Œuvres de Molière, Volume 3Hachette et cie., 1876 |
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... remarque que , du temps de Molière déjà , on avait exagéré , à bon escient , l'importance de ces imitations , et il cite ce passage de la Zé- linde de Villiers ( scène VIII , p . 82 ) : « Et vous n'avez pas remarqué que le récit que l ...
... remarque que , du temps de Molière déjà , on avait exagéré , à bon escient , l'importance de ces imitations , et il cite ce passage de la Zé- linde de Villiers ( scène VIII , p . 82 ) : « Et vous n'avez pas remarqué que le récit que l ...
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... remarque Auger dans son édition de Molière ( tome II , p . 459 et 460 ) , ne sont pas une comédie à scènes détachées , et Molière est le premier qui ait fait parmi nous une pièce de ce genre . ( Note de Beuchot . ) · C'est ce qu'avaient ...
... remarque Auger dans son édition de Molière ( tome II , p . 459 et 460 ) , ne sont pas une comédie à scènes détachées , et Molière est le premier qui ait fait parmi nous une pièce de ce genre . ( Note de Beuchot . ) · C'est ce qu'avaient ...
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... remarque Aimé - Martin , les représentations finissaient de bonne heure . Boursault , auquel il renvoie , dit au commencement de son petit roman d'Artémise et Poliante a , qu'il était sept heures du soir quand il sortit de la première ...
... remarque Aimé - Martin , les représentations finissaient de bonne heure . Boursault , auquel il renvoie , dit au commencement de son petit roman d'Artémise et Poliante a , qu'il était sept heures du soir quand il sortit de la première ...
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... remarque à la lecture de la scène , entre la manière dont le piquet se jouait du temps de Molière , et celle dont il se joue maintenant . D'a- bord , chaque couleur avait les six : ainsi on jouait avec trente - six cartes au lieu de ...
... remarque à la lecture de la scène , entre la manière dont le piquet se jouait du temps de Molière , et celle dont il se joue maintenant . D'a- bord , chaque couleur avait les six : ainsi on jouait avec trente - six cartes au lieu de ...
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... remarque Auger . M. Tou- tabas , maître de trictrac , après avoir proposé à Géronte de lui apprendre son art , Un métier qui , par de sûrs secrets , En le divertissant , l'enrichisse à jamais , termine en disant : Vous plairoit - il de ...
... remarque Auger . M. Tou- tabas , maître de trictrac , après avoir proposé à Géronte de lui apprendre son art , Un métier qui , par de sûrs secrets , En le divertissant , l'enrichisse à jamais , termine en disant : Vous plairoit - il de ...
Table des matières
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Œuvres de Molière, Volume 3 Molière (pseud. van Jean Baptiste Poquelin) Affichage du livre entier - 1750 |
Expressions et termes fréquents
acte AGNÈS ALAIN ALCIPPE amour ARNOLPHE assez Auger auteur avoit ballet belle Boursault BRÉCOURT Caritidès cerf chose CHRYSALDE CLIMÈNE cœur comédie comédiens comique Corneille Critique de l'École Croisy d'Arnolphe Dieu Dimanche dire divertissement donne DORANTE éditions de 1673 ÉLISE ÉRASTE étoit Fâcheux FILINTE Fournel frères Parfaict Furetière GALOPIN gens GEORGETTE Grange Grimarest homme HORACE j'ai jouer l'auteur l'École des femmes l'École des maris l'édition de 1682 l'édition de 1734 l'édition originale l'Hôtel de Bourgogne l'Impromptu de Versailles lettre LYSANDRE m'en Madame MADEMOISELLE BÉJART MADEMOISELLE DE BRIE MADEMOISELLE DU PARC MADEMOISELLE MOLIÈRE Mardi Mlle monde Monsieur Lysidas MONTAGNE Montfleury NOTAIRE Note d'Auger Notice Nouvelles nouvelles ORANTE ORONTE ORPHISE parler personnage personne pièce plaisir poëte Portrait du peintre première représentation ridicule rien rôle satire SCÈNE VII semble seroit seul sieur sorte théâtre THORILLIère troupe trouve URANIE Vendredi Vengeance des Marquis veux Visé voilà Voyez ci-dessus Zélinde
Fréquemment cités
Page 348 - Vous êtes de plaisantes gens avec vos règles, dont vous embarrassez les ignorants et nous étourdissez tous les jours. Il semble, à vous ouïr parler, que ces règles de l'art soient les plus grands mystères du monde ; et cependant ce ne sont que quelques observations aisées, que le bon sens a faites sur ce qui peut ôter le plaisir que l'on prend à ces sortes de poèmes ; et le même bon sens qui a fait autrefois ces observations les fait aisément tous les jours sans le secours d'Horace et...
Page 345 - Venise, et des plumes, aussi bien qu'avec une perruque courte, et un petit rabat uni; que la grande épreuve de toutes vos comédies, c'est le jugement de la cour; que c'est son goût qu'il faut étudier pour trouver l'art de réussir; qu'il n'ya point de lieu où les décisions soient si justes; et sans mettre en ligne de compte tous les gens savants qui y sont, que , du simple bon sens naturel et du commerce de tout le beau monde, on s'y fait une manière d'esprit, qui sans comparaison juge plus...
Page 405 - N'at-il pas, par exemple, ceux qui se font les plus grandes amitiés du monde, et qui, le dos tourné, font galanterie de se déchirer l'un i l'autre?
Page 336 - Pour moi, je me garderai bien de m'en offenser et de prendre rien sur mon compte de tout ce qui s'y dit. Ces sortes de satires tombent directement sur les mœurs, et ne . frappent les personnes que par réflexion.
Page 207 - L'une en tout est soumise à l'autre, qui gouverne; Et ce que le soldat, dans son devoir instruit. Montre d'obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit frère, N'approche point encor de la docilité, Et de l'obéissance, et de l'humilité. Et du profond respect où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur et son maître.
Page 373 - II n'était ni trop gras ni trop maigre; il avait la taille plus grande que petite, le port noble, la jambe belle; il marchait gravement, avait l'air très-sérieux, le nez gros, la bouche grande, les lèvres épaisses, le teint brun, les sourcils noirs et forts, et les divers mouvements qu'il leur donnait lui rendaient la physionomie extrêmement comique.
Page 29 - ... le temps viendra de faire imprimer mes remarques sur les pièces que j'aurai faites, et je ne désespère pas de faire voir un jour, en grand auteur, que je puis citer Aristote et Horace. En attendant cet examen, qui peut-être ne viendra point, je m'en remets assez aux décisions de la multitude, et je tiens aussi difficile de combattre 'un ouvrage que le public approuve, que d'en défendre un qu'il condamne.
Page 405 - N'at-il pas ces adulateurs à outrance, ces flatteurs insipides, qui n'assaisonnent d'aucun sel les louanges qu'ils donnent et dont toutes les flatteries ont une douceur fade qui fait mal au cœur à ceux qui les écoutent? N'at-il pas ces lâches courtisans de la faveur, ces perfides adorateurs de la fortune, qui vous encensent dans la prospérité et vous accablent dans la disgrâce...
Page 113 - Pour moi, je trouve que la beauté du sujet de l'École des femmes consiste dans cette confidence perpétuelle; et ce qui me paroît assez plaisant, c'est qu'un homme qui a de l'esprit, et qui est averti de tout par une innocente qui est sa maîtresse, et par un étourdi qui est son rival, ne puisse avec cela éviter ce qui lui arrive.
Page 341 - ... car enfin je trouve qu'il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins, et dire des injures aux dieux, que d'entrer comme il faut dans le ridicule des hommes, et de rendre agréablement sur le théâtre les défauts de tout le monde.