Œuvres, Volume 3Compagnie des Libraires, 1767 |
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... ta caufe , & déploie aujourd'hui Ce bras , ce même bras , qui combattoit pour Lorfque , des Nations à fa perte animées , Le Rhin vit tant de fois difperfer les armées . Des mêmes ennemis je reconnois l'orgueil . Ils viennent se PROLOGUE .
... ta caufe , & déploie aujourd'hui Ce bras , ce même bras , qui combattoit pour Lorfque , des Nations à fa perte animées , Le Rhin vit tant de fois difperfer les armées . Des mêmes ennemis je reconnois l'orgueil . Ils viennent se PROLOGUE .
Page 11
... ennemis : Pareil à ces Efprits que ta justice envoie , Quand fon Roi lui dit , pars , il s'élance avec joie , Du tonnerre vengeur s'en va tout embraser , Et tranquille à fes pieds revient le dépofer . Mais , tandis qu'un grand Roi venge ...
... ennemis : Pareil à ces Efprits que ta justice envoie , Quand fon Roi lui dit , pars , il s'élance avec joie , Du tonnerre vengeur s'en va tout embraser , Et tranquille à fes pieds revient le dépofer . Mais , tandis qu'un grand Roi venge ...
Page 25
... appaife Et prête à mes difcours un charme qui lui plaife . Les orages , les vents , les Cieux te font loumis , Tourne enfin fa fureur contre nos ennemis . PLEURON SCENE V. Toute cette Scène est chantée . LE TRAGÉDIE .
... appaife Et prête à mes difcours un charme qui lui plaife . Les orages , les vents , les Cieux te font loumis , Tourne enfin fa fureur contre nos ennemis . PLEURON SCENE V. Toute cette Scène est chantée . LE TRAGÉDIE .
Page 45
... ennemis j'en crains moins le courroux , Et crois que votre front prête à mon diadéme Un éclat , qui le rend refpectable aux Dieux même . Ofez donc me répondre , & ne me cachez pas Quel fujet important conduit ici vos pas . Quel intérêt ...
... ennemis j'en crains moins le courroux , Et crois que votre front prête à mon diadéme Un éclat , qui le rend refpectable aux Dieux même . Ofez donc me répondre , & ne me cachez pas Quel fujet important conduit ici vos pas . Quel intérêt ...
Page 62
... ennemis , Le bruit de ta valeur te fervir de barrière . S'ils t'attaquent , qu'ils Yoient en un moment foumis Que de ton bras la force les renverse . Que de ton nom la terreur les difperfe . Que tout leur camp nombreux foit devant tes ...
... ennemis , Le bruit de ta valeur te fervir de barrière . S'ils t'attaquent , qu'ils Yoient en un moment foumis Que de ton bras la force les renverse . Que de ton nom la terreur les difperfe . Que tout leur camp nombreux foit devant tes ...
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Expressions et termes fréquents
ABNER affez Affiégés ainfi AMAN ASSUÉRUS ATHALIE auffi avez avoient avoit c'eft c'eſt C'étoit chanter CHŒUR chofes Ciel Cieux cœur Comédie confeils confidérable David deffein Defmarêts déja Dieu dire efprit Eft-ce ELISE enfant ennemis eſt ESTHER étoient étoit facrés faint falut fang fans favez fecond fecours fecret felon femble feroit fervir feul fiécle fiége fœur foient foin foit fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivi fujet fur-tout gloire grace hafard Héréfies imaginaires hommes HYDASPE Innocent X ISRA ISRAELITE j'ai Jéfuites Jézabel JO SABET JOAD Joas Jofabet jour jufqu'à jufte Juifs l'efprit l'Eglife laiffe Lévites main Mardochée Maréchal Mathan Meufe Miniftres Monfieur n'eft n'eſt Namur paffer paffions paix père perfonnes peuple plaifir plufieurs Poëte Port-Royal preffe Prince Princeffe puiffe raifon refte Reine Rois Rois de Juda SABET Saint SALOMITH Sambre SCENE Seigneur ſes ſon Temple Térence trifte troupes voix yeux ZACHARIE zèle
Fréquemment cités
Page 120 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies. Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE Hé quoi ! Vous n'avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous.
Page 134 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix. J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices, Je leur semai de fleurs le bord des précipices.
Page 126 - O bienheureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix, Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
Page 156 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Page 123 - Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d'une lâche et frivole pitié, Je n'aurais pas du moins à cette aveugle rage Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d'Achab les restes malheureux!
Page 88 - L'audace d'une femme, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a changé ces beaux jours. D'adorateurs zélés à peine un petit nombre Ose des premiers...
Page 126 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure. Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature*.
Page 27 - Hélas! si jeune encore, Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore: Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.
Page 112 - J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-Même.
Page 87 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.