redouble et nourrit ma fureur.
Page 183 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Page 155 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies ; Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE. Hé quoi ! vous n'avez point de passe-temps plus doux? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous. Venez dans mon palais, vous y verrez ma gloire. JOAS. Moi ! des bienfaits de Dieu je perdrais la mémoire ? ATHALIE. Non, je ne vous veux pas contraindre à l'oublier. JOAS. Vous ne le priez point. ATHALIE. Vous pourrez le prier.
Page 154 - ATHALIE. Dieu veut-il qu'à toute heure on prie, on le contemple ? JOAS. Tout profane exercice est banni de son temple. ATHALIE. Quels sont donc vos plaisirs ? JOAS. Quelquefois à l'autel Je...
Page 173 - Sort du fond du désert, brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez : Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Page 146 - ATHALIE Prêtez-moi l'un et l'autre une oreille attentive. Je ne veux point ici rappeler le passé, Ni vous rendre raison du sang que j'ai versé : Ce que j'ai fait, Abner, j'ai cru le devoir faire. Je ne prends point pour juge un peuple téméraire Quoi que son insolence ait osé publier, Le ciel même a pris soin de me justifier.
Page 147 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...