-26183820,0415 1440 240120 20 6 Pezza de otto reale, piaftre. 0697563 4,984. 19 139|23 0761397 5,775 1668 278 139 2361 Francescono . 120 Monnoies d'or. Rouponi de 6 piaftres 19 f. 1 d. de piastre : : Zecchino gigliato de 2 piaftres 6 f. 4 d. di pezza. i Principes de ce calcul Francefcono, fixé à 6 liv. 13 f. 4 d. moneta buona, ou 40 0761397 773 1537247 34,45 Ropóni, au titre de 23 karats, fixé à Livourne à Livournine della rofa, d'après la même épreuve, au même Logarithmes Liv. tourn. titre, du poids de 542 as, & de 498 as de fin. Tallaro, fuivant la même épreuve, même titre, du poids 0731629 5,391 de 566 as (520 de fin.) 0750403 5,629 Roupon d'or de 23 karats, du poids de 217 as, & Monnoies d'or.or Quartino d'oro, valant 50 bajocs Scudo d'oro, demi-doppie de 16 paoli Zecchino de 20 paoli. Doppia de 33 paoli. Suivant ces résultats, la proportion de l'argent à l'or eft, à Rome, comme 1 à 14,64. A Ancone, on tient les écritures en fcudi de 20 foldi ou 240 denari. A Bologne, en lire de 20 foldi, de 240 denari, de 2 jules ou paules, de 120 quattrins. Principes de ce calcul. Scudo Romano novo de 1753, au titre de 14 loths, 0913782 8,200 09203918,325 du poids de 551 as, contenant 505 as en matiere pure 0737691 5,466 Demi-fcudo Romano, au même titre, du poids de 275 as, contenant 252,5 as de fin. Vieux tefton de Rome après l'épreuve de. Gênes, au 0436661 2,733 titre de 14loths, du poids de 191 as, contenant 173 as de fin. Nouveau tefton de Rome, même épreuve, titre de 14 loths, poids 176 as (166.), contenant 161 (151) as de fin Papette de deux Paules, titre 14 loths, poids 110 as Logarithmes. Liv. tourn. 0272446 1,873 IOI as de fin. 0038721 1,093 Monnoies d'or. Zecchino de Rome, au titre de 23 karats, du poids de 72,2 as, contenant 70,7 as de fin 1043181 11,04 -1021549 0,105 120 Carlino -1623609 0,420 .-1924639 0,841 ༣༠ 60 30 2 Cinquino. 20 IO 4 30 i 240 120 60 40 20 8 2 Tarino 1200 600 300 200 100 40 105 Ducato del regno. 0623609 4,203 1440|720|360|240|120|48|12| 6|1| Scudo di Sicilia. 0702790 5,044 Il y a de plus la pubblica de 1 grani Et la patacca, valant un demi-ducat L'on infere de ces évaluations, que la proportion de l'argent à l'or eft, dans le Royaume des deux Siciles comme I à 14,04. -2799700 0,063 0322579 2,102 Principes de ce calcul. Le ducado del Regno, ou de banque, eft, fuivant New ton, du poids de 336 grains du poids Anglois, & eft de la valeur de 6260 mites d'argent à 1 i deniers. 0623609 4,203 Les demi-ducats, les tarins & les carlins à proportion. C'est donc par erreur que les Hollandois obfervent que, fuivant l'épreuve de Newton, le ducat contient 413 as de fin. Oncia d'oro di Sicilia, valant 30 tarins, au titre de 21 karats, du poids de 91,6 as, contenant 83 as d'or pur. 1112840 12,96 Avant que de faire l'énumération des monnoies d'Allemagne, j'ai cru devoir expofer ici quelques inftructions fur cette matiere, tirées partie de la Géographie de M. Büfching, dans fon Introduction à l'Empire d'Allemagne, & partie des Almanachs de Gotha & de Gottingue, &c. Le droit de battre monnoie appartient originairement & proprement à l'Empereur; les Electeurs en jouiffent en vertu de la Bulle d'or. Les loix de l'Empire l'accordent en général aux Etats qui poffedent des mines en propre, avec la reftriction cependant de ne monnoyer que le produit de leurs mines. La plupart des Princes de l'Empire, quelques Prélats & Abbeffes, plufieurs anciens Comtes, Barons & Villes impériales jouifsent de ce droit , ou en vertu d'anciennes conceffions impériales, ou en vertu d'une poffeffion immémoriale.. Par la capitulation, l'Empereur s'oblige à ne gratifier perfonne du droit de battre monnoie, fans le confentement des Electeurs, & fans avoir pefé & examiné préalablement les avis & obfervations du Cercle dans lequel l'Etat qui le demande eft fitué. L'Empereur & les Electeurs poffedent le droit de battre monnoie fans restriction; ils battent des pieces d'or & d'argent; quelques Etats de l'Empire en jouiffent par une permiffion expreffe; d'autres ne l'ont que pour des pieces d'argent, ou pour le billon; d'autres font reftreints à de certaines efpeces de monnoies, d'autres à une cer taine quantité proportionnée à leurs befoins. Ce droit eft accordé à d'autres en général fans restriction: cependant plufieurs Etats de l'Empire ne l'exercent point, ou l'exercent fort rarement, à caufe des dépenfes qu'il exige. Il n'eft pas libre à tout Etat qui a le droit de battre monnoie, d'établir à fon gré une Ville monétaire: les loix veulent qu'il n'y en ait que trois ou quatre dans chaque Cercle, à moins qu'un Etat n'ait des mines en propre, & ne veuille pour cela avoir une Ville monétaire. Il n'eft point permis de vendre ou de donner à ferme le droit de battre monnoie, moins encore de partager le profit avec le Directeur de la Monnoie. Tout Etat doit battre monnoie, & en fournir la matiere à fes propres frais. Il eft ordonné que tous les ans il fe tienne dans chaque Cercle une ou deux affemblées relativement aux affaires monétaires. L'Empereur promet par fa capitulation, de veiller à ce que cette difpofition foit ponctuellement exécutée dans tous les Cercles. L'Empire d'Allemagne n'a point de monnoie générale qui foit frappée au coin de l'Empereur; celles que nous avons fous cette empreinte font, ou des pieces particulieres de l'Empereur, battues pour avoir cours dans fes Etats, ou elles ont été frappées dans les Villes impériales. Il y a long-temps que le Réglement général concernant le monnoyage de l'Empire, reçu à la Diete d'Augsbourg en 1559, & par lequel le rapport de l'argent à l'or étoit comme 1 à 11, n'eft plus obfervé. En 1656 ce rapport fut comme 1 à 14. En 1667, les Electeurs de Saxe & de Brandebourg, lors de leur entrevue au Couvent de Zinna, convinrent de conferver le titre de la rixdale felon l'évaluation de l'Empire de 1559; mais de monnoyer le marc d'argent fin (qu'on avoit monnoyé jusque-là à raifon de 9 dalers 2 grofches) à raifon de 10 dalers & en grofches, & autres efpeces plus menues. Le Duc de Brunswick adopta le titre convenu à Zinna; les Cercles de Franconie, de Baviere & de Souabe doivent auffi l'avoir introduit. Suivant ce pied de Zinna, l'argent fut alors comme 1 à 13: En 1690, les Electeurs de Saxe, de Brandebourg, & le Duc de Brunfwick-Lunébourg, firent une nouvelle convention, en vertu de laquelle le marc fin de Cologne devoit être monnoyé à raison de 10 dalers en pieces de, de & de, à raifon de 12 dalers 9 grofches en pieces de 2 grofches, & à raifon de 13 dalers en pieces de 6 pfennings. C'eft ce qu'on appelle la loi ou le pied de Leipfick, lequel fixe la proportion de l'argent à l'or comme 1 à 15 & une fraction que je ne connois pas. En 1738 ce pied fut reçu comme pied de l'Empire. En 1753 l'Autriche & la Baviere introduifirent ce qu'on appelle la loi, le titre ou le pied de convention. Ce qui y donna lieu, fut que l'on prétendit qu'il étoit impoffible de conferver la loi de Leipfick, à caufe de la trop grande difproportion entre l'argent & l'or, ni de la mettre en exécution fans un dommage confidérable, & fans l'entiere confommation de l'argent. On convint donc d'établir le pair de 14, tout au plus de 14 marcs d'argent pour un marc d'or, de monnoyer le marc de Cologne d'argent fin, depuis le daler ou rixdaler, jusqu'au grosche, gros ou keyfergros, à raifon de 20 florins; & le marc de Cologne d'or fin, à raison RRrrrij |