... tendues si le besoin y étoit: enjoignant au lieutenant civil et officiers de police de tenir la main à ce qu'il fût apporté des vivres avec sûreté dans Paris , et de faire retirer les gens de guerre qui étoient dans les villes et villages à... Mémoires - Page 56de Jean François Paul de Gondi de Retz - 1779Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Guy Joly - 1751 - 288 pages
...bien qu'il feroit plus en fureté à Paris qu'à S. Germain. de faire retirer les gens de guerre quï étoient dans les villes & villages à vingt lieues à la ronde , avec défenfe aux places voiiînes de recevoir aucunes garnifons. Le lendemain 7 Janvier", un lieutenant des Gardes du Roi apporta... | |
| Guy Joly - 1779 - 544 pages
...nccefiaires pour la sûreté publique, & que les chaînes feroient tendues C 4 fi le befoin y étbit , enjoignant au lieutenant civil , & officiers de police...ordonné de fe rendre à S. Germain, à quoi il fit démonftrarion de vouloir obéir ; mais fon carrofle fut arrêté dès le Marché-neuf, où quelques-uns... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 530 pages
...et au pré« vôtdes marchands et autres officiers de ville, d'aller à « la conduite d'iceux , et de faire retirer les gens de « guerre qui étoient dans les villes et villages à vingt « lieues de Paris » ; comme si de pareilles choses pouvoient s'exécuter sur... | |
| 1825 - 576 pages
...officiers de police de tenir la main à ce qu'il fût apporté des vivres avec sûreté dans Paris, et .de faire retirer les gens de guerre qui étoient dans les villes et villages à vingt lieues à la ronde, avec défense aux places voisines de recevoir aucunes garnisons.... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 566 pages
...officiers de police de tenir la main à ce qu'il fût apporté des vivres avec sûreté dans Paris , et de faire retirer les gens de guerre qui étoient dans les villes et villages à vingt lieues à la ronde , avec défense aux places voisines de recevoir aucunes garnisons.... | |
| Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - 1838 - 652 pages
...officiers de police de tenir la main à ce qu'il fût apporté des vivres avec sûreté dans Paris, et de faire retirer les gens de guerre qui étoient dans les villes et villages à vingt lieues à la ronde , avec défense aux places voisines de recevoir aucunes garnisons.... | |
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