Œuvres, Volume 3Compagnie des Libraires, 1767 |
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Page 8
... deffein , & même de me demander fi je ne pourrois pas faire fur quelque fujet de piété & de morale une espèce de Poëme , où le chant fût mêlé avec le récit ; le tout lié par une action qui rendit la chofe plus vive & moins capable d ...
... deffein , & même de me demander fi je ne pourrois pas faire fur quelque fujet de piété & de morale une espèce de Poëme , où le chant fût mêlé avec le récit ; le tout lié par une action qui rendit la chofe plus vive & moins capable d ...
Page 9
... deffein qui m'avoit fouvent paffé dans l'esprit , qui étoit de lier , comme dans les an- ciennes Tragédies Grecques , le cœur & le chant avec l'action , & d'employer à chanter les louanges du vrai Dieu , cette partie du Chœur que les ...
... deffein qui m'avoit fouvent paffé dans l'esprit , qui étoit de lier , comme dans les an- ciennes Tragédies Grecques , le cœur & le chant avec l'action , & d'employer à chanter les louanges du vrai Dieu , cette partie du Chœur que les ...
Page 68
... deffein De deux traîtres tout prêts à vous percer le sein . Hélas , ce Juif jadis m'adopta pour sa fille ! Mardochée ? ASSUER U S .. ESTHER . Il reftoit feul de notre famille . Mon père étoit fon frère , il defcend comme moi Du fang ...
... deffein De deux traîtres tout prêts à vous percer le sein . Hélas , ce Juif jadis m'adopta pour sa fille ! Mardochée ? ASSUER U S .. ESTHER . Il reftoit feul de notre famille . Mon père étoit fon frère , il defcend comme moi Du fang ...
Page 119
... deffein un mot nous fait juger . Laiffez - moi , cher Mathan , le voir , l'interroger . Vous cependant , allez ; & , fans jetter d'allarmes , A tous mes Tyriens faites prendre les armes , SCENE VII . JOAS , JOSABET , ATHALIE , ZACHARIE ...
... deffein un mot nous fait juger . Laiffez - moi , cher Mathan , le voir , l'interroger . Vous cependant , allez ; & , fans jetter d'allarmes , A tous mes Tyriens faites prendre les armes , SCENE VII . JOAS , JOSABET , ATHALIE , ZACHARIE ...
Page 143
... demande Eliacin . Déja de fa naissance & de votre deffein On commence , Seigneur , à percer le mystère . Peu s'en faut que Mathan ne m'ait nommé fon père . JOA D. ' Au perfide Mathan qui l'auroit révélé ? TRAGEDIE . 145.
... demande Eliacin . Déja de fa naissance & de votre deffein On commence , Seigneur , à percer le mystère . Peu s'en faut que Mathan ne m'ait nommé fon père . JOA D. ' Au perfide Mathan qui l'auroit révélé ? TRAGEDIE . 145.
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Expressions et termes fréquents
ABNER affez Affiégés ainfi AMAN ASSUÉRUS ATHALIE auffi avez avoient avoit c'eft c'eſt C'étoit chanter CHŒUR chofes Ciel Cieux cœur Comédie confeils confidérable David deffein Defmarêts déja Dieu dire efprit Eft-ce ELISE enfant ennemis eſt ESTHER étoient étoit facrés faint falut fang fans favez fecond fecours fecret felon femble feroit fervir feul fiécle fiége fœur foient foin foit fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivi fujet fur-tout gloire grace hafard Héréfies imaginaires hommes HYDASPE Innocent X ISRA ISRAELITE j'ai Jéfuites Jézabel JO SABET JOAD Joas Jofabet jour jufqu'à jufte Juifs l'efprit l'Eglife laiffe Lévites main Mardochée Maréchal Mathan Meufe Miniftres Monfieur n'eft n'eſt Namur paffer paffions paix père perfonnes peuple plaifir plufieurs Poëte Port-Royal preffe Prince Princeffe puiffe raifon refte Reine Rois Rois de Juda SABET Saint SALOMITH Sambre SCENE Seigneur ſes ſon Temple Térence trifte troupes voix yeux ZACHARIE zèle
Fréquemment cités
Page 120 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies. Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE Hé quoi ! Vous n'avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous.
Page 134 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix. J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices, Je leur semai de fleurs le bord des précipices.
Page 126 - O bienheureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix, Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
Page 156 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Page 123 - Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d'une lâche et frivole pitié, Je n'aurais pas du moins à cette aveugle rage Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d'Achab les restes malheureux!
Page 88 - L'audace d'une femme, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a changé ces beaux jours. D'adorateurs zélés à peine un petit nombre Ose des premiers...
Page 126 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure. Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature*.
Page 27 - Hélas! si jeune encore, Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore: Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.
Page 112 - J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-Même.
Page 87 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.