Œuvres, Volume 3Compagnie des Libraires, 1767 |
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Page 11
... Cieux d'afle plus fiddle . Ici , loin du tumulte , aux devoirs les plus fints Tout un peuple naifant eft formé par mes mains . Je nourris dans fon caur la femence féconde Des vertus , dont il doit fanctifier le monde . Un Roi qui me ...
... Cieux d'afle plus fiddle . Ici , loin du tumulte , aux devoirs les plus fints Tout un peuple naifant eft formé par mes mains . Je nourris dans fon caur la femence féconde Des vertus , dont il doit fanctifier le monde . Un Roi qui me ...
Page 19
... Cieux ! Sacrés monts , fertiles vallées , Par cent miracles fignalées , Du doux pays de nos ayeux Serons - nous toujours exilées ? UNE ISRAELITE feule . Quand verrai - je , ô Sion , relever tes remparts , Et de tes tours les magnifiques ...
... Cieux ! Sacrés monts , fertiles vallées , Par cent miracles fignalées , Du doux pays de nos ayeux Serons - nous toujours exilées ? UNE ISRAELITE feule . Quand verrai - je , ô Sion , relever tes remparts , Et de tes tours les magnifiques ...
Page 21
... Cieux , éclairerez - vous cet horrible carnage ? Le fer ne connoîtra ni le sexe , ni l'âge . Tout doit fervir de proie aux Tigres , aux Vautours ; Et ce jour effroyable arrive dans dix jours . ESTHER . O Dieu , qui vois former des ...
... Cieux , éclairerez - vous cet horrible carnage ? Le fer ne connoîtra ni le sexe , ni l'âge . Tout doit fervir de proie aux Tigres , aux Vautours ; Et ce jour effroyable arrive dans dix jours . ESTHER . O Dieu , qui vois former des ...
Page 25
... 'appaife Et prête à mes difcours un charme qui lui plaife . Les orages , les vents , les Cieux te font loumis , Tourne enfin fa fureur contre nos ennemis . PLEURON SCENE V. Toute cette Scène est chantée . LE TRAGÉDIE .
... 'appaife Et prête à mes difcours un charme qui lui plaife . Les orages , les vents , les Cieux te font loumis , Tourne enfin fa fureur contre nos ennemis . PLEURON SCENE V. Toute cette Scène est chantée . LE TRAGÉDIE .
Page 26
... Cieux Un fi jufte fujet de larmes . TOUT LE CHE U R. O mortelles allarmes ! UNE AUTRE ISRAELITE . N'étoit - ce pas affez qu'un vainqueur odieux De l'augufte Sion eût détruit tous les charmes , Et traîné les enfans captifs en mille lieux ...
... Cieux Un fi jufte fujet de larmes . TOUT LE CHE U R. O mortelles allarmes ! UNE AUTRE ISRAELITE . N'étoit - ce pas affez qu'un vainqueur odieux De l'augufte Sion eût détruit tous les charmes , Et traîné les enfans captifs en mille lieux ...
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Expressions et termes fréquents
ABNER affez Affiégés ainfi AMAN ASSUÉRUS ATHALIE auffi avez avoient avoit c'eft c'eſt C'étoit chanter CHŒUR chofes Ciel Cieux cœur Comédie confeils confidérable David deffein Defmarêts déja Dieu dire efprit Eft-ce ELISE enfant ennemis eſt ESTHER étoient étoit facrés faint falut fang fans favez fecond fecours fecret felon femble feroit fervir feul fiécle fiége fœur foient foin foit fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivi fujet fur-tout gloire grace hafard Héréfies imaginaires hommes HYDASPE Innocent X ISRA ISRAELITE j'ai Jéfuites Jézabel JO SABET JOAD Joas Jofabet jour jufqu'à jufte Juifs l'efprit l'Eglife laiffe Lévites main Mardochée Maréchal Mathan Meufe Miniftres Monfieur n'eft n'eſt Namur paffer paffions paix père perfonnes peuple plaifir plufieurs Poëte Port-Royal preffe Prince Princeffe puiffe raifon refte Reine Rois Rois de Juda SABET Saint SALOMITH Sambre SCENE Seigneur ſes ſon Temple Térence trifte troupes voix yeux ZACHARIE zèle
Fréquemment cités
Page 120 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies. Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE Hé quoi ! Vous n'avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous.
Page 134 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix. J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices, Je leur semai de fleurs le bord des précipices.
Page 126 - O bienheureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix, Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
Page 156 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Page 123 - Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d'une lâche et frivole pitié, Je n'aurais pas du moins à cette aveugle rage Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d'Achab les restes malheureux!
Page 88 - L'audace d'une femme, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a changé ces beaux jours. D'adorateurs zélés à peine un petit nombre Ose des premiers...
Page 126 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure. Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature*.
Page 27 - Hélas! si jeune encore, Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore: Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.
Page 112 - J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-Même.
Page 87 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.