Œuvres, Volume 3Compagnie des Libraires, 1767 |
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Page 118
... louer . Je fais fur ma conduite & contre ma puissance , Jufqu'où de leurs difcours ils portent la licence . Ils vivent cependant , & leur Temple eft debout . Mais je fens que bientôt ma douceur est à bout . • Que Joad mette un frein à ...
... louer . Je fais fur ma conduite & contre ma puissance , Jufqu'où de leurs difcours ils portent la licence . Ils vivent cependant , & leur Temple eft debout . Mais je fens que bientôt ma douceur est à bout . • Que Joad mette un frein à ...
Page 131
... Louer le Dieu de l'impie étrangère , Et blafphêmer le nom qu'ont adoré tes Rois ? UNE VOIX feule . Combien de temps , Seigneur , combien de temps encore Verrons - nous contre toi les méchans s'élever ? Jufques dans ton faint Temple ils ...
... Louer le Dieu de l'impie étrangère , Et blafphêmer le nom qu'ont adoré tes Rois ? UNE VOIX feule . Combien de temps , Seigneur , combien de temps encore Verrons - nous contre toi les méchans s'élever ? Jufques dans ton faint Temple ils ...
Page 216
... louer dans la profonde nuit . QUE dès notre réveil notre voix te bénisse : Qu'à te chercher notre cœur empreffé T'offre fes premiers vœux , & que par toi finiffe Le jour par toi faintement commencé . L'ASTRE , dont la préfence écarte la ...
... louer dans la profonde nuit . QUE dès notre réveil notre voix te bénisse : Qu'à te chercher notre cœur empreffé T'offre fes premiers vœux , & que par toi finiffe Le jour par toi faintement commencé . L'ASTRE , dont la préfence écarte la ...
Page 246
... temps même qu'il perfécute la Sorbonne . Il n'a pas vouiu fe mettre tout le monde fur les bras . Il a ménagé les faifeurs de * M , Chamillard , Docteur de Sorbonne , Romans . Il s'eft fait violence pour les louer . 246 ŒUVRES.
... temps même qu'il perfécute la Sorbonne . Il n'a pas vouiu fe mettre tout le monde fur les bras . Il a ménagé les faifeurs de * M , Chamillard , Docteur de Sorbonne , Romans . Il s'eft fait violence pour les louer . 246 ŒUVRES.
Page 247
Jean Racine. Romans . Il s'eft fait violence pour les louer . Car , Dieu merci , vous ne louez jamais que ce que vous faites . Et croyez - moi , ce font peut - être les feules gens qui vous étoient favorables . Mais fi vous n'étiez pas ...
Jean Racine. Romans . Il s'eft fait violence pour les louer . Car , Dieu merci , vous ne louez jamais que ce que vous faites . Et croyez - moi , ce font peut - être les feules gens qui vous étoient favorables . Mais fi vous n'étiez pas ...
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Expressions et termes fréquents
ABNER affez Affiégés ainfi AMAN ASSUÉRUS ATHALIE auffi avez avoient avoit c'eft c'eſt C'étoit chanter CHŒUR chofes Ciel Cieux cœur Comédie confeils confidérable David deffein Defmarêts déja Dieu dire efprit Eft-ce ELISE enfant ennemis eſt ESTHER étoient étoit facrés faint falut fang fans favez fecond fecours fecret felon femble feroit fervir feul fiécle fiége fœur foient foin foit fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivi fujet fur-tout gloire grace hafard Héréfies imaginaires hommes HYDASPE Innocent X ISRA ISRAELITE j'ai Jéfuites Jézabel JO SABET JOAD Joas Jofabet jour jufqu'à jufte Juifs l'efprit l'Eglife laiffe Lévites main Mardochée Maréchal Mathan Meufe Miniftres Monfieur n'eft n'eſt Namur paffer paffions paix père perfonnes peuple plaifir plufieurs Poëte Port-Royal preffe Prince Princeffe puiffe raifon refte Reine Rois Rois de Juda SABET Saint SALOMITH Sambre SCENE Seigneur ſes ſon Temple Térence trifte troupes voix yeux ZACHARIE zèle
Fréquemment cités
Page 120 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies. Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE Hé quoi ! Vous n'avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous.
Page 134 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix. J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices, Je leur semai de fleurs le bord des précipices.
Page 126 - O bienheureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix, Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
Page 156 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Page 123 - Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d'une lâche et frivole pitié, Je n'aurais pas du moins à cette aveugle rage Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d'Achab les restes malheureux!
Page 88 - L'audace d'une femme, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a changé ces beaux jours. D'adorateurs zélés à peine un petit nombre Ose des premiers...
Page 126 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure. Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature*.
Page 27 - Hélas! si jeune encore, Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore: Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.
Page 112 - J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-Même.
Page 87 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.