Œuvres, Volume 3Compagnie des Libraires, 1767 |
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... Te .... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter . Ce que tu m'as promis fonge à l'exécuter . Cet enfant , ce tréfor , qu'il faut qu'on me remette , Où font - ils ? JOAD . Sur le champ tu feras fatisfaite . Je te les vais montrer ...
... Te .... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter . Ce que tu m'as promis fonge à l'exécuter . Cet enfant , ce tréfor , qu'il faut qu'on me remette , Où font - ils ? JOAD . Sur le champ tu feras fatisfaite . Je te les vais montrer ...
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Expressions et termes fréquents
ABNER affez ainfi AMAN ATHALIE auffi avez avoient avoit ayant c'eft camp chante cher chercher CHŒUR chofes Ciel Cieux cœur Comédie commence côté cours David deffein déja demander devant Dieu dire doit donner efprit enfant enfin ennemis eſt ESTHER étoient étoit faint fais fang fans fera feul fille fils foin foit fonge font force fort forte fous fujet garde gens gloire grace Grecs heureux homme j'ai jette jeune JOAD Joas jour juger Juifs l'Auteur l'autre l'un laiffe Lettres Lévites lieu Livre louer lui-même main malheureux Marquis Mathan mère monde Monfieur mort Mortels n'eft n'en nuit ordre ouvrages paffer paffions paix parler père peuple peut-être Place porte premier Prince propre qu'à qu'un regne Reine rend rendre rien Rois s'il Saint SCENE Seigneur ſes Temple terre traits trouble troupes trouva venir vérité veut vois voit voix voyant yeux zèle
Fréquemment cités
Page 122 - J'entends chanter de Dieu les grandeurs infinies. Je vois l'ordre pompeux de ses cérémonies. ATHALIE Hé quoi ! Vous n'avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d'un enfant tel que vous.
Page 136 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix. J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices, Je leur semai de fleurs le bord des précipices.
Page 128 - O bienheureux mille fois L'enfant que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend sa voix, Et que ce Dieu daigne instruire lui-même...
Page 158 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Page 125 - Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d'une lâche et frivole pitié, Je n'aurais pas du moins à cette aveugle rage Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d'Achab les restes malheureux!
Page 90 - L'audace d'une femme, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a changé ces beaux jours. D'adorateurs zélés à peine un petit nombre Ose des premiers...
Page 128 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure. Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature*.
Page 27 - Hélas! si jeune encore, Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore: Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.
Page 114 - J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-Même.
Page 89 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.